Citations sur Le Cri du peuple, tome 4 : Le Testament des ruines (.. (9)
Je ne comprends pas que des hommes qui ont passé toute leur vie à combattre les errements du despotisme, une fois au pouvoir, s'empressent de tomber dans les mêmes fautes.
Je ne comprends pas que des hommes qui ont passé toute leur vie à combattre les errements du despotisme, une fois au pouvoir, s'empressent de tomber dans les mêmes fautes.
" La vérité est comme le soleil. Elle fait tout noir devant les yeux et ne se laisse pas regarder ! "
Lorsque la consigne est infâme, la désobéissance est un devoir !
Dans les quartiers reconquis par Versailles, j'ai vu des hommes semblables à ceux qu'on peut voir le dimanche à la sortie de la messe, des hommes respectables et attentifs à leurs épouses et à leurs enfants, enfoncer des goulots de bouteilles dans les bouches des cadavres et les vagins des mortes ... Émasculer des enfants, casser les nez à coups de pied, crever les yeux, éventrer les corps et faire du bout de leurs Cannes à pommeaux d'argent, des guirlandes de boyaux encore chauds !
On dit aussi que si on se trempe le cul dans un bénitier tous les matins, on gagne, sûr et certain, sa place au paradis !
-Dans les quartiers reconquis par Versailles, j'ai vu des hommes semblables à ceux qu'on peut voir le dimanche à la sortie de la messe, des hommes respectables et attentifs à leur épouse et à leurs enfants, enfoncer des goulots de bouteilles dans les bouches des cadavres et les vagins des portes... Émasculer des enfants, casser les nez à coups de pied, crever les yeux, éventrer les corps et faire du bout de leurs cannes à pommeaux d'argent, des guirlandes de boyaux encore chauds !
-De paisibles Français, catholiques et patriotes... De braves gens, cruels, médiocres et délateurs !
-Ils ne m'auront pas ! Et je pourrai être avec le peuple encore, si le peuple est rejeté dans la rue et acculé dans la bataille.
Achevez les blessés !... Autant de Communards en moins !... Ça soulagera les pelotons !
Ne te décourage pas , cure, pour tout ce vide devant toi ! Pour tout ce noir ! Tout ce rien ! Rien ! RIEN !