Love Love Love, tome 1 : Yeah Yeah Yeah

Une couverture attractive et une bande-dessinée de science-fiction où l'amour est essentiel. En effet, dans ce monde, les robots côtoient les humains mais ne peuvent recharger leur batterie que grâce à l'amour, ce qui est loin d'être facile puisqu'ils sont relégués au ban de la société. Alors quand, Elle (humaine) et Karel( robot) se rencontrent, ce début d'amitié est mal vu. Surtout quand les opprimés décident de se rebeller. Une bande-dessinée bien scénarisée avec des personnages aux caractéristiques physiques et morales biens réalisées. J'ai trouvé que certains épisodes auraient mérité plus de développement mais un tome 1 prometteur. #LoveLoveLove #NetGalleyFrance

J'ai beaucoup accroché au début du récit car j'ai trouvé que c'était une histoire originale avec des personnages attachants et un univers à découvrir.
Et puis ça a basculé vers une critique sociétale à laquelle je ne m'attendais pas. Une tournure que je n'imaginais pas, pensant que cette histoire serait plus simplement romantique et moins politique. La fin est abrupte, un nouveau virage trop rapide dans les événements qui laisse perplexe...

Dans cette version du Paris futuriste, méchas et humains se côtoient... sans vraiment s'apprécier. C'est dans ce cadre-là que Elle et Karel vont se rencontrer et tomber amoureux. Ils seront mal vus par la sorcière, et ils vont devoir surmonter de nombreux obstacles (notamment l'obsolescence programmée de Karel qui s'accélère plus vite que prévu !). Pour un premier tome, l'histoire est dynamique, et se termine sur une piste plus aventureuse, laissant présager peut-être un peu plus d'action et moins de romantisme. L'univers graphique est très agréable, avec une dominante de rose (Karel et Elle voient la vie en rose lorsqu'ils sont ensemble !) Cette série se montre prenante, divertissante et attendrissante. Elle nous immerge dans un univers construit auquel on adhère très rapidement, et qu'on a envie de continuer à explorer dans les tomes à venir.

La couverture très réussie m'a donné envie de sortir de ma zone de confort en découvrant cette BD futuriste. Une société où les robots font partie du quotidien mais n'ont pas de droits. Ils sont regroupés dans un ghetto avec peu de considération de la part des humains.

Une romance se crée entre une humaine (Elle) et un androïde (Karel), tandis que la révolte des robots est en marche. A travers cette histoire d'amour, ceux sont les thèmes de la différence, la tolérance que nous propose l'auteur.

Les premières pages m'ont plus même si ce n'est pas forcément ma tasse de thé. J'ai aimé le style des illustrations et de la colorisation. Néanmoins au fil des pages mon intérêt s'est affaibli jusqu'à la fin. le duo Elle & Karel ne m'a pas attendri malgré toute la force que leur amour représente.
Néanmoins je pense que ce premier tome plaira aux adeptes du genre !

Yeah yeah yeah est le premier tome de la trilogie Love, love, love.

Une sorte de Roméo & Juliette dans un Paris futuriste entre un robot et une humaine.

On suit la rencontre entre Karel, un Cherish bot (un robot mais le terme est devenu péjoratif) dont l'espérance de vie est préprogrammée et Elle une humaine au caractère volcanique.

Mais la société est contre eux et leur histoire est impossible, en effet les robots ont été réduits à l'état de quasi-esclave et parqués dans des ghettos en banlieue.

Les couples mixtes sont mal vus d'un côté comme de l'autre. Néanmoins Elle et Karel ont envie l'un comme l'autre d'y croire et vont tout faire pour vivre leur amour malgré les embûches.

Une bien jolie BD qui par le biais d'une romance dresse une critique intéressante de différents aspects de la société (consumérisme, obsolescence programmée, discriminations, racisme, oppressions, rébellions et j'en passe)

J'ai une tendresse particulière pour Karel dont les traits m'ont rappelé Astro le petit robot de mon enfance !

Je lirais les prochains tomes avec plaisir c'est certain.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de la science-fiction. J'ai apprécié que l'intrigue ne tourne pas uniquement autour de la romance (qui est toute mignonne soit dit en passant). La société dans laquelle évolue les personnages est intéressante et j'ai hâte d'en découvrir plus à son sujet. Cette bande dessinée traite de la place des androïdes dans cette société, de l'obsolescence programmée ou encore de la répression du gouvernement. On nous offre une critique intelligente de différents aspects de la société : discrimination, racisme, consumérisme, ...

Ce premier tome est prometteur et j'ai hâte de connaître la suite de cette histoire.
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Tout d'abord, je souhaite remercier les éditions Dupuis pour l'envoi de cette BD.

Si j'avais été super enthousiaste suite à ma lecture de Absolument Normal, mon intérêt est assez redescendu dans celui-ci puisque je n'ai pas trop compris ma lecture.

Enfin, j'ai compris que c'était une romance sur plusieurs années, mais pas au début, et du coup j'ai été perdue par la rapidité des événements et des changements de situation rapides.

J'ai apprécié l'idée de départ avec ce monde stigmatisé, une catégorie de « robots » est mise à l'écart de la société, ce système de batterie fonctionnant sur l'amour pour les recharger, j'ai trouvé tout ceci très intéressant et j'avais hâte d'en savoir plus.

Mais en lisant le dernier mot de ce tome 1, je ne sais pas trop si cela m'a donné envie de lire la suite à vrai dire. Je suis un peu perdue et je ne saurais dire si j'ai vraiment apprécié ma lecture ou non. Cela me laisse avec une impression assez mitigée même si l'univers était génial à découvrir.

J'ai trouvé les dessins très bien réalisés même si je dois dire que c'était un peu trop terne pour moi dans l'ensemble.

En bref, j'ai bien aimé ma lecture dans sa globalité mais ne me laissera pas une marque indélébile dans l'esprit. J'ai été déstabilisée par mon expérience et je ne saurais trop dire ce qui me laisse cette impression amère à la fin de la BD mais c'est comme ça j'imagine. Je vous le conseille néanmoins !
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