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Jo Walton continue avec la même trame narrative, à deux voix, tel que je l'avais soulignée dans les précédent tome. Elle alterne donc ses chapitres avec le commandant du Guet, Carmichael et Elvira Royston, pupille de Carmichael et fille du sergent Royston.

Comme dans les tomes précédents nous retrouvons Carmichael avec de nouvelle fonction, celle de commandant du Guet. Où le guet est une sorte de Gestapo à anglaise, une police secrète d'état. Carmichael profite de sa position pour mettre en place le guet de l'intérieur, une organisation clandestine visant à évacuer les juifs dans des lieux où ils ne seront plus inquiétés.

La suite en suivant le lien :
Lien : http://www.laprophetiedesane..
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Le troisième tome est mieux que le deuxième, mais à nouveau, l'héroïne est assez cruche et ne se rend compte de rien. Dommage que Carmichaël ne soit pas plus narrateur. Et puis la fin est trop optimiste - comme le dit l'auteure elle-même.
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Une trilogie qui au départ ne m'a pas plus accroché que cela et au fil des pages j'ai fini par être captivé par l'ensemble même si la fin est trop conventionnelle.
La montée du totalitarisme telle qu'elle aurait pu se faire l'air de rien en manipulant avec ses dérives. Vraiment passionnant.
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La fin de la trilogie. Toujours avec suspens et le frisson de ce gouvernement qui a vendu son âme.
En qq mots : après une paix sans vainqueur, l'Angleterre marche sur les pas de Hitler dans sa diabolisation des juifs et stigmatisation des homosexuels.
Le héros, chef d'une gestapo britannique, tente de sauver sans se compromettre le plus de personnes.
Jusqu'au grain de sable....

J'ai apprécié cette trilogie. L'Angleterre transformée est bien depeinte et ce derniere tome ouvre sur une Organisation mondiale bien différente.
Pas dénué de tout reproche j'aurais apprécié un tome plus axé sur les relations internationales avant ce dernier qui les décrits en quelques grandes lignes.
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Non. Désolé, mais non. J'avais beaucoup aimé le premier opus de cette trilogie. Un peu moins le deuxième, auquel j'avais pourtant accordé une bonne note, sans doute eu égard au premier. Mais ce troisième ! Non, ça ne passe plus.
D'abord, il ne s'y passe pas grand chose, quand on regarde objectivement. Une jeune femme est soupçonnée d'activités terroriste. Elle est arrêtée, puis relâchée, puis arrêtée de nouveau... c'est à peu près tout. L'histoire est truffée d'invraisemblances aussi grosses que moi et je suis tout sauf maigre. L'intervention de la jeune reine Elizabeth, par exemple, est un sommet du genre. On n'y croit pas une seconde, ou du moins, je n'y crois pas une seconde. Ajoutons à tout cela que les personnages ne sont guère attachants et vous comprenez pourquoi je n'ai pas du tout adhéré à ce dernier ouvrage de la trilogie. Même Carmichael, qui est pourtant le personnage récurrent des trois volets et qui avait pas mal d'épaisseur dans le tout premier, est devenu terne. C'est tout juste si on s'intéresse finalement au sort des uns et des autres.
La fin est à la fois assez peu vraisemblable et bâclée. Comme si l'auteur n'avait plus d'idée et qu'il lui fallait conclure à tout prix. C'est, de plus, une véritable incursion dans le monde des bisounours, ce qui ne laisse jamais de m'agacer.
Ce que je vais dire est assez terrible, mais au regard des sentiments pour le moins mitigés que m'inspirent les deux derniers titres de la série, je me demande si l'ensemble n'a pas été tout bonnement surestimé. J'en viens même à me demander si l'enthousiasme général n'a pas influencé mon appréciation du premier titre. En dépit de ma vigilance, de ma prudence, ceci m'arrive parfois. Comme quoi, il ne faudrait peut-être jamais lire d'avis sur les ouvrages que l'on s'apprête à lire.
Peut-être ne devriez-vous pas lire le mien.
Quoi qu'il en soit, je crois que l'on peut s'arrêter au premier volet qui, comme les autres, peut se lire de façon isolée.
Une grosse déception.
Lien : http://aruthablog.blogspot.fr/
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"Une demi-couronne" est le dernier opus de la trilogie uchronique "Le subtil changement", qui part du postulat qu'Hitler a remporté la seconde guerre mondiale, et que l'Angleterre a basculé dans le fascisme. Peter Carmichael, qui au début de l'histoire était un inspecteur du Yard et maintenant le chef du Guet, une police équivalente à la Guestapo en quelque sorte. Toujours déchiré entre ses valeurs morales, et sa profession, il est la parrain d'Elvira Royston, la fille de son défunt collègue, qui est à une semaine de son entrée dans le monde.

Mais les ennuis et les complications ne vont pas tarder à réapparaître comme peut s'en douter le lecteur. le pauvre Carmichael, qui s'est résolu à incarner l'image d'un homme qu'il déteste - le chef du Guet - pour pouvoir sauver un plus grand nombre de victimes, va devoir gérer la sécurité d'une conférence réunissant les plus grandes sommités politiques pour décider de l'avenir du monde.

Comme les précédents tomes, celui-ci est mené par deux voix narratives, qui se répondent en miroir, et permettent au lecteur de participer encore plus à cette histoire. Cette fois-ci, la voix féminine est celle d'Elvira. Mais qu'il est dur de s'attacher à cette jeune demoiselle exaspérante et cruche, élevée dans l'idéologie fasciste et la haine ethnique. le lecteur est bien loin des personnages féminins précédents tels Lucy Kahn ou Viola.

Le paradoxe amusant dans ce "Et si Hitler avait gagné la seconde guerre mondiale..." est tous ces petits détails qui auraient été différents dans notre vie mais dont on aurait rien su. Un petit bémol concerne le personnage de Jack, le compagnon de Peter, que le lecteur connaît à peine et qui est pourtant si important aux yeux du héros. Il aurait été intéressant développer la vie personnelle de Peter Carmichael à travers Jack.

La plume captivante de Jo Walton donne à voir la Grande Histoire au travers de la petite histoire des personnages qui évoluent au milieu de cette uchronie passionnante. Les portraits sont ciselés, et la psychologie, notamment de Carmichael est dépeinte dans toute sa complexité. le lecteur ne peut que ressentir de l'empathie face à ses choix toujours plus difficiles; et ne peut que détesté cet horrible Normanby, en manipulateur invétéré. (...)
Lien : http://lillyterrature.canalb..
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Suite et fin de la magnifique saga subtil changement de Jo Walton, ce tome, une demi-couronne aborde le thème des justes et de leurs actions pour sauver les juifs, coûte que coûte.

Les mots pour : style, idéologie féministe

Les mots contre : intrigue plus politique

En bref : un roman qui clôture la trilogie débutée par le cercle de Farthing, sans rattraper l'histoire réelle. Une intrigue beaucoup plus politique que dans les tomes précédents et qui n'a pas su m'intéresser complètement, alors que le style reste superbe.
Lien : http://lesmotsdenanet.blogsp..
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