Citations sur Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Communauté de l'an.. (437)
Un Anneau pour les gouverner tous, un Anneau pour les trouver. Un Anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier.
— On prétend que l’art des Nains réside plutôt dans leurs mains que dans leur langue, dit-elle ; mais ce n’est pas vrai pour Gimli. Car nul ne m’a jamais présenté requête aussi hardie et pourtant aussi courtoise
Nombreux sont ceux qui vivent et méritent la mort. Et certains qui meurent méritent la vie. Pouvez-vous la leur donner ?
(...) pour ce qui est de briser l'Anneau, la force est inutile. Même si vous lui asseniez un violent coup de marteau, vous ne lui feriez aucune égratignure. Il ne peut être détruit par vos mains, ni par les miennes.
Votre petit feu, (...) , ne fondrait même pas l'or ordinaire. Cet Anneau en est déjà sorti indemne, sans même s'échauffer. (...) il n'existe dans ce Comté aucun fourneau de forgeron qui puisse l'altérer de quelque façon. Pas même les enclumes et les fours des Nains ne le pourraient. On disait autrefois que le feu des dragons pouvait fondre et consumer les Anneaux de Pouvoir, mais il n'est plus désormais aucun dragon sur terre en qui le feu soit encore assez chaud; et il ne fut jamais aucun dragon, pas même Ancalagon le Noir, capable d'endommager l'Anneau Unique, (...), car c'est l'œuvre de Sauron lui-même.
Il n'y a qu'un seul moyen : trouver les failles du Destin dans les profondeurs d'Orodruin, la Montagne du Feu, et y jeter l'anneau, si vous souhaitez réellement le détruire, le mettre hors de portée de l'Ennemi pour toujours.
Livre 1 - Chapitre 2
C'est le boulot qu'on ne commence jamais qui est le plus long à terminer.
Un anneau unique pour les gouverner tous, un Anneau pour les trouver et tous les lier au pays de Mordor où s'étendent les ombres
« Je ne sais pas, dit Gandalf, mais tous les bras étaient guidés par une même intention. Quelque chose est sorti ou a été chassé des eaux sombres sous les montagnes. Il est des choses plus vieilles et plus ignobles que les Orques dans les profondeurs du monde. »
- Nouvelle traduction de D. Lauzon -
Ho ! Ho ! Ho ! A la gourde je recours
Pour calmer mon coeur et noyer ma peine.
La pluie peut tomber, le vent peut souffler,
Et bien des milles être encore à parcourir,
Mais sous un grand arbre je m'étendrai,
Laissant les nuages voguer dans le ciel.
Vaine ai-je appelé la victoire de la Dernière Alliance ? Pas entièrement, mais elle n'atteignit pas son but. Sauron fut diminué, mais non détruit. Son Anneau était perdu, mais non défait. La Tour Sombre était détruite, mais ses fondations n'en étaient pas effacées ; car elles avaient été faites par le pouvoir de l'Anneau et tant qu'il reste, elles demeureront. Un grand nombre d'Elfes, ainsi que beaucoup d'Hommes puissants et de leurs amis avaient péri à la guerre. Anarion était tué, Isildur aussi ; et Gil-Galad comme Elendil n'étaient plus. Jamais plus il n'y aura pareille ligne d'Elfes et d'Hommes ; les Hommes se multiplient, alors que les Premiers-Nés diminuent, et les deux familles sont aliénées. Et, depuis ce jour, la race de Numenor a décliné et l'étendue des années de ceux qui restent a diminué.
Un conseil est un don dangereux, même de sage à sage.