L'immigration a toujours existé, quand elle est choisie dans les règles tout le monde y trouve son compte. le brassage des populations est une véritable aubaine, une richesse inouïe tant sur le plan culturel, que celui de l'évolution mentale, la régénérescence cellulaire de l'être humain. Il contribue aux progrès, la construction et l'économie d'un pays.
le droit d'asile permet à certains contrevenants de trouver refuge et protection en un lieu privilégié. Dans la logique d'un vrai partenariat le réfugié devra s'intégrer tout en respecterant les lois du pays d'accueil.
Au contraire la clandestinité est un véritable fléau autant pour le pays qui la supporte, que l'immigré sans papiers ne pouvant prétendre au passe droits: carte de séjour, ou une potentielle naturalisation. Une majorité de personnes étrangères ayant quitté leur pays où la guerre ne sévit pas, ne subissant aucune menaces particulières, et seraient tentés se saisir du droit d'asile qui n'est plus reconnu en tant que tel. Des cas s'avèrent quand des étrangers viennent en touristes, séjourner temporairement passeport en mains, pour rendre visite à leurs familles, ou des amis. Certains montent un scénario avec la ferme intention de ne pas retourner dans leur pays. Les guerres déplacent les populations, les destructions massives des villes entraînant sous leurs ruines tous les supports de soins, les écoles, les habitations, les administrations ne permettant plus de répertorier l'état civil d'une partie des populations, les rescapés fuyant les massacres, et, c'est à tous cela qu'il faudrait trouver des accords suscitant l'aide internationale des pays démocratiques pour accueillir les réfugiés, et faire valoir Les droits Universels de l'Homme dans le monde entier. Il faudrait plus que jamais revoir la convention de Genève sur
le droit d'asile adoptée le 28 juillet 1951. La notion de crime de guerre, consacrée par le procès de Nuremberg, a contribué à effacer la distinction qui existait entre les réfugiés politiques et les accusés de droit commun. Les tensions politiques étant devenues des conflits idéologiques, les problèmes de personnes se rattachant fondamentalement aux problèmes intérieurs de chaque pays.
Il ne faudrait pas prendre le Japon pour un bon, ou mauvais exemple, car il ne livre à aucun étranger demandeur d'asile le droit de venir s'installer sur son sol, mais c'est aussi la façon de ce pays pour protéger sa population et maintenir la paix.