Où est l'homme qui n'a pas exploré en esprit la nature abyssale ? [...] Nous sommes tous poètes comme des enfants quand nous songeons au fond de la mer, et nous nous y perdons avec délice. p18
Qui peut échapper aux prestiges de la vivante masse des eaux ? Elle joue de la transparence et des reflets, du repos et du mouvement, de la paix et de la tourmente ; dispose et développe devant l'homme en figures fluides, la loi et le hasard, le desordre et la période ; offre la voie ou barre le chemin. p15
Pour moi je me résume tout cet enchantement de la mer en me disant qu'elle ne cesse de montrer le possible à mes yeux. p14