Citations sur La Passeuse de mots, tome 3 : La Mémoire de la lune (109)
A ses côtés, je ne crains pas la mort, mais je crains la sienne. Je lui pardonnerais tout. Je lui donnerais tout. Je n’ai aucune certitude, mais je possède bien des convictions.
Se faire aider, ce n’est pas échouer, c’est partager une victoire.
L'humour lui [Alric] sied à merveille, et ajoute une touche insolente à sa beauté. C'est toujours beau de voir quelqu'un d'autre heureux. À croire que le bonheur se transmet, et que le monde serait bien différent avec ce genre de maladie.
Rien ne sera jamais parfait entre nous, parce que nous ne le sommes pas. Et cette imperfection n’est que le signe de notre humanité.
Grâce à mon Mantra, j'invente sa chaleur, mais je sais qu'il n'en a pas besoin. Car tout ce qu'il me transmet, l'amour, sa reconnaissance, ses excuses, suffit à donner à ses cœur la puissance de deux soleils. Tous ces sentiments sont capables de rallumer son humanité.
Ma vie sans la tienne ne compte pas, c’est à toi de te mettre ça dans le crâne, cette fois. Nous sommes liés toi et moi, Een Nura.
Je ne suis pas ton rêve, Amour, je suis ta réalité.
À ses côtés, je ne crains pas la mort, mais je crains la sienne.
- Vous aimez drôlement les images.
- C’est difficile d’expliquer ce qu’on ressent sans en utiliser. Peu de gens se trouvent à notre place, et même s’ils l’étaient, ils ne ressentiraient pas les choses de la même façon que nous. C’est propre à chacun, les émotions. Il n’y a qu’à regarder autour de nous : tous n’ont pas les mêmes mécanismes de défense. Se renfermer, se rapprocher des autres, fuir la réalité, plaisanter.
Mentir à son propre cœur est pire que tout. Accepter une émotion fait de nous son maître. La refuser, la nier, c'est en devenir l'esclave.