Otage

La quatrième de couverture me semble trop bavarde.


Lors d'une course-poursuite avec la Police, la voiture de deux truands est accidentée. Ils se réfugient dans une école et prennent en otage, une classe de maternelle : trente enfants et leur maîtresse. Les forces de l'ordre ont fait venir les parents sous un faux prétexte. Les médias se déchaînent et la journaliste Adielle vit son plus grand moment de télé. Un homme tente le tout pour le tout. Est-ce de l'inconscience ou de l'héroïsme ?


Sur la couverture, il est écrit que si vous lisez le chapitre 1, vous êtes foutu. J'ai tenté l'expérience et je le confirme, tout mon programme a été fichu en l'air : impossible de lâcher Otage. le corps contracté, attentive aux moindres détails, j'ai lu ce livre, suspendue aux mots d'Aloysius Wilde. L'histoire traite d'un sujet qui est source d'angoisse pour moi. En tant que maman, la pression était maximale.


Plus d'une fois, je me suis demandé quel était le premier métier de l'auteur, tant la cohérence des faits, l'enchaînement des événements, les réactions de la Police, celles des preneurs d'otages et celles des séquestrés m'ont semblé crédibles et la construction du récit incroyablement réfléchie.


Le livre est découpé en tranches horaires. Nous voyons les heures défiler, la tension augmentant avec les heures qui passent. Plusieurs versions des faits sont données : celle de la Police, des journalistes, des parents et des otages et cela crée un climat anxiogène et nous en arrivons à nous méfier de tous. Par moments, la pression retombe avec des dialogues remplis d'humour et un changement de rythme, mais nous n'oublions pas cette course contre la montre.


Otage montre également les dérives ...


La suite sur mon blog


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Je remercie particulièrement l'auteur pour m'avoir proposer de lire son lire.

L'histoire commence sur les chapeaux de roues, une classe d'école maternelle est prise en otages. Les médias couvrent bien sur cet événement sur toutes les chaînes. Les malfrats arrivent malgré la police à quitter l'école. Denis Chaval surnommé "L'ours" les poursuit. On se pose pas mal de questions: comment sont ils arrivés à quitter l'école? Va t'on arrivé à les poursuivre? Où est l'écolier qui à disparu de cette fameuse classe? Qui est la taupe qui renseigne la presse? le malfrats arriveront ils à quitter la France vivant?

Un livre lu d'une traite tellement j'ai accroché à l'histoire si prenante, addictive, captivante, remplie de suspens et de rebondissements avec des personnages attachants. Hâte de lire d'autres livres de cette auteur qui à une plume addictive.

La banderole affirme qu'une fois le chapitre lu vous êtes foutu. Je confirme !!! C'est un thriller haletant, sans temps mort qui se lit à une vitesse folle !

Une prise d'otage à lieu dans une classe de maternelle. Mr louvier, le papa du petit Gaspard va tenter un geste héroïque pour sauver son fils de ce terrible drame.

Un roman comme on a peu l'habitude de lire, j'ai d'ailleurs regretté de tourner la dernière page !

Des chapitres courts qui donne encore plus de rythme au récit. Des personnages attachants et ultra "scénarisés" qui donne une pointe d'humour ! Une maîtresse au caractère adorable !!!!!

Des sujets forts abordés en plein dans l'ére du temps tels que : la jalousie, la corruption, les violences ...

Une histoire, qui a mon sens, va trop vite. Cela est du au fait que j'ai beaucoup apprécié ma lecture. J'aurais aimé être un peu plus "nourrie"

Un scénario complètement loufoque et dingue qui tient la route ! Un page Turner créé des le premiers chapitre !

Gros bonus pour les coins du sud ouest proche de chez moi : Mimizan ....
Bravo l'auteur !!!!!

Une prise d'otages dans une école... L'horreur pour tous les parents que nous sommes. Une histoire bien emmenée dès les premières pages... Ce fut une belle découverte même si j'ai trouvé la fin quelque peu surprenante... Je recommande néanmoins ce livre.

