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Je ne suis pas très friand des univers Héroic-Fantasy, en général je n'accroche pas vraiment à l'ambiance, à l'histoire etc… Mais là, il s'agit d'un comics écrit par Joshua Williamson, dont j'ai beaucoup aimé le premier tome de Nailbitter. Alors, certes non sommes dans un style totalement différent, mais quand j'aime un auteur, cela m'encourage à tester ses autres récits, car cela me permet souvent de sortir de ma zone de confort.

Avec ce premier tome de Birthright, je suis vraiment sorti de cette zone et j'en suis très heureux car j'ai vraiment adoré. L'histoire commence de manière très simple, on suit un père de famille qui joue dans un parc avec son fils, et qui le perd de vue quelque minutes. Il ne le reverra jamais car ce dernier disparait. Enlèvement, fugue ? non, rien de tout cela, Mickey (l'enfant) se retrouve transporté dans une autre dimension (le coté héroic-fantasy est ici) dans laquelle un destin semble l'attendre.

Dans le monde normal, on suit la famille Rhodes qui se déchire rapidement. La mère de Mickey reproche à son mari son laxisme, et va même jusqