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En Résumé : J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce recueil de six nouvelles qui nous propose des récits, mélange à la fois complexe et réussi de fantastique, de psychologie, d'émotion et de personnages denses. L'univers fantastique qui se développe à chaque texte, certes reste très classique, mais se révèle solide, efficace et parfaitement maîtrisé par l'auteur. Surtout chaque texte possède sa propre voix, son propre style, sa propre construction ce qui évite clairement les longueurs et permet au lecteur de se plonger avec un plaisir renouvelé dans chacune d'entre elle. Alors après, c'est vrai que un ou deux textes possèdent quelques légers défauts, mais franchement rien de non plus dérangeant tant j'ai été emporté par ce mélange d'aspect dérangeant, étrange et parfois très sombre, où l'humour noir et le cynisme ne sont pas non plus en reste. Il faut aussi bien dire que l'ensemble est très bien porté par une plume qui se révèle accrocheuse, dérangeante et d'une certaine façon poétique et humaine. En tout cas je lirai sans soucis d'autres écrits de l'auteur.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
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J'aime beaucoup découvrir des horizons littéraires différents ! J'ai découvert l'autrice russe avec son roman le Vivant, et je poursuis ma découverte de son oeuvre avec un recueil de nouvelles. Je suis la reine d'Anna Starobinets pose une ambiance glauque à travers des histoires toutes plus étranges les unes que les autres.

Anna Starobinets ne propose pas des histoires d'horreur frontale. Ses textes montrent au contraire une grande finesse dans les aspects psychologiques. Elle bâtit des histoires où elle aborde des problématiques variées et plus profondes qu'elles n'en ont l'air : la maladie mentale, le lien familial, l'attachement, la métamorphose… La première nouvelle par exemple traite d'un enfant qui semble atteint de Troubles compulsifs du comportement, ou est vraiment hanté par une voix qui le pousse à un comportement extrême ? La chute de cette nouvelle montre la grande maîtrise de l'autrice dans ses aspects narratifs. La nouvelle est une forme exigeante, dont l'intérêt souvent dans la façon dont la fin est tournée. Et Anna Starobinets est définitivement très talentueuse à ce sujet.

En un sens, certaines nouvelles ont quelque chose d'assez kafkaïen. C'est notamment le cas de la dernière nouvelle du récit, où un homme nommé Yacha découvre un matin qu'il ne respire plus. S'ensuit alors un ensemble d'aventures absurdes qui rappelles beaucoup “La métamorphose” de par le décalage créé par la situation du personnage face à sa propre réaction et à celle de son entourage. L'horreur s'installe donc de manière graduelle, naît d'une discordance avec le quotidien et installe une sensation de malaise lancinante et durable. Anna Starobinets nous met constamment face à la vallée dérangeante. Bref, c'est du new weird comme on l'aime.

Anna Starobinets a de particulier qu'elle propose un récit fantastique dans une veine traditionnelle. le malaise vient qu'elle insère de manière lancinante des éléments dérangeants dans le quotidien. En cela, elle présente toujours des personnages d'une grande banalité, parfois affligeants de banalité. C'est le cas dans de nombreuses nouvelles. Celle d'un mystérieux Agent qui se décrit lui-même ainsi “Je n'ai ni famille ni amis. Physiquement, je suis quelconque, transparent. Taille moyenne. Corpulence moyenne. On peut me confondre avec n'importe qui. On ne se souvient pas de moi. Si je commentais un vol en plein jour, la victime serait incapable de m'identifier en cas de confrontation.” Dans la nouvelle où une personne est fascinée par la moisissure, on ne sait rien d'elle tant son identité est diluée dans son obsession. Enfin, celle où un homme découvre une vie qui ne lui dit rien, il a toujours mené une existence anecdotique. Il est facile de s'identifier à ces créatures un peu médiocres et définitivement normales, tristement banales.

Le glauque est également soutenu par l'écriture de l'autrice. Si la plume d'Anna Starobinets peut paraître froide, elle n'en est que d'autant plus adaptée au format et au ton global. La palme va à la nouvelle éponyme au recueil, Je suis la reine, qui est aussi la plus longue. L'autrice peut y construire une histoire structurée, qui joue avec les chronologies, les formats et les points de vue. Cette nouvelle est de loin la plus dérangeante, car plus crue, et m'a beaucoup rappelé les ouvres de Stephen King. La froideur de la plume sert le propos en créant une distanciation qui rend plus malsaine, car la nouvelle tient dans un huis-clos familial malsain qui s'écoule sur des années. Que faire quand un membre de notre famille adopte du jour au lendemain un comportement tellement étrange qu'il devient impossible de mener une vie normale ?