La perte d'un enfant est la plus grosse peur pour un parent je pense, j'en suis même certaine étant moi-même maman. Alors quand Jean apprend que son fils de 4 ans, Gaspard, est pris en otage dans sa classe de moyenne section avec tous ses camarades et sa maitresse, il a du mal à se maitriser. Camille, sa femme, devient hystérique et lui ordonne de sauver leur fils. Alors sans réfléchir, il se dirige à l'intérieur de l'école et se retrouve lui aussi, otage des deux malfaiteurs...

De leur côté, les journalistes ne veulent rien louper de cet évènement tragique qui peut rapporter gros. Mickaël, le gérant de la chaine DK7 va tout mettre en oeuvre pour faire la Une et être le premier sur l'évènement. Sa journaliste phare, Adielle, va plonger dans ce récit, faisant son possible pour être vue et revue et qu'on ne parle plus que d'elle partout, sur tous les médias. Elle adore cette situation, elle veut être la première partout et surtout, montrer son talent.

Mélange de polar et de roman à suspense, on sent les tensions, le stress et la brutalité dans ce récit. Mais l'auteur n'oublie pas de nous mettre également une bonne dose de gentillesse, de tendresse, d'humour, d'humanité et bien sûr... d'amour!

J'ai vraiment beaucoup apprécié ma lecture, ce texte est parfaitement maitrisé, l'histoire est bien construite, on va de rebondissement en rebondissement et on ne sait plus qui croire, en qui avoir confiance et surtout, l'auteur réussi à garder le plus gros du suspense jusqu'à la fin. Mais où a donc pu passé le petit Gaspard? Qu'est-il devenu dans toute cette histoire? Au début, l'auteur nous donne des nouvelles de l'extérieur de l'école avec les parents paniqués, la police sur les dents, la peur de la population, mais on entre également à l'intérieur de cette école et on en sait plus sur les deux malfaiteurs et sur leur façon de procéder. Et puis tout à coup, on ne sait plus rien à l'intérieur, ne sachant plus si le jeune père courageux est encore en vie, si le petit Gaspard respire encore et si les preneurs d'otage vont s'en sortir. Beaucoup de suspense, j'ai adoré!

Par contre, le petit bémol vient pour la fin, les 3-4 dernières pages sont pour moi bâclées ou inutiles. Soit l'auteur en dit trop, soit il n'en dit pas assez mais je suis restée sur ma... FIN.
Lien : http://leslecturesdemaryline..

Jean Louvier sort de quelques emplettes quand il reçoit un appel de l'école maternelle, lui demandant d'aller chercher son fils. Quand il se rend sur les lieux, il comprend très vite qu'il s'est passé quelque chose de grave et d'inquiétant...

Le roman débute sur les chapeaux de roue avec un accident majeur, des malfaiteurs sur les dents qui s'introduisent d'urgence dans une école, pour semer l'angoisse, la terreur et tenter de s'en sortir.

C'est très visuel, choc, et alors que tout s'est passé très vite, on a le sentiment que le temps passe soudain au ralenti, pour un balayage des scènes, les plus déterminantes. La mise en place est détaillée et installe un véritable climat de tension. Jusque-là, c'est assez classique pour une prise d'otages, mais l'auteur ne va pas s'arrêter là. Il va y avoir des moments de surprises insolites, des dérapages, de l'humour, du punch, de la tendresse.

On est complètement immergé par cette intrigue déroutante et incontrôlable. C'est précipité, affolant et tous nos repères sont mis à mal dans une complexité jouissive. On aime les caractères forts, brutes, impétueux de nos personnages.

