Pour qu’un homme soit vraiment le père d’un enfant, il faut qu’il en ait assumé toutes les charges. Sinon, il n’est rien… rien qu’un passant… et cela ne crée ni des liens, ni des droits !
Les sexes, égaux devant le travail aussi bien que devant le plaisir, n’avaient plus de devoirs vis-à-vis l’un de l’autre.
La Russie, revenue d’ailleurs de cette première utopie, a remis le mariage en honneur et s’est efforcée de faire comprendre aux hommes que le vrai bonheur consiste à créer un foyer et à en accepter les charges.
C’est quand on est malheureux que la présence des autres vous semble consolante !
Le feu, c’est quasiment un mal universel ; ça intéresse tout le monde et tout le monde s’en affole.
La haine doit se mesurer aux torts causés.
Pour savoir combien on est capable de haïr, il faut se rappeler combien on a aimé.
On n’est pas toujours maître de soi et il est difficile de dominer la révolte qui vous saisit lors d’une déception pareille…
Le monde malveillant et toujours prêt à se réjouir des ennuis qui arrivent aux autres !
Il y a des souffrances dont on a la pudeur et dont il ne faut même pas parler, parce que c’est une vraie torture que d’être obligé d’avouer seulement qu’elles existent. Si vous m’aimez, si vous m’aimez pour moi et non pour vous, ne faites plus jamais allusion devant moi à rien de ce que vous savez ou de ce que vous avez pu deviner.
L’amour filial est un sentiment trop noble pour qu’on s’abaisse à le travestir… Ce n’est pas avec des mots qu’on le pare, et les sentiments de l’enfant vont instinctivement à ceux qui y ont droit…