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Un livre qu'on reçoit en plein bide comme un coup de poing qui écoeure et fait courber l'échine. Un livre qu'on reçoit aussi en plein coeur comme autant de preuves d'amour qu'on voudrait donner. On rêve de pouvoir tendre la main à Vincent, le serrer contre soi et lui dire que tout ira mieux.
Un livre qui touche, non pas comme un effleurement mais comme une pression maintenue fortement et qui laisse une trace, au moins pour quelques temps.
Une réussite pour finir cette année.
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Vincent est un jeune homme de 19 ans qui malgré son jeune âge a déjà un très lourd passé derrière lui.
En effet, il profite d'une seconde d'inattention de son beau père qui l'abattre et se dénonce immédiatement à la police. S'il pensait tuer ses démons en tuant son beau père, la prison va le contraindre à voir la vérité en face.

Un roman court mais efficace. Dur, violent, sans concession. de ceux qui vous troubleront.
Des passages durs.
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Je crois bien que c'est la première fois que je verse une larme en lisant un livre...Une vraie claque ce livre ! Ce livre m'a pris aux tripes, je n'ai pas pu le lâcher.

On suit Vincent, 19 ans, qui vient de tuer son père après des années de maltraitance. Les chapitres alternent présent et passé. A travers les chapitres du passé, on découvre de façon très crue et directe l'horreur de la vie de Vincent enfant puis adolescent. On découvre un jeune homme malade, régulièrement humilié et battu par son père, qui d'un côté essaye de rentrer dans le moule pour ressembler à l'idée que se fait son père d'un homme. Il tente de lui plaire afin d'avoir un peu d'amour et respect de sa part et moins de coups et insultes. Un jour, grâce à un prof, il se découvre un don pour la danse qui agit comme un défouloir pour Vincent. Pendant quelques instants, il peut s'évader, trouver un peu de bonheur et réconfort auprès de la seule personne bienveillante envers lui.
Puis à travers les chapitres du présent, on suit Vincent libéré de l'emprise de son père. Il libère petit à petit ses sentiments, s'ouvre à la confession et on découvre pourquoi un jour Vincent se rebelle, n'accepte plus tout cela et décide de tuer son père.

Au fil de livre, je me suis vraiment attachée à Vincent, à frémir en lisant les sévices infligés par son père, à sourir dans ses rares moments de bonheur, à espérer qu'enfin il se libère de l'influence de son père et devienne lui-même.

Ce livre traite plusieurs sujets forts (un peu trop peut-être?) :maltraitance, homophobie, racisme, prostitution. Et clairement, les descriptions et dialogues sont crus, l'auteure ne s'embarrassent pas de faux-semblants ou de fioritures.

Le roman est court mais percutant. C'est est un vrai plaidoyer pour la tolérance, l'acceptation des autres et de leurs différences. Il fait réfléchir et ne laisse pas indemne. Je pense que j'y penserai encore longtemps.
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Bouleversant ! le roman est fort et addictif, le genre qui vous attrape pour vous retourner le coeur et les sens, qui vous rend accroc dès les premières lignes atroces et difficilement soutenables et pourtant, ne vous donne qu'une envie, en savoir plus et comprendre l'acte abominable d'un fils envers son père.

L'auteure a choisi, en un peu plus d'une centaine de page, de traiter de thèmes forts, violents, agressifs pour le lecteur : la maltraitance, la prostitution, l'homophobie, la xénophobie et j'en passe. Ah oui, on ne peut pas dire que l'auteure ménage son lectorat, elle a voulu jouer sur la crudité des situations, sur les mots lourds de sens, sur des actes qui s'accumulent pour toujours plus nous horrifier, nous dégoûter et certainement nous faire prendre conscience d'une réalité qui existe.

