- Et le standard, ça te plait ?
- C’est crevant, oui ! Mais j’ai la planque, je peux continuer à écrire mes poèmes. Tiens, regarde celui-là : ça s’intitule « Rose vaginales de l’Acidité ». Avec une majuscule à Acidité.
Je me forçai à décrypter le texte qu’il agitait sous mon nez et rapidement fus pris d’une violente migraine.
- A vrai dire, si tu lis entre les lignes, c’est l’histoire d’une bonne femme qui se traîne une chaude-pisse. C’est bon, non ? questionna-t-il avidement.
- Super !