Rogner sur ses
libertés sous prétexte de sûreté ou de sécurité revient à s'asservir, se soumettre.
Faut-il interdire telle ou telle pensée ou les combattre ?
La morale (ou la "moraline" comme dit
Onfray) ou le débat ?
Etre infantilisé, mis sous tutelle ou penser, réfléchir, entendre, comprendre pour au final apprendre ou se reprendre ?
Quoi de pire de la "morale légale" ou la "bien-pensance" ?
Aller, un petit rappel de
Paul Eluard
"Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté."
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