Vincent a dix-neuf ans, il se sent libre, il vient de tuer celui qui abusait de sa force et de son pouvoir depuis toujours, Franck, son père. Vincent est arrêté et plaide coupable, il est emprisonné. Dans sa cellule qu'il partage avec Yassir, un algérien, et avec l'aide d'une future psychologue très intéressée par son cas, il revit les réminiscences du passé, un passé horriblement douloureux qui cache pire encore. Peut-être est - ce là le comble de la situation, être enfermé, être libre du joug d'un père abusif, un avant goût d'une résilience possible.

Vincent est personnage qui n'est pas gâté par la vie, malade, maigre, chétif, effacé, pâle. Une mère absente, qui se prostitue sous le toit familial et en fait profiter son fils, qu'elle achève de traumatiser en ne lui témoignant jamais d'affection, pas la moindre tendresse, aucun acte d'amour maternel, l'indifférence la plus totale. Un père, Franck, routier qui s'absente régulièrement, en sachant parfaitement les activités de sa femme, et revenant chaque fois plus haineux, plus violents, distribuant les coups sur le pauvre corps de l'enfant, de l'adolescent, l'humiliant dès que possible, le brisant dans son humanité, pour Franck, Vincent est un moins que rien, une pédale bonne à s'habiller en robe, et certainement pas un homme. Traumatisé, transformé, Vincent essaiera d'acquérir l'amour des siens, du moins des attentions minimes, puis tout simplement une paix, un apaisement des travers de ses parents, pour cela, il intègre le club de son père, un groupe de nazis, homophobe, xénophobe qui s'amuse à tabasser les étrangers et les homosexuels, un groupe qui se paye des prostitués sur la banquette arrière de leur bagnole ou sur des bancs publics pendant que leur pote s'évertue à fracasser de la "pédale ou du bougnoule". Vincent est donc modelé, assujetti aux idées extrêmes qu'on lui rabâche sans cesse depuis son enfance. Les bourreaux ont crée un être dénué de toute sociabilité, perdu dans des idées qu'on lui a inculqué à coups de poings.

Et pourtant, une passion, un homme, Pedro, va apporter une lueur d'espoir qui va malheureusement vite s'éteindre, un espoir tout de même qui va marquer Vincent, une fissure, une brèche dans son modelage... de cette passion, on pourra peut-être reprocher qu'elle apparaît trop évidente pour Vincent, sans base, sans jamais avoir pratiquer, il devient très vite talentueux... Vincent cherche surtout de l'attention, de la tendresse, de l'affection et surtout de l'amour, des choses qu'il n'a jamais connu.

"Je ne suis pas différent. Tout le monde s'aime de la même façon, et puis quand il s'agit de sexe, c'est toujours la même chose, il s'agit d'un mélange des corps, d'une union. Alors je ne vois pas en quoi cela ferait de moi une personne différente."

Et puis, il y a ce meurtre, dix-neuf ans, Vincent n'en peut plus, il profite d'une faiblesse paternelle pour le tuer, un meurtre violent, horrible à l'image de la victime. Une vive sensation de liberté, de puissance qui très vite s'estompe, une fois l'effet du meurtre passé... Vincent se pense être un monstre, se pense monstrueux, pourtant il accepte sans scier les conséquences de son acte ; la prison.

"Des monstres comme moi, vous pouvez le dire, je sais que j'en suis un."

Une nouvelle rencontre, un nouvel homme, Yassir, le co-détenu, a commis lui aussi un acte irréparable, et dans ses yeux sombres et ténébreux, intelligence et déduction viennent rapidement comprendre qui est Vincent, ce qu'il est, ce qu'il cache, ce qui va profondément perturber le jeune homme qui a bien du mal à accepter d'être mieux compris par autrui que par lui - même. Une jeune femme, future psychologue va également s'intéresser à son cas, l'écouter, lui apporter un certain apaisement. Ces deux personnages vont peut-être lui apporter ce qu'il recherchait depuis tout ce temps ; un peu d'attention, un peu de tendresse, une reconstruction est peut-être alors possible ?

Pour le savoir, il vous faudra lire ce roman. C'est court, c'est intense, l'auteure accumule les scènes passés dérangeantes mais nous réserve le clou de l'horreur dans son dénouement, un dénouement discutable, précipité qui achèvera certainement de vous broyer le coeur après avoir eu quelques uppercut bien sentis en lisant certains chapitres évoquant le passé de Vincent. Pourtant étonnamment, on s'habitue aussi à ces horreurs, peut-être à cause de leur multitudes, de leur intensité égale ? L'auteure nous maltraite, les bleus psychologiques s'accumulent jusqu'à la déchirure où les hématomes deviennent des blessures sanglantes, l'auteure joue avec nos nerfs, avec nos émotions, nos sens, pour nous tirer quelques larmes quand nous fermons l'ouvrage, un vrai carnage émotionnel. le pire dans tous ça, c'est qu'elle nous rend addict, on en redemande, on ne lâche pas notre livre, on reste accrocher à cet espoir que peut-être tout peut changer...

Ce qui met le plus en colère, c'est l'indifférence des autres face au cas de Vincent, il est faible, il est malade, il est transparent, personne ne le voit, personne ne bouge pour le tirer de cette vie merdique qu'aucun enfant ne mérite ça, personne ne voit les bleus, le choc psychologique, quand la fiction rejoint la réalité, ça fait peur, très peur. Sans cautionné l'acte, on comprend toutefois pourquoi.

En bref, que cache ce nounours au ruban couleurs arc en ciel ? La vie traumatisée et détruite d'un enfant. Que cache ce parquet qui s'assombrit ? Des actes violents, des humiliations, des choses malheureusement qui ne ce cantonnent pas à être seulement fictives. Une lecture à ne pas mettre entre toutes les mains, ou peut-être que si finalement, sachez que cela existe et c'est là le plus révoltant !
Lien : https://songesdunewalkyrie.w..
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Une claque...

J'ai sélectionné ce livre, car mon booktuber préfèré l'avait adoré. Au vu du sujet traité: le parricide, je sentais bien que ce livre allait me plaire. Mais je ne pensais pas que je serais chamboulée à ce point la.

Concernant la forme, je dois dire que la couverture est sombre et je la trouve des plus adaptée. le titre lui aussi, est choisis avec soin. L'écriture est fluide, à la troisième personne, mais je crois que ce récit aurait été trop difficile à écrire pour l'auteur à la première personne. Enfin c'est un roman court 140 pages, mais la encore cela m'est apparut comme adapté. Je ne suis pas sûre que j'aurais pu lire plus de pages sur l'enfer de Vincent.

Passons au récit, le prologue pose le décor. Dès la première page j'ai plongée dans l'horreur et la mal, ce prologue m'a fait l'effet d'un panneau d'avertissement: "attention une fois commencé aucun retour en arrière ne sera possible".

J'ai aimé le découpage de l'histoire de Vincent, et le fait de jongler entre son incarcération et son enfance chaotique.

Vincent est un personnage attachant, doux et meurtris. Yassir est lui aussi très touchant et son histoire m'a tout autant émue. Quant à Melissa elle est la touche féminine de ce livre, la mère douceur et tendresse.

L'histoire de Vincent est dure, elle m'a fait se serrer mes entrailles. Et lorsque je pensais que nous avions déjà vécu le pire, le dénouement me bascule dans l'horreur indissible. La vérité m'a arraché le coeur et je me suis trouvé comme meurtrie à mon tour. Car même si ce roman est une fiction, je sais hélas que des enfants vivent ce genre de situation.

Ce livre nous amène à comprendre les raisons de ce patricide, à faire une plongée dans les entrailles du mal et de la haine. La fin est un creve coeur et une fois le puzzle assemblée j'ai compris l'imcomprehensible.

Vincent va rester graver dans mon coeur et son histoire va laisser une cicatrice dans mon âme. Ce livre n'est pas à prendre à la légère, car il peut heurter les personnes les plus sensibles. C'est pourquoi je ne le recommanderais pas à tous. Même si je suis persuadée que bon nombre devrait le lire.

En conclusion ce roman est un de mes coups de coeur et il va trouver sa place au milieu de mes favoris pour que je puisse le relire et même le partager.

Bonne lecture à tous.
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La lecture a toujours constitué pour moi une soupape de sécurité. Une parenthèse enchantée absolument nécessaire dans ma petite vie pour quitter un moment la réalité parfois difficile ou stressante du quotidien, et m'offrir une virée dans la vie d'un autre. C'est la raison pour laquelle la grande majorité des billets présents sur eTemporel sont des chroniques SFFF ou des thrillers. Malgré son quatrième de couverture trompeur, Résilience fait exception à la règle. Pour ceux qui penseraient avoir à faire à un thriller, on vous a trompé sur la marchandise !

En effet, ce court roman n'a rien d'un thriller, encore moins d'une romance homosexuelle, comme j'ai parfois pu le lire au hasard de mes pérégrinations sur Internet. Il s'agit d'un plaidoyer contre le racisme et l'homophobie, et si l'intention est fort louable, le résultat ne m'a malheureusement pas convaincue. On suit Vincent, un jeune homme de dix-sept ans qui vient de commettre un parricide. Les chapitres alternent entre les scènes de prison et des flash-back dans l'enfance du jeune homme, destinés à nous expliquer comment et pourquoi il en est arrivé là.

D'une santé extrêmement fragile, Vincent souffre d'une maladie dégénérative depuis l'enfance. Malade, faible, déformé et renfermé, il faut bien reconnaître que la nature ne l'a pas gâté. Sa mère, prostituée à domicile sous les yeux de son fils, l'ignore purement et simplement. Quant à son père, il est l'archétype du bonhomme violent, raciste et homophobe, et le pauvre gosse est quotidiennement battu, humilié, et conditionné pour haïr les étrangers et les pédés. Vous imaginez bien que tout cela ne peut que mal finir, et c'est évident dès les premières pages.

Pourtant, on nous détaille par le menu toutes les atrocités subies par Vincent, et ce dans un style très cru. Au final, ce sont 147 pages de maltraitance quasi ininterrompue qui nous attendent, les rares instants de grâce vécus par le jeune homme n'étant que le prélude à plus d'humiliation et de souffrance. Une surenchère probablement destinée à choquer le lecteur, à l'interpeler sur les certes terribles conséquences du racisme et de l'homophobie, mais qui au final donne surtout l'impression de servir d'excuse à Vincent pour le meurtre qu'il a commis.

On en ressort au bord de la nausée, écoeuré par ce que Vincent a subi, par ce qu'il a commis, par cette histoire toute entière en définitive. Soutenir la lutte contre l'homophobie, oui, de bon coeur, mais pas en recommandant cet ouvrage, et surtout pas auprès des jeunes.
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
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Roman "coup de poing". Touchant, poignant, dérangeant mais si vrai... On assiste à une histoire que tant d'adolescents vivent chaque jour. Une réalité dépeinte avec brio avec les mots qu'il faut. Un excellent roman!
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Je ne sais absolument pas comment commencer cette chronique, tant elle m'a bouleversée, secouée et attristée. L'auteure est parvenue en à peine quelques pages à me faire pleurer et à me toucher plus que je ne le pensais. C'est une bien belle découverte, mais une découverte qui touche en plein coeur.

Vincent n'a pas la vie dont il rêverait : un père qui le maltraite quand il est présent et une mère droguée et qui couche à droite et à gauche, sans se préoccuper de son fils qui n'est pas né comme elle l'aurait voulu. Vincent est replié sur lui-même, essaye de se faire tout petit pour ne pas avoir de retombées. Oui mais voilà, pour ses dix-neuf ans, il a décidé de s'offrir le meilleur cadeau, d'après son point de vue : il a tué son père, celui qui le battait constamment, le mettait plus bas que terre, son détracteur, en somme. Arrêté par la police, il ne nie pas les faits, bien au contraire : il est donc envoyé en prison, là où il pourra réfléchir à ses actes. Il pouvoir apprendre à se connaître, et peut-être trouver sa délivrance.

C'est un roman choc que nous propose l'auteure. J'ai su dès les premiers mots qu'il me mettrait mal à l'aise, mais qu'en parallèle, il me serait difficile de le lâcher. Et c'est bien ce qu'il s'est passé. J'ai eu du mal à reposer le livre, je tournais frénétiquement les pages, parce que je voulais voir comment Vincent allait s'en sortir et s'il allait trouver sa délivrance. Mais en même temps, je savais aussi que ce n'était pas un livre bisounours, où « tout est bien qui finit bien », néanmoins, j'avais cette petite lueur d'espoir.

Le point fort de ce court roman, c'est que l'auteure a décidé d'alterner ses chapitres entre le passé et le présent. Moi qui ne m'attendais qu'au présent, j'ai été agréablement surprise, et cela m'a fait encore plus aimer ce livre si hors du commun. Grâce à ces sauts dans le temps, nous apprenons à connaître Vincent. Nous savons par quoi il est passé, nous voyons à quel point ses parents étaient violents avec lui (autant verbalement que physiquement), à quel point il était devenu une tare pour eux. Mais au-delà de ce côté négatif, nous avons pu voir aussi que certains étaient là pour le soutenir, pour lui redonner confiance en lui, pour l'élever encore plus haut. Pour lui montrer qu'il était quelqu'un de bien, que toute « l'éducation » apportée par ses parents était mauvaise et néfaste pour lui.

Dans le présent, dans sa cellule, il fait la rencontre de Yassir, qui lui aussi à commis un acte impardonnable. Bien qu'ils soient de religions différentes, ils vont apprendre à se connaître et se rendre compte qu'ils ont des points communs. Cette relation ne va pas être simple, bien au contraire. Vincent va apprendre sur lui, va être en colère de voir que Yassir semble en savoir bien plus que lui-même, et surtout, il va comprendre qui il est vraiment : un homme qui aime les hommes. Un être humain, qui certes n'est pas amoureux des femmes comme le lui a appris son géniteur, mais qu'il n'est pas une chose, un montre, qu'il est humain.

C'est une vraie leçon de vie que nous offre Julia M. Tean. Elle nous prouve une nouvelle fois que la vie mérite d'être vécue, que nous sommes ce que l'on est et que personne n'est apte à juger nos préférences sexuelles ou ethniques. Chacun est libre de vivre sa vie comme il l'entend et n'a pas à sentir sur lui le regard des autres, ni à être juger. Tout le monde est humain, tout le monde à ses préférences. C'est cela, vivre dans un monde libre. Malheureusement, encore beaucoup de personnes ne voient pas de la même façon, et ce sont eux qu'il faut plaindre.

Quant à la fin, que dire à part que j'étais déchirée, le coeur en mille morceaux, mais qu'en même temps, c'était la fin logique, le fil conducteur du récit. J'aurais préféré une autre fin, cela va de soi, mais cette fin est la plus réaliste possible.

En résumé, c'est un roman coup de poing que nous offre l'auteure. Elle aborde divers sujets, mais surtout comment est encore perçue l'homosexualité dans notre vie. Certains ne l'acceptent pas, et font vivre un enfer à ceux qui sont malgré tout comme nous : ils aiment juste différemment et parfois, cet amour est encore plus sincère et beau. Il ne faut plus Vincent. Il faut réussir à faire évoluer les moeurs, vivre avec son temps et les évolutions de la vie.

* Je remercie l'auteure et Rebelle pour leur confiance ! *

Justine P.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..
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Le sujet traité dans ce livre est très délicat et l'histoire y est superbement racontée. J'ai été très touchée en lisant l'histoire de Vincent j'en suis sortie toute chamboulée, je le recommande vivement.
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Roman poignant et touchant, ce livre qui raconte la vie de Vincent, 19 ans, qui vient de tuer son père. Recit qui se lit facilement et rapidement. (Lu en 1 journée). Plusieurs thèmes difficiles à entendre sont abordés dans ce livre qui ne peut que bouleverser.
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