Je reste dubitative après la lecture de ce livre. Autant de pages pour cela ?
Javier Mallarino, un célèbre caricaturiste colombien porté aux pinacles vers la fin de sa carrière, revient sur un passage très court de sa vie et ainsi remet en cause son travail qu'il croyait intègre, en se demandant si l'on peut, avec un dessin, détruire la vie d'une personne. Question importante que les journalistes et chroniqueurs pourraient se poser mais ce roman effleure la question et l'on reste sur sa faim. Je n'ai pas été convaincue.
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