« Le BDSM, ce n’est pas ça [de la violence] ; c’est une domination subtile, une soumission volontaire, une jouissance du pouvoir de l’un sur l’autre, jusque dans la douleur et l’humiliation. »
Une fois, je lui ai dit : « Si je me laisse entraîner où tu rêves de m’emporter, Arthur, ta vie sera en danger ». Il a répondu : « Je m’en fous de mourir si c’est de vos mains ». Mais je ne suis pas un meurtrier et je hais la vraie violence, celle que l'on inflige à qui ne la recherche pas ou n'y consent pas. On pourrait même me considérer comme un pacifiste. Je lui donnais donc tout ce que je pouvais sans qu’il doive retourner à l’hôpital