– Je parie que tu aimerais savoir ce que je fais ici tous les matins
et pourquoi je regarde la mer avec tant d’insistance, n’est-ce pas ?
Fonfon fit oui en hochant la tête plusieurs fois.
– Je viens voir si le navire des enfants apparaît, dit l’homme en indiquant l’étendue marine d’une main longue et mince, sillonnée de veines bleues transparentes.
Il était une fois un vieillard
qui, chaque matin, au point
du jour, assis sur un banc
d’un petit square de Barranco,
contemplait la mer.