J'ai plutôt bien aimée ce livre. Je trouve comme même l'auteur un peu dur envers la condition de "pauvre" et trés critique envers la "modernisation" sinon bonne description de la classe la plus basse de France en fin du XIIIVéme siécle et début du XXéme siécle
Une autobiographie qui tient du roman social le plus noir; on n'est pas comme avec Pierre-Jakez Hélias dans l'hymne ethnologique, mais dans une sociologie à la Bourdieu façon "misère du monde". Un témoignage poignant qui n'atteint cependant pas la poésie "souvenir d'un pas grand chose" de Bukowsky; Antoine Sylvere à fait dans le sobre.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.