Le mois de l'Avent est de pluie et de vent,
tire ton bonnet jusqu'aux dents.
La vie c'est comme une boîte de chocolats... Alors pourquoi se priver ? Croquez-la à pleines dents...
Quand quelqu'un disparaît on n'y pense jamais .
A quoi ?
A réparer les vivants. Ceux qui restent...
Je me suis dit que l’ordinaire pouvait avoir un goût d’extra,
Quand je pensais à toi.
Qu’il ne fallait pas chercher loin.
Que ce n’était pas une question d’endroit. De moment.
Que c’était toi.
Juste toi.
L’extra dans mon ordinaire.
Alors, voilà.
J’ai fermé les yeux et j’ai pleuré.
Pleuré parce qu’il était trop tard..
Mieux vaut ajouter de la vie aux années qu'ajouter des années à la vie.
Réparer les vivants, comme si chaque deuil cassait une partie de nous et nous rendait plus fragile.
Ce n'était pas leur vie qui tournait au ralenti, mais la sienne qui allait trop vite. Comme un train fou lancé sur des rails. Un train qui ne savait pas où il allait et qui n'avait jamais appris à freiner.
Littéralement "tira mi su " en italien signifie "tire moi vers le haut", "remonte-moi le moral", "redonne-moi des forces".
Qui veut quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse.
Mieux vaut ajouter de la vie aux années qu'ajouter des années à la vie.
Ces hommes, accoudés aux fenêtres, fatigués de ne rien faire, et ces femmes brodant derrière les barreaux, il leur donnait raison. Ce n’est pas leur vie qui tournait aux ralenti, mais la sienne qui allait trop vite. Comme un train fou lancé sur des rails. Un train qui ne savait pas où il allait et qui n’avait jamais appris à freiner.