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sur 168 notes
1947, nous sommes aux États-Unis. C'est l'après-guerre dans une famille reconstituée.
Evie, Evelyne de son vrai nom, vit avec sa mère Beverly, son beau-père Joe, qui revient d'Europe après y avoir combattu comme soldat et grand-mère Glam, une vieille femme peu sympathique et très dirigiste.
Après un coup de téléphone curieux, sans raison, Joe décide d'emmener Beverly et Evie en vacances en Floride, à Palm Beach.
C'est une saison morte en Floride l'automne, et il n'y a personne ou presque à cotoyer.
Pourtant, Joe fait la rencontre d'un couple client de l'hôtel, Mr. et Mme Grayson avec qui il sympathise et espère se lancer en affaire.

Un soir, lors d'un bal organisé à l'hôtel où la famille d'Evie est descendue, elle rencontre un homme mystérieux. Il a 23 ans, il est beau, il s'appelle Peter Coleridge et elle en tombe amoureuse.
Il y a cette ambiance étouffante, dans cette ville très vide, il y a ces non-dits entre Joe et le reste de sa famille.
Ce père qui semble tellement bien connaître Peter Coleridge qu'il aimerait que sa femme et sa fille arrêtent de le fréquenter.
Il y a cette adolescence qui échappe à Evie et ces silences qui ternissent sa relation avec sa mère.
Et le beau rêve d'amour qui prend une tournure beaucoup plus dramatique.

C'est un livre que j'ai beaucoup aimé, au rythme calme mais ô combien inquiétant. La jeune Evie se retrouve plongé dans le monde adulte qu'elle ne parvient pas à comprendre. On se rend compte au fil des pages que chaque protagoniste, mis à part elle, n'est pas tout à fait ce qu'il prétend.

On est entrainé, avec elle, dans un monde fait de faux semblants, on se demande avec elle qui ment, qui dit la vérité, mais que s'est-il réellement passé ?
Le saura t'elle vraiment un jour ?
C'est un livre émouvant lorsqu'on se rend compte de la perte de l'innocence qui caractérise bien souvent le passage de l'adolescence à l'âge adulte.
On est peinée avec elle lorsqu'elle comprend qu'elle a pu être trahie, on est frustré avec elle, on ne peut pas s'empêcher nous aussi de s'imaginer le scénario des événements, de tenter de recréer une vérité qui nous semble la plus probable, la plus plausible.
Lorsque l'on termine la dernière page on se demande alors :
"Et si j'étais à sa place, est-ce que j'aurais menti ?"
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Livre trouvé sur le blog de "la souris jaune" le commentaire enthousiaste

m' a fait acheter ce roman aussitôt.


C'est un bon livre pour adolescente et le suspens est bien mené. On ne s'ennuie pas un instant .

Evi est une jeune américaine dont la mère est trop belle, elle se se fait remarquer par tout où elle passe et empêche sa fille de prendre conscience de ses propres capacités de séduction.

Elles seront en rivalité pour un beau jeune homme qui dévastera le coeur d'Evi.
Cet amour douloureux la fera passer définitivement du côté des adultes.

J' ai bien aimé l'ambiance de l' immédiate après-guerre , on retrouve un peu ma série préférée «Mad-Men» mais du côté de ceux qui ne réussissent pas.

Comme le héros Don Draper , le beau père d'Evi, Joe a ramené de la guerre un lourd secret qui fait à la fois sa richesse et son malheur.

Je ne raconte pas plus , pour ne pas émousser le suspens .
Je ne sais pas si c'est vrai mais j'ai été très étonnée qu'on puisse en 1951 chasser des gens des hôtels de Floride car ils étaient juifs.

Le racisme aux États-Unis me surprendra toujours.

Si vous avez des adolescentes autour de vous retenez ce livre il plaira certainement.

Pour les adultes, la volonté de l'auteur de terminer son livre sur un «happy-end» moralisateur lui fait perdre beaucoup de force.

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Que fait-on un dimanche après-midi, enfermée chez soi parce qu'il pleut dehors ? On lit pardi !
Encore un livre que j'avais repéré à sa sortie mais que je n'ai trouvé que récemment à la bibliothèque. Donc lu en une après-midi.

Je ne vais pas faire semblant, j'écris ce billet très court, pratiquement deux mois après lecture et je fais avec les restes de souvenirs^^ Ce qui par conséquent veux déjà dire que je n'en pas gardé un souvenir extra.

Le style ne m'avait pas paru extraordinaire ni mauvais, rien à dire là dessus.
L'histoire en elle-même m'a bien plue, l'ambiance de l'époque avec persos auxquels on s'attache assez bien bien que stéréotypés.

Ce qui m'a dérangée en fait, c'est le titre. Je trouve qu'il est trompeur. Je m'attendais à être toute de suite plongée dans les faits avec un dévelopement du pourquoi on en est arrivé là et non. Je ne veux pas vous révéler l'histoire mais non, le titre ne répond pas à notre attende sur ce point =/
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1947. Evelyne, surnommée Evie, vit à New York avec sa mère, Beverly, et son beau-père Joe. Avec sa meilleure amie, elles s'amusent à se maquiller et à fumer des cigarettes en chocolat, pour faire comme les adultes. Mais Evie sait qu'elle n'arrive pas à la cheville de sa mère, jeune, si belle, presque trop, admirée, abandonnée par un mari rencontré trop jeune. A la fin de l'été, Joe décide soudain de les emmener en vacances à Palm Beach. L'hôtel est presque désert, mais la petite famille se lie d'amitié avec les rares clients. Un soir, Evie emprunte à sa mère une belle robe, des chaussures à talons, du maquillage, et se rend à une soirée organisée dans l'hôtel. Elle y rencontre Peter Coleridge, un jeune homme qui l'attire beaucoup, mais qui s'avère avoir déjà rencontré Joe pendant la guerre, dans des circonstances dont le beau-père n'a pas vraiment envie de parler. D'ailleurs, Joe n'aime pas beaucoup Peter, même si celui-ci s'offre volontiers des virées avec Bev et Evie.

La couverture de ce roman et la promesse d'un roman noir m'avait attirée vers ce livre. Et je n'ai pas été déçue. Très tôt, l'ambiance d'après-guerre, avec l'insouciance et la légèreté, est teintée d'une étrange nostalgie, comme si l'on sentait que ce soulagement n'est que temporaire pour l'héroïne. Elle est d'ailleurs immédiatement très attachante et dépeint l'adolescence avec une subtilité étonnante: tantôt dans l'âge bête lorsqu'elle glousse avec ses amis ou critique les autres filles, tantôt hésitante et mal dans sa peau, toute les nuances sont abordées. Mais celle qui sert de fil conducteur à l'intrigue, c'est cette rivalité permanente avec cette mère si jeune, si belle, si admirée, si parfaite, si idéale. Evie rêverait d'avoir le charme et le sex appeal de sa mère, et ne cesse de se déguiser en elle dans des tentatives toutes plus décevantes les unes que les autres. Et pourtant, elle reste étonnamment fusionnelle avec celle qui, seule, a cumulé les emplois pour subvenir aux besoins de sa fille dans une époque où une femme qui travaille est encore très mal vue. Mais c'est un roman noir… Et si, dans cette mélancolie qui la caractérise, Evie vit ses premiers émois amoureux et sensuels avec une passion pour Peter débordante et aveuglante, le lecteur un peu attentif devine qu'elle ne voit pas le drame qui se joue sous ses yeux lorsque sa mère la congédie pour rester seule avec le jeune homme ou prétend se rendre à des cours de sport.
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Ce que j'ai vu et pourquoi j'ai menti fait parti de ces livres dont la couverture et le titre vous intrigue. Je désirais lire ce roman depuis un moment déjà, mais je n'avais pas encore eu l'occasion de le découvrir. Grâce à Gallimard Jeunesse, l'occasion se présentait enfin, et je n'ai pas été déçue du voyage !

L'histoire se déroule en 1947, juste après la seconde guerre mondiale. Quand Evelyn Spooner, quinze ans, apprend que son beau-père compte les emmener, sa mère et elle, passer quelques jours loin de New-York sur les plages brûlantes de Floride, la jeune fille, qui n'a jamais quitté la ville, saute de joie. La petite famille s'installe donc sur les côtes de Palm Beach, dans un hôtel à moitié déserté par les touristes. C'est le début des vacances parfaites... Jusqu'au jour où un certain Peter s'installe dans l'hôtel. La vie de Evie et de sa famille se met soudain à basculer : dans un hôtel au luxe défraîchi et la chaleur étouffante de septembre, la jeune fille surprend l'ombre de mensonges et de terribles secrets.

Quel fil invisible relie entre eux les habitants de l'hôtel Mirage ? Que va y découvrir Evie ? Et ce drame qui s'y est produit, était-ce réellement un accident ? Au programme : amour, chantage et secrets troublants, le tout sur fond d'enquête policière.

Dans Ce que j'ai vu et pourquoi j'ai menti, l'auteur, Judy Blundell dépeint une société américaine d'après-guerre complexe et intéressante qui renvoie au mythe du rêve américain, porteur d'espoirs, mais qui, lorsque l'on gratte un peu, laisse apparaître une hypocrisie et un racisme encore bien présents.

Basé sur un côté psychologique très fort, le roman est le fruit d'une démarche littéraire intéressante. Captivant, ce roman rebutera peut être les lecteurs les plus friands d'action par son démarrage assez lent. Mais poursuivre ce roman vaut le détour, je peux vous l'assurer : vers le milieu du récit, le registre change, se fait plus sombre, empreint d'une maturité déroutante, le récit bascule dans le polar et c'est un vrai délice !

Une oeuvre adulte.

La principale qualité de Ce que j'ai vu et pourquoi j'ai menti est de proposer aux lecteurs une véritable réflexion sur ce qu'est le passage vers l'âge adulte, tout en empruntant au roman noir son ambiance, ce qui donne un petit côté polar aux secrets de l'entourage de Evie.

La voix naïve de l'enfant se heurte à celle de la narratrice adulte qui nous parle de faits passés. D'abord naïve, l'héroïne, au cours de ces vacances en Floride, va découvrir le monde des adultes. Evie est un personnage à qui on s'attache énormément, car on la voit grandir au fil de l'histoire. Comme elle, on tombe sous le charme de Peter, on idéalise les personnages, jusqu'à ce que les masques tombent.

L'atmosphère qui se dégage de ce roman est plaisante, me rappelant le film Chicago, une comédie musicale se déroulant dans les années 20, avec Renée Zellweger et Catherine Zeta-Jones. Les descriptions de l'auteur ajoutent d'ailleurs au récit une touche de glamour à la complexité de l'intrigue, à l'image de la société de cette époque.

A mi-chemin entre le roman d'apprentissage et le roman noir, Ce que j'ai vu et pourquoi j'ai menti est donc, à l'image de ses personnages, une oeuvre double. Récit plein de non-dits, complexe, dans lequel le vrai se mêle au faux et le doute plane, je me suis laissée entraîner dans ce tourbillon d'émotions avec beaucoup de plaisir. J'ai aimé la complexité des sentiments que dégagent les personnages de ce roman, leur ambigüité, ce mélange d'amour et de mensonges… Vous l'aurez donc compris, je suis une lectrice conquise.

Je remercie, une fois encore, les éditions Gallimard pour cette découverte.
Lien : http://antrelouve.canalblog...
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Arf....

C'est le titre de ce livre qui a provoqué l'achat. Une fois encore, sans prendre la peine de lire le résumé ! J'aurais peut-être dû...

Dés les premiers chapitres j'ai eu toutes les peines du monde à ressentir de l'empathie pour Evie, qui bien q'ayant 16 ans, est encore une petite fille, aussi bien dans son comportement que dans sa manière d'être ou de penser. A cela s'ajoute une mère caricatural, une grand-mère hystérique et un beau-père qu'on tente de rendre mystérieux mais qui ne l'est pas. Et que dire de Peter ? Un personnage transparent et sans réel intérêt.

Quant à l'intrigue, et bien il n'y a que le personnage de Evie qui n'avait pas vu arriver la chute, et les rebondissements, car pour ma part, tout était très clair et dès le début ! Quant à cette pseudo-fin sous forme de rédemption et de maturité, elle sonne faux, elle n'est que peu crédible venant d'une personnage qui dix pages en arrières avait encore l'age mentale d'une enfant de 10 ans !


En bref, une lecture peu convaincante à mes yeux.

Bonne lecture à tous.
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Il existe beaucoup de romans (ou de films) sur les guerres mondiales mais peu ont trait à l'après-guerre et notamment à l'après-guerre 39-45, à part pour évoquer la guerre froide entre l'URSS et le bloc occidental. L'auteur s'attache ici à cette période, après que les hommes sont rentrés de la guerre et que les femmes ont retrouvé leur foyer pour leur laisser la place et reprendre la leur. Les habitants veulent tourner la page, recommencer de zéro, laisser le passé derrière eux et envisager l'avenir. C'est le moment que choisit Joe pour emmener sa femme, Beverly et sa fille, Evie, à Palm Beach, après un mystérieux coup de téléphone. Les clients se font rares car c'est une période creuse pour la ville. Ils sympathisent donc rapidement avec les autres, notamment les Grayson et Peter.
Le lecteur sent très vite qu'il y a anguille sous roche, contrairement à la jeune narratrice (16 ans), plus naïve, que ce voyage ressemble plus à une fuite qu'à des vacances d'agrément. Pour quelles raisons ? Chaque personnage semble avoir quelque chose à cacher. Difficile dans ces conditions de se fier à l'un ou à l'autre. Quels secrets tentent-ils d'enfouir ? Aucun n'est blanc comme neige, comme va l'apprendre Evie à ses dépens. Une entrée brutale dans le monde des adultes. Cette aventure est signe de perte d'innocence pour elle. Même elle n'en sortira pas grandie ni indemne.
La grande force de l'auteur c'est de nous laisser mijoter dans notre jus, de ne rien dire mais de nous amener petit à petit vers le drame à venir et les réponses aux questions que l'on se pose par des discussions à mots couverts, notamment entre Joe, le père que la jeune fille s'est choisie et qu'elle admire, et Peter, celui dont elle est amoureuse, entre qui existe une grande animosité qui semble liée à leur passé de soldats, par des gestes, des regards, des bribes de conversation surprises au détour d'une ruelle. le suspense est ainsi maintenu de bout en bout, ne s'essouffle à aucun moment. Même arrivés à la fin, ne subsiste que des doutes, aucune certitude, ce qui aurait pu me chagriner mais que j'ai trouvé génial. Judy Blundell maîtrise son intrigue sur le bout des doigts, la lecture est fluide et l'on s'attache immédiatement à Evie, faisant avec elle la cruelle expérience de la désillusion et de la trahison.
Lien : http://lecturesdalexielle.ov..
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J'ai été surprise par l'intrigue de ce livre, je m'attendai à tout autre chose... Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé car l'histoire racontée par la jeune Evie au lendemain de la guerre est pleine de non-dits et d'évènements qui la dépasse. le livre se lit facilement, on suit avec intérêt son passage un peu brutal dans le monde des adultes....
Un regard sans concession sur les compromissions et les petits arrangements des adultes dans un monde assez cruel.
A découvrir
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A l'origine, je devais lire ce livre en lecture commune avec Marine car il était dans nos deux wish list. Malheureusement, les aléas de la vie, on fait que nous n'avons pas réussi à nous caler un moment pour pouvoir lire ce livre ensemble. J'ai donc profiter de mes vacances pour le sortir quand même de ma PAL.
Le titre comme le résumé m'ont énormément intrigué. C'est donc avec l'envie de découvrir ce qui a bien pu pousser l'héroïne, Evie, à mentir que je me suis lancée dans ma lecture. Pendant près de trois cent trente page j'ai attendu de savoir ce qu'avait vraiment vu Evie mais finalement, je n'ai pas trop compris ce qu'elle a vu et je ne suis pas sûre que, elle, est compris... Par contre, j'ai compris pourquoi elle avait menti. Aurais-je fais la même chose à sa place ? C'est bien possible. On est parfois prêt à beaucoup de chose pour protéger ce que l'on a.
Evelyn, appelé Evie par ses proches, est une jeune adolescente de quinze ans avec une histoire familiale assez complexe. Tout au long de ma lecture, elle m'a paru comme naïve alors que finalement elle peut être très maline si le besoin s'en fait ressentir. Elle est la narratrice de son histoire ce qui fait qu'on ne sait rien de plus qu'elle. Par conséquent, tout comme elle, on ne sait pas ce qui s'est réellement passé. J'aurais apprécié connaître la vérité. Pour en revenir à l'adolescente, je l'ai apprécié même si parfois elle m'a agacé à ne pas ouvrir les yeux sur Peter. J'ai donc, finalement, été moins surprise qu'elle lorsqu'elle a fini par ouvrir les yeux sur ce soldat.
Peter est un jeune soldat d'une vingtaine année très séduisant mais aussi très mystérieux. Il a vraiment tout pour plaire. Il sait parler aux filles, il a confiance en lui et pourrait nous emmener au bout du monde...
Joe, le beau-père de Evie, est revenu différent de la guerre. Bien plus ambitieux, avec l'envie d'offrir la belle vie à sa famille. de nature très jalouse, il surveille de près les deux femmes de sa vie. Mais est-ce assez ?
Beverly, la mère de Evie, est une très belle femme qui attire énormément le regard des hommes. Elle m'a semblé assez soumise et très amoureuse de Joe bien que sa beauté lui permette quelques écarts. Tout comme Evie, elle ne donne pas l'impression d'être très maline alors qu'elle sait bien y faire.
J'ai beaucoup aimé le style de l'auteure. Une plume qui se dévore sans qu'on s'en rendre compte. Je pense que le titre y est pour beaucoup ainsi que la façon dont Judy Blundell commence le livre. En effet, on sait qu'il sait passé quelque chose mais il faut attendre le dernier tiers du livre pour savoir ce qui s'est passé. le suspense est donc très présent. J'avais un peu peur que le roman mettre trop en avant les difficultés dues à la guerre mais absolument pas. Évidemment, elle aborde certains sujet de l'époque (les juifs, la place des femmes et des hommes...) mais ça passe très bien à l'intérieure de l'histoire.
Pour conclure, c'est un livre sympa à lire même si il manque certaines choses pour que je puisse totalement adhérer.
Lien : http://mabiblio1988.blogspot..
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Ce que j'ai vu et pourquoi j'ai menti, c'est l'un de ces romans auquel on ne sait pas à quoi s'attendre. le résumé et la couverture ne nous indiquent presque rien, on le lit donc, tête baissée. Et quel plaisir !
C'est un roman fort, sur l'adolescence et la seconde guerre mondiale, un roman noir qui vous prend aux tripes et qui m'a fait pleurer à pleurer reprises durant la nuit pendant laquelle je l'ai dévoré.
Même si Evie est parfois agaçante, on y prête pas attention, et puis il y a tellement de rebondissements, c'est un livre que j'ai lu il y a 2 ans et je m'en souviens encore très bien, il m'a vraiment marqué.
Excellent, à lire donc !
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