L'écriture est habile, l'auteur pousse très loin, décortique, étire l'originalité de son récit au maximum. C'est volontaire, décapant, extravagant. Ce sont les différents points de vue qui nous tiennent en haleine. Des policiers, des journalistes et des parents d'élèves qui retiennent leurs respirations. Il y a une dualité intéressante où on oscille du tranché au plus nuancé. Si on quadrille ici, on joue beaucoup aussi. Aucun temps mort pour un scénario aussi étonnant que détonnant.

Oubliez tout ce que vous imaginez déjà, vous serez de toute façon à côté de la plaque !
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Le commentaire de Cathy :
L'auteur nous avertit que si nous commençons la lecture de son roman nous ne pourrons plus en lâcher la lecture, il a raison de nous prévenir, parce que cela a été le cas.
Jean se rend à l'école de son petit garçon pour le récupérer après la fin des cours, arrivé sur place, il va découvrir que la classe de son fils à été prise en otage.
N'écoutant que son courage l'homme va décider de tout tenter pour protéger son petit Gaspard et va rentrer dans la classe en prenant tous les risques.
Comment va se terminer cette prise d'otage ?
Dès les premiers chapitres, l'auteur nous plonge dans une ambiance stressante, les deux malfaiteurs qui ont investi cette école maternelle m'ont donné l'impression d'être capable du pire, ce qui a rajouté beaucoup d'angoisse à ma lecture.
Ce qui m'a le plus marqué dans cette histoire c'est le côté journalistique, de voir de quoi son capable les gens pour alimenter au maximum les informations qu'ils donnent en continu, cela m'a paru un peu gros au départ mais, au vu de ce que l'on découvre sur nos chaînes info de nos jours je pense que finalement peut-être que ce n'est pas trop loin de la réalité.
J'ai aimé suivre heure par heure les événements, le rythme est soutenu, aucun temps mort, certaines situations m'ont fait sourire, malgré les événements, l'auteur ne manque pas d'humour, cela m'a fait du bien de relâcher la pression à certains moments.
Je me suis laissé embarquer dans cette histoire, à votre tour maintenant.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...

Comme le mentionne si bien le bandeau sur la couverture, si vous lisez le premier chapitre, vous n'aurez plus qu'une seule envie, poursuivre jusqu'au bout.

La mise en place des chapitres de ce thriller est différente, en effet, nous n'avons pas réellement de chapitres, mais bien l'écoulement du temps depuis le moment de la prise d'otages. Je trouve que cela augmente encore le stress d'un cran, nous voyons ce temps qui défile sans que nous ne puissions rien y faire, si ce n'est garder l'espoir.

Des thrillers, j'en ai déjà lu pas mal, des bien prenants, comme des plutôt bof bof. Mais celui-ci… Oh mon dieu je vais avoir du mal pour m'en remettre ! Honnêtement, il est d'une intensité folle, du début à la fin ! J'en aurais ronger tout mes ongles tellement mon niveau de stress était monté en flèche ! Les temps morts ? Ne tentez même pas d'en trouver un seul ici, impossible, il n'y en a aucun, pas de moments de répis histoire de souffler un peu ! Mais ressortir de ce genre de lecture en étant totalement déboussolée car le temps à continuer de passer alors que nous n'avons absolument rien vu ! Un véritable bonheur !

Honnêtement, pas mal d'auteurs de thrillers devraient carrément lire celui-ci, ils comprendraient qu'ils sont plutôt loin de ce qui fait un excellent thriller !

Comme je l'ai déjà dit, pas de temps morts, par contre il y a pas mal d'humour, ce qui permet de souffler un peu malgré tout de temps en temps. Même si le répis est de courte durée, cela fait du bien que l'ambiance générale se voit un peu détendue par moment.

Pour la faire courte : un véritable régal de la première à la dernière page que je vous encourage à lire sans attendre.

Que voilà un bouquin passionnant. Les dessous d'une chaîne de TV racoleuse où tout est permis pour l'audience. Les flics avec leur dispositif serré qui se font duper, et une taupe chez eux. le héros, père d'un des gosses otage, qui aide les malfrats avant de devenir une icône. La journaliste excessive, complètement déjantée. Les avocats manipulateurs. La fin assez inattendue mais je n'en dis pas plus.

Un bandeau sur la couverture de ce livre prévient le lecteur : "si vous lisez le premier chapitre, vous êtes foutu". Je confirme ! Impossible de lâcher ce bouquin totalement addictif qui m'a emballée
L'intrigue tout d'abord, un suspens de tous les instants : à la suite d'un braquage deux malfrats poursuivis par la police ont un accident de voiture et se réfugient dans une école maternelle où ils prennent en otage une classe de trente bambins. Cauchemar absolu pour les forces de police et pour les parents des enfants, pain béni pour les médias, notamment les chaînes d'info en continu ! du côté police, c'est le commandant Chaval qui a pris les choses en main : surnommé l'Ours, il ne fait pas dans la dentelle mis il connaît son boulot et entend bien que cette affaire se termine au mieux, c'est à dire les otages libérés sans bobo et les voyous sous les verrous. Quant aux parents, ils sont morts de peur, soit effondrés, soit en colère contre le monde entier. Jean Louvier, père du petit Gaspard, 5 ans, fait partie des deux catégories mais il n'entend pas rester les bras croisés : au nez et à la barbe des flics, il pénètre dans la cour de récréation et demande à parler à son fils ! Gus et Joe, les deux braqueurs sont scotchés par une telle audace, mais ils doivent s'assurer qu'il ne s'agit pas d'un flic :
Jean se déshabille intégralement et ils l'autorisent à entrer... Une scène incroyable capturée par le téléphone portable d'un habitant d'un immeuble voisin de l'école que vont s'arracher les chaînes de télé ! Celle qui l'emporte, c'est DK7, une petite nouvelle sur les écrans, qui a totalement révolutionné la manière de présenter l'actualité : exit les présentateurs assis derrière leurs tables, Adielle Acker la journaliste vedette de DK7 présente le 20 heures sur le terrain, 100% en direct, habillée par une "clothes-designer". Adielle et DK7 n'ont qu'une ligne éditoriale : le scoop, peu importe le prix, peu importe s'il faut corrompre un flic ou compromettre la négociation... le négociateur d'ailleurs n'a pas beaucoup avancé depuis que Jean s'est ajouté aux otages... Les demandes des braqueurs sont simples : 30 "happy-meal" et deux motos de grosse cylindrée. Et depuis, rien... Jusqu'au moment où la police se rend compte que Gus et Joe ont pris la tangente vraisemblablement avec Jean et Gaspard...
Mais comment se sont-ils échappés alors que toutes les issues étaient sous surveillance ? Bien que tous les enfants et leur institutrice soient indemnes, l'Ours est furax !
La construction de ce thriller est à la hauteur de l'intrigue : nous suivons les personnages principaux de 15h30 heure de la prise d'otages, à 10h30 le lendemain. Ce découpage ajoute au suspens et au stress ressenti par le lecteur. L'écriture est fluide, le style direct mais soigné. Les personnages sont tous intéressants : Jean, ce père qui vit le cauchemar de tout parent, prêt à tout pour sauver son fils (impossible de ne pas se mettre à sa place !) ; Chaval le flic brut de décoffrage qui n'accepte pas l'échec mais, plus encore, qui abhorre la trahison ; Adielle la journaliste dont les excès semblent sur joués, Gus et Joe les deux braqueurs. Gus mauvais et violent, et Joe qui se sert de son cerveau plutôt que de ses poings ou d'une arme.
Dans ce polar-thriller shooté à l'adrénaline se cache aussi une cinglante critique de notre société superficielle qui fait passer l'image au dessus de tout, sans se préoccuper des êtres humains derrière ces images.
Je ne connaissais pas l'auteur mais inutile de préciser que vais inscrire ses deux autres bouquins sur ma PAL !