Si cela fait plaisir de retrouver ce petit monde, on s'avouera quand même qu'ils nous l'ont beaucoup joué à "je t'aime, moi non plus", et à tourner en rond. Quelque part nous ressentons que cette série ce sont les débuts de la mangaka
Ichigo Takano, qui reste quand même aujourd'hui une belle référence, surtout depuis "Orange". Ici, nous sommes dans un traitement bien plus classique, mais des situations et des sentiments complexes, que nos personnages ne maîtrisent pas eux-mêmes.
La présence de Miura, ami du propriétaire et policier ajoute de nouvelles touches intéressantes, et il ne semble pas emballer de voir Taïga avoir une relation avec une lycéenne.
Shimana et Taïga, le propriétaire, passent le tome à se tourner autour, à vouloir être ensemble, voire à y renoncer tout aussi sec, autant par maladresses que pour d'autres raisons comme la différence d'âge etc.
Zen lui reste présent pour Shimana, et n'a pas honte de ses sentiments pour elle, mais c'est un bon petit gars, même si par moment il ne peut s'empêcher de mentir, et en même temps de s'énerver.
La dynamique a changé depuis les départs de Zen et Shimana, qui eux se voient toujours en cours, d'ailleurs une nouvelle année va commencer. Mais Taïga leur garde la porte ouverte.
Nous voyons un peu différents personnages dans leurs éléments, ainsi nous verrons aussi rapidement Taïga au travail, mais quelle est cette secrétaire qu'on lui a assigné ?
D'ailleurs, notre cher Taïga a un côté trompeur, il fait parfois un peu gamin dans ses réactions.
Alors le propriétaire et Shimana s'aiment-ils ? L'assumeront-ils si oui ? Que va devenir leur "amour" et cette colocation ?