Anna Starobinets a une plume singulière, assez froide, mais qui convient parfaitement à ces nouvelles. Parfois absurdes, parfois gores, chaque histoire mêle avec habileté fantastique, glauque et psychologie. Sans jouer la carte du terrifiant frontal, l'autrice préfère jouer sur le malaise, le dérangeant, qui s'insinue lentement dans l'esprit du lecteur. Une bonne lecture pour ceux à la recherche de romans étranges, j'ai personnellement beaucoup apprécié.


Lien : https://lageekosophe.com/202..
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Emballée de découvrir ce recueil de nouvelles d'une auteure russe que je ne connaissais pas, j'aurais voulu être plus enchantée de ma lecture; j'ai eu de la difficulté à maintenir un intérêt constant. J'ai beaucoup aimé la première nouvelle, traitant d'un petit garçon aux prises avec un trouble obsessionnel-compulsif, l'auteure décrivant finement les pensées pouvant s'agiter dans la tête de ce dernier, et sa chute, glaçante. On dit d'Anna Starobinets qu'elle est la « reine russe de l'horreur », et on la compare à Stephen King et à Kafka : je m'attendais peut-être à rester dans la veine « effroi » de l'horreur. Or, certaines nouvelles comme celle qui donne le titre au livre, particulièrement dérangeante, sont davantage dans la veine « répulsion » de l'horreur, et c'est bien du dégoût qu'elles m'ont fait ressentir. Amnésie, métamorphoses, désintégration de la personnalité, inceste… tous les personnages ont des problèmes de santé mentale, et à travers l'absurde, on questionne toujours la fine ligne de nos perceptions et de la réalité : sont-ils fous, délirants, en train de rêver, ou est-ce autre chose qui ne s'explique pas ? Je lis peu de littérature fantastique et j'en connais très peu les codes; peut-être n'étais-je tout simplement pas assez bien préparée pour en apprécier la lecture.
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Il était une fois, en Russie, des personnages banals: des êtres qui ne sont "personne" comme dirait l'un d'eux, et qui soudain deviennent étranges au point que leurs aventures sidèrent le lecteur. Un petit fonctionnaire se prend d'amour pour de la moisissure, un jeune garçon se met à écouter une voix inquiétante tandis qu'un autre se transforme en une boule de graisse suante et boutonneuse parce que... Parfois Anna Starobinets donne des pistes d'explication, parfois pas, mais peu importe. Car ces histoires sont si bien racontées que même la fin en suspens de certains récits est réussie.
Avec elle, nous déambulons dans un univers à la fois caustique et impitoyable, en épousant le point de vue d'un être en général "looser" dont on va suivre le basculement progressif vers une sorte de folie.
Mais, même si tous ces textes ont quelque chose d'angoissant, ils sont extrêmement variés: par leur taille, leur mode de narration, leur tonalité... si bien qu'on ne fera qu'un seul reproche à ce livre: qu'il soit si court, parce qu'on aurait bien aimé explorer encore avec Anna Starobinets tout ce que la banalité peut dissimuler de tordu.
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Ce mois-ci, Livre-moi(s) m'a envoyé Je suis la Reine et autres histoires inquiétantes de Anna Starobinets. Un recueil de 6 nouvelles fantastiques et, comme son nom l'indique, inquiétantes.

Au début, je suis partie avec des à priori car je ne suis pas fan de littérature russe. Mais je me suis raisonnée en me disant que j'aimais souvent les recueils de nouvelles, car on y trouve forcément son compte à un moment. Eh bien, au placard les à priori, j'ai adoré ! Les 6 nouvelles sont très différentes les unes des autres, certaines font à peine quelques pages tandis que l'une d'entre-elles fait quasiment la moitié du livre. Entre la SF et le fantastique, parfois même la réalité crue, on vogue dans des mondes palpitants, dérangeants et pourtant très attirants.

Pour ceux qui connaissent un peu cette auteure russe, voici les 6 nouvelles qui se trouvent dans ce recueil, accompagnées de leur phrase-résumé en quatrième de couverture :

Les Règles : « Tous les enfants s'inventent des règles à respecter. Mais pour Sacha, transgresser les Règles pourrait avoir de terribles conséquences. »
La famille : « Lorsque Dima monte dans le train, il est loin de se douter qu'il va retrouver sa famille – une famille qu'il n'a jamais vue. »
J'attends : « Oublier une soupe dans un réfrigérateur peut avoir des répercussions inattendues. »
Je suis la reine : « Que s'est-il vraiment passé ce chaud dimanche d'août pour que Maxime, huit ans, change au point d'affirmer à son institutrice qu'il est la reine ? »
L'agent : Au début, je me suis demandée pourquoi il n'y avait pas de phrase-résumé pour cette nouvelle. Eh bien je pense tout simplement que comme moi l'éditeur a eu du mal à en comprendre le sens… Difficile de résumer en quelques mots une histoire qu'on n'a pas comprise…
L'éternité selon Yacha : « Il y a quelque chose d'étrange chez Yacha, ce matin, mais quoi ? Est-ce vraiment son coeur qui s'est arrêté de battre ? »

