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Critique de Maldo
Une vraie révélation, qui n'a pas à souffrir de la comparaison avec Carmen Bramly (Superfragilibus par exemple), Boris Bergmann (Mille mensonges) ou Sacha Sperling (Les Coeurs en skaï mauve), un peu trop mondains et saganiens; à rapprocher de la littérarité de Marien Defalvard, Ariane Fornia, de la créativité de Cécile Coulon, et pour la fraîcheur d'inspiration et la simplicité classique du style, de Myriam Thibault ou de Mathilde Tournier. En tous les cas une bien belle et très attachante échappée initiatique...
