Les saisons bleues

Une étude

Pavillon de nuages ​​légers pluie légère
Jour de cour sombre las ouvert
Asseyez-vous, regardez la couleur verte de la mousse
À propos de la personne, les vêtements viennent

Il y a des nuages ​​légers et de la bruine autour du pavillon,
Dans la cour sombre, j'ouvre avec lassitude une porte.
Je m'assois et regarde la couleur de la mousse verte,
prête à être ramassée par les vêtements des gens.

Une chanson d'une fille de Loyang

Il y a une fille de Loyang dans la porte d'en face,
elle en a quinze ans, elle est peut-être un peu plus âgée.
... Pendant que son maître monte son cheval rapide avec une bride en jade,
sa servante lui apporte la morue dans une assiette dorée.
Sur ses pavillons peints, face à des tours rouges, les
corniches sont roses et vertes avec des fleurs de pêche et du saule,
des auvents de soie auvent sa chaise à sept parfums,
et de rares éventails lui ombragent, qui abrite ses rideaux à neuf fleurs.
Son seigneur, avec rang et richesse et dans l'œuf de vie,
dépasse en munificence les hommes les plus riches d'autrefois.
Il favorise cette fille de naissance humble, il lui a appris à danser;
Et il donne ses coraux à presque tout le monde.
Le vent de l'aube remue juste quand ses neuf lumières douces s'éteignent,
Ces neuf lumières douces comme des pétales dans une chaîne volante de fleurs.
Entre les danses, elle a à peine le temps de chanter sur les chansons;
A peine est-elle rhabillée que l'encens brûle devant elle.
Ceux qu'elle connaît en ville ne sont que les riches et les somptueux,
Et jour et nuit, elle rend visite aux hôtes des manoirs les plus gais.
... Qui remarque la fille de Yue avec un visage de jade blanc,
Humble, pauvre, seule, au bord de la rivière, lavant la soie?

Une ferme sur la rivière Wei

Dans la pente du soleil à la campagne,
bovins et moutons rentrent le long de la ruelle;
Et un vieil homme robuste dans une porte de chaume
S'appuie sur un bâton et pense à son fils, le berger.
Il y a des faisans vrombissants, des épis de blé entiers,
des vers à soie endormis, des feuilles de mûrier épurées.
Et les fermiers, revenant avec des houes sur leurs épaules, se
saluent familièrement.
... Pas étonnant que j'aspire à la vie simple
Et que je soupire la vieille chanson, Oh, pour y retourner.

Chanson d'un vieux général

Quand il était jeune de quinze ou vingt ans,
Il chassa un cheval sauvage, il l'attrapa et le monta,
Il abattit le tigre des montagnes aux sourcils blancs,
Il défia le Cavalier à poils jaunes de Ye.
Combattant seul sur des milliers de kilomètres,
avec son poignard nu, il pouvait tenir une multitude.
... À condition que les troupes chinoises aient été aussi rapides que le tonnerre du ciel
Et que les soldats tartares périssent dans des pièges crocs de fer,
la victoire du général Wei Qing n'est qu'une question de chance.
Et l'effort contrecarré du général Li Guang était son destin, pas sa faute.
Depuis la retraite de cet homme, il a l'air vieux et usé: l'
expérience du monde a hâté ses cheveux blancs.
Bien qu'une fois que son dard rapide n'ait jamais manqué l'œil droit d'un oiseau, les
veines et les tendons noués font maintenant son bras gauche comme un osier.
Il est parfois au bord de la route pour vendre des melons de son jardin,
Il plante parfois des saules autour de son ermitage.
Sa ruelle solitaire est fermée par un bosquet dense,
Sa fenêtre vide regarde les montagnes très froides
Mais, s'il priait, les eaux jailliraient pour ses hommes
Et jamais il ne voudrait pour sa cause avec du vin.
... Les nuages ​​de guerre se répandent, sous la chaîne Helan;
D'allers-retours, jour et nuit, faites des messages à plumes;
Dans les trois provinces fluviales, les gouverneurs appellent des jeunes hommes -
Et cinq édits impériaux ont convoqué le vieux général.
Alors il épousset son manteau de fer et le fait briller comme de la neige. Il
agite son poignard de sa poignée de jade dans une danse d'acier étoilé.
Il est prêt avec son arc nordique puissant pour frapper le chef tartare - afin
que jamais une tenue de guerre étrangère ne puisse affronter l'empereur.
... Il y avait autrefois un vieux préfet, oublié et lointain,
qui pouvait encore réussir le triomphe d'un seul coup.

Une chanson de la rivière du Pêcher en fleur

Un pêcheur dérive, appréciant les montagnes printanières,
Et les pêchers des deux rives le mènent à une source ancienne.
En regardant les arbres aux couleurs fraîches, il ne pense jamais à la distance
Jusqu'à ce qu'il arrive au bout du ruisseau bleu et soudainement des hommes étranges!
C'est une caverne - avec une bouche si étroite qu'il doit ramper à travers;
Mais alors il s'ouvre à nouveau grand sur un chemin large et plat -
Et bien au-delà il fait face à des nuages ​​couronnant une étendue d'arbres,
Et des milliers de maisons ombragées de fleurs et de bambous ... Les
bûcherons lui disent leurs noms dans l'ancien discours de Han;
Et les vêtements de la dynastie Qin sont portés par tous ces gens
vivant sur les hautes terres, au-dessus de la rivière Wuling,
Dans des fermes et dans des jardins qui sont comme un monde à part,
Leurs habitations en paix sous les pins dans la lune claire,
Jusqu'à ce que le lever du soleil remplisse le ciel bas de chants et d'aboiements.
... A la nouvelle d'un inconnu, les gens se rassemblent tous,
Et chacun l'invite chez lui et lui demande où il est né.
Les allées et les sentiers lui sont dégagés de pétales le matin,
Et les pêcheurs et les fermiers lui apportent leurs charges au crépuscule ...
Ils avaient quitté le monde depuis longtemps, ils étaient venus ici chercher refuge;
Ils ont vécu comme des anges depuis, heureusement loin,
Personne dans la grotte ne sachant quoi que ce soit à l'extérieur, Les
étrangers ne voyant que des montagnes vides et des nuages ​​épais.
... Le pêcheur, ignorant sa grande fortune,
Commence à penser à la patrie, à la maison, aux liens du monde,
Trouve à nouveau son chemin hors de la grotte, au-delà des montagnes et des rivières,
Dans l'intention de revenir quelque temps, quand il l'a dit à ses proches.
Il étudie chaque pas qu'il fait, le fixe bien en tête,
et oublie que les falaises et les pics peuvent varier d'apparence.
... Il est certain que pour entrer dans les profondeurs de la montagne,
une rivière verte vous conduit, dans un bois brumeux.
Mais maintenant, avec des inondations printanières partout et des pétales de pêche flottants -
Quelle est la voie à suivre, pour trouver cette source cachée?

Une chanson d'une nuit d'automne.

Sous le croissant de lune une légère rosée d'automne
A refroidi la robe qu'elle ne changera pas -
Et elle touche un luth en argent toute la nuit,
Peur de retourner dans sa chambre vide.