Quelques-unes de ces princesses étaient, notez-le bien, des natures artistes, des âmes ouvertes au sentiment. Quand elles poursuivaient une idée, quand leurs doigts fixaient une impression ou un souvenir, elles étaient les proches parentes de ces femmes gracieuses, qui ont eu, à côté du rang suprême, le loisir d'aimer les lettres, de composer des romans ou de s'essayer à la poésie.