Apparement, l'usure du temps fait même souffrir les sagas de space-opera ... C'est en tout cas ce que je ressens face à ce n-ième tome des aventures de l'amiral Harrington.En effet, on y retrouve des poncifs maintenant éculés, comme par exemple le progrès de l'armement entre Manticore et Havre (qui, je trouve,n résistent de moins en moins bien à la comparaison avec le rest de la SF spatiale, qu'elle soit guerrière ou non). Ou comme les alternoiements d'Harrington face à la nécessité qu'elle a d'ôter la vie à des centaines de "méchants" havriens pour faire régner l'ordre manticorien dans l'espace.Bon, ajoutez à ça ses relations plutôt plus simples avec Havre-Blanc, et vous aurez un tableau assez flou, mais néanmoins précis dans l'ensemble de ce que ces je-ne-sais-pas combien de pages contienent.Par conséquent, je l'annonce ici, ce tome est le dernier que je lis de ce Honorverse réellement trop penché sur l'auto-appitoiement.
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