M. Plouvier ne semblait plus choqué par cette familiarité, ce bavardage trivial. D'un signe, il avait enjoint aux inspecteurs de se tenir à distance pour que l'écho d'une telle conversation — un peu compromettante — ne leur parvînt pas.
—Mon cher, répondit-il, je me promène, tout simplement. Et j'en fais autant tous les matins.
—C'est vrai, j'ai lu ça dans les journaux... Tu marches, tu respires, tu es libre une heure par jour.Mon pauvre vieux !