Pour en savoir plus sur la box littéraire "Livre-mois", rendez-vous sur notre site !
Lien : http://lebazarlitteraire.fr/..
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Les règles donne le ton du recueil. Et en fait une excellente entrée pour ce recueil.
L'auteur nous fait suivre les pensées d'un petit garçon dont les règles de vie, de survies, sont soumis à travers une voix. Mêlant habilement le fantastique et la maladie psychologique, tel ici le trouble obsessionnel compulsif. le lecteur se perd entre récit fantastique ou les divagations d'un malade.
Ce procédé sera repris dans plusieurs nouvelles, et c'est bien ce qui met le lecteur mal à l'aise. Frôler une réalité psychologique qui nous dépasse, vivre intérieurement le quotidien de personnes dérangées...
Lien : http://laprophetiedesanes.bl..
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Je suis la reine est un recueil de 6 nouvelles fantastique. Dès la fin de la première nouvelle, j'étais conquise : enfin du « vrai » fantastique, du comme j'aime, du qui correspond à la définition de base du genre. Ici comme dans Poe, du début à la fin on ne sait pas si ce qui arrive au personnage principal est quelque chose de paranormal ou s'il est fou/drogué… On se plonge dans une ambiance qui fait peur sans tomber complètement dans l'horreur. Sur les 6 nouvelles, j'ai beaucoup aimé 5 nouvelles et moyennement aimé une d'elle qui était une peu trop conceptuel pour moi. L'ambiance est oppressante et sert différents types de relations humaines principalement familiales. Entre le monsieur qui prend le train et pendant le trajet se retrouve avec une nouvelle vie (laquelle est la vraie ? ) et le gamin qui suit plein de règles propre à l'enfance (ne pas marcher sur les rainures des pavés) pour qu'il n'arrive rien à ses parents, on est plongé dans un quotidien qui allie banalité et sueurs froides. Ca a été une lecture excellente, un très bon retour aux sources du fantastique.
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Ce recueil de nouvelles m'a fait froid dans le dos comme rarement un livre a pu me faire frissonner à la limite du malaise. En même temps, quand vous avez le livre entre les mains et que vous regardez la photo de couverture, le ton est donné.

La folie est parmi nous. Entre délires paranoïaques et schizophrénie, nous voila plongés dans le quotidien d'hommes, de femmes et d'enfants dont la vie n'est pas tout à fait ordinaire.

En conclusion, si vous aimez frissonner d'horreur, vous pourrez lire ce livre sous la couette à la lueur d'une lampe torche, effet garanti.

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Certaines personnes peuvent vous faire acheter n'importe quel livre dès lors qu'il vous en parle, même un tout petit peu, même si le genre n'est pas celui que vous préférez. C'est ainsi que j'ai découvert Je suis la reine, un recueil de six nouvelles flirtant avec le fantastique, vers lequel je ne serais pas allée seule.

Il est des histoires qui vous laissent sonnés, en mode « mais… mais quoi ? Qu'est-ce qu'il vient de se passer ? ». La famille est de celles-ci. Une nouvelle qui fait suite à une autre bien trop courte pour en parler, Les règles, et annonce la couleur et donne le ton. Un homme, du jour au lendemain, se retrouve à vivre une vie qui n'est pas la sienne, dans une famille dont il n'a aucun souvenir. Chaque individu qu'il va rencontrer, chaque lieu qu'il va visiter, vont lui parler, lui rappeler des souvenirs de sa vraie vie, sans pour autant coller à ce dont il se souvient ni à ce dont il est persuadé d'avoir vécu.
Cet homme va imager l'angoisse d'être enfermé dans une famille que l'on n'a pas voulue et qui a fermé les portes au nez d'une vie que l'on aurait souhaitée. En même temps, elle exprime assez bien la façon dont on accepte notre destin, par dépit, parce que c'est ainsi. Mais ceci n'est peut-être qu'une interprétation parmi d'autres, tant je suis restée en mode « mais… mais quoi ? » en tournant la dernière page de cette nouvelle que j'ai beaucoup aimée.

Après un rapide interlude de cinq pages appelé J'attends, c'est la nouvelle centrale qui a fait son entrée : Je suis la reine. Une nouvelle qui raconte le changement d'un petit garçon à mesure qu'il grandit, et sa déchéance suite à une otite qui a duré plusieurs semaines. Une maladie qui va avoir un impact dramatique et une fin tout à fait étonnante. Je n'ai rien vu venir, je n'ai rien soupçonné malgré le titre évident une fois qu'on a découvert l'histoire complète. Un texte ambitieux avec un thème qu'il fallait oser aborder parce qu'un peu perché tout de même, pour une nouvelle marquante des plus réussies.

Puis L'agent et L'éternité selon Yacha sont venus clore ce recueil ; il est donc tant de passer à la conclusion générale.
Je n'ai pas parlé de toutes les nouvelles, par choix, des nouvelles bien trop courtes pour en parler et dévoiler ne serait-ce qu'un élément. En revanche, une caractéristique commune à toutes les nouvelles ressort : l'étrangeté. Oh, bien sûr, elle est positive, cette étrangeté. Elle se rapproche d'ailleurs plus de l'originalité qu'autre chose tant les histoires, les personnages et les univers sont atypiques et changent de ce qu'on a l'habitude de lire.
L'autrice m'a embarquée dans un univers fantastique intéressant, novateur et ambitieux, le tout raconté d'une plume précise et très jolie : une parenthèse que je referme à contrecoeur, mais que j'ai été heureuse de découvrir. En somme, un recueil gourmandise qui fond sous la langue, qui fait du bien et change.
Lien : https://aufildelhistoire.com..
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Le genre du New Weird est développé à la fin des années 1990 et début 2000. Il se définit comme une réaction aux codes existants de la SF et la fantasy ce qui donne un récit qui prend ancrage dans un univers réaliste intégrant des éléments surréalistes avec de l'horreur. le new weird apparaît afin de transcender les barrières pouvant exister entre les genres.

Présentation des nouvelles :
Les règles : Sacha est un petit garçon qui suit les règles d'un Jeu féroce. Aucune récompense n'est à attendre, mais s'il n'obéit pas, la punition sera terrible. Avec cette Voix qui lui parle et l'oblige à faire toutes ces petites choses, on se demande si Sacha ne souffrirait pas plutôt de TOC. La conclusion de cette nouvelle fait basculer le récit dans l'horreur.

La famille : Dima est un homme saoul dans un train couchette. Son métier est éducateur canin, il se rend à Moscou pour pour affaire. Dans sa cabine se trouve un gros homme dont le crâne est bourré de chose à manger une jeune femme très plate. le gros homme affirme que Dima est son gendre, hors celui-ci ne s'est jamais marié…sauf que son passeport ne comporte plus les éléments qui le définissent depuis sa naissance, ville de naissance changée, marié à la jeune femme Liza qui est dans sa cabine, autre métier, Dima dessaoule aussi sec. Delirium Tremens ou monde parallèle ?

J'attends : Cette nouvelle très courte est basée sur une hallucination ou quelque chose d'approchant. le héros ne nous sera jamais présenté, on connait seulement sa passion pour les moisissures jusqu'à l'obsession et ce qu'il en fait….hyper particulier ^^

Je suis la reine : Cette novella éponyme est absolument fabuleuse pour ceux qui ont aimé la trilogie des fourmis de Bernard Weber. Marina est une femme divorcée vivant avec ses jumeaux, Maxime et Vika. On aura plusieurs flash back pour comprendre l'évolution inquiétante de son fils qui fait peur à tout le monde au fur et à mesure qu'il grandit, sa propre famille est effrayée. A cela s'ajoute des extraits de journaux intimes écrits par Maxime puis quelqu'un d'autre. Dans ce récit on s'enfonce peu à peu dans l'horreur quand les questions font place à la compréhension.

L'agent : Cette nouvelle très courte nous présente un écrivain. Il travaille pour une agence qui permet de créer des histoires et les rendre réelle. Mais est-ce la réalité ou le personnage est-il fou ?

L'éternité selon Yacha : Cette fois on plonge à pieds joints dans un récit joyeusement surréaliste. Yacha se réveille dans un silence tellement surnaturel qu'il peine à trouver ce qui pose problème avant de procéder à une minutieuse inspection de sa personne…son coeur ne bat plus, sa respiration est inexistante et apparemment….il va très bien…S'ensuivent des discussions et actes totalement abracadabrants. le médecin lui annonce qu'il est mort et se voit donc obligé de signaler ce fait, sa femme et sa famille se préparent aux funérailles tout en lui parlant et il ne peut plus travailler, ses collègues lui souhaitent leurs condoléances tout en le regardant bizarrement, pour un mort il est quand même rudement actif ^^.

En bref, « ah ouais mais Anna Starobinets, je ne sais pas ce qu'elle fume mais c'est de la bonne« , voilà ma pensée quand j'ai lu les 3 premières nouvelles de ce recueil. Je suis la Reine m'a permis de me remettre en selle, j'étais à deux doigts de lâcher l'affaire mais je suis heureuse d'avoir persévéré au point de vous conseiller de lire cette novella à défaut des autres. L'éternité de Yacha est tout de même marrante dans son côté totalement barré.
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