Un cimetière qui prend soin des vivants
Ça n’existe pas, ça n'existe pas…
Une bonne fée de passage
Une bouée de sauvetage à Paris
Ça n’existe pas, ça n'existe pas.
Une vie comme une boite de chocolats
Des dimanches sans angoisse..
Des crépuscules sans nuit
Ça n’existe pas, ça n'existe pas…
Et pourquoi pas?
-Vous avez tout à fait raison, intervint le professeur Ward d'une voix cristalline qui résonna dans toute la pièce. Ce moment où la cicatrice rejoint le sourire, il faut savoir le saisir...il marque la fin d'une histoire et surtout le début d'une autre.
Elsa avait eu envie de le retenir. De lui expliquer à quel point elle aussi avait peur de sombrer dans l'oubli _ même de son vivant_ mais elle s'était tue.
"A chaque saveur son histoire. Des histoires qui s'imbriquent et qui ne laissent pas indifférents. Comme des empreintes." Elle se demanda quelle empreinte son expérience parisienne allait laisser dans sa vie et quelle fin elle pourrait bien donner à cette phrase.
Lorsque le silence enveloppait les lieux vers une heure du matin, c'était le moment que Guillaume préférait. Les murs ici n'avaient pas la même histoire que ceux de son appartement.