Habituellement, les censeurs se contentaient d’extraire les images au contenu obscène, avec une préférence pour les appendices sexuels féminins mineurs – auxquels venaient s’ajouter, bien entendu, les parties encore plus suggestives de leur anatomie –, ainsi que des photos de jeunes et beaux éphèbes. Dieu seul sait pourquoi !
L’avenir n’appartient pas à l’art, mais à la science. L’architecture, la mécanique, la chimie et l’optique vont plus changer le monde que l’art n’a jamais été en mesure de le faire.
Pour la plupart, les gens sont idiots. Et parmi les plus idiots, il faut nommer ces cuistres que sont les universitaires et les professeurs. Ils s’imaginent être en mesure de porter un jugement sur une œuvre d’art, alors qu’ils n’ont jamais tenu un pinceau de leur vie, et encore moins un ciseau à bois. Ils considèrent que ma Mona Lisa est l’œuvre la plus importante au monde
Lorsqu’il m’arrive de temps à autre de vendre une de mes œuvres, on me prend pour un faussaire ou un copiste. Or je ne suis jamais allé au Louvre, je n’ai même pas vu de l’extérieur le musée des Offices, et encore moins le Vatican à Rome. Des copies ou des faux ! Et puis quoi, encore ! Comment ferais-je pour réaliser des faux ou des copies de mes propres œuvres ?
En présence d’oxygène, le sang de pigeon s’oxyde plus vite que le sang de tout autre animal, à sang chaud ou à sang froid. Il est donc impossible de dater ce sang. Jusqu’à ce jour, ce phénomène reste inexpliqué.
Qu’importe le nom que vous lui donnez : Dieu, l’Absolu, le Bien, l’Esprit, la Raison ou la Lumière. Ça n’a pas d’importance.
Je n’apprécie pas les scientifiques qui se prennent pour le bon Dieu. Et je vous dis cela en tant qu’agnostique !
Il faut pourtant préciser que ce n’est pas tant la flèche qui est déterminante, que l’arc. Avec un bon arc bien bandé, vous pouvez sans problème tuer une personne à une distance de deux cents mètres.
Certes, c’est souvent ainsi que se déroulent les retrouvailles après tant d’années. On évoque avant tout des anecdotes et des souvenirs.
Ce n’est un secret pour personne : les papes n’ont jamais su gérer l’argent. Et ceux qui en avaient conscience ont immanquablement fait confiance aux mauvais conseillers.