Les chroniques de St Mary, tome 0.5 : Au commencement

Réticents, ils ont pénétré dans la machine, mesurant chacun de leurs pas et observant ce qui les entourait. Leurs visages étaient indéchiffrables ; après tout, cela faisait de longues années qu'ils travaillaient pour le gouvernement. Ils descendaient sans doute même de longues lignées de fonctionnaires. Ils avaient certainement perdu le gène des bonds surexcités aux alentour du XIVe siècle.

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Les seules absences à ces réunions que j’accepterai seront celles des personnes qui ne se trouveront pas physiquement à St Mary, qui auront contracté une maladie grave ou, dans certains cas, qui seront mortes, à condition que ces motifs soient justifiés par un certificat.

— Qu’aimeriez-vous voir, madame Green ? Avec toute l’Histoire à portée de main… si vous aviez le choix, quand iriez-vous ?

— La vérité est toujours importante. Elle n’est peut-être pas populaire, ni à la mode, ni pratique, mais elle est toujours importante. Il doit subsister des archives des événements tels qu’ils se sont produits. Pas des versions réécrites par les politiques, des idéaux religieux ou des récits socialement acceptables, mais la vérité qui dérange souvent.

— Mon cher monsieur, vous nous décrivez une poudrière. Que pourrions-nous bien faire de cette vérité qui dérange ?

[...] le Dr Bairstow a offert un sourire aimable aux deux représentants des Forces du Mal, ou de la Société pour la protection des édifices historiques (SPEH), comme ils préféraient probablement s’appeler.

Le jour où j'avais échappé à cette invention diabolique qu'est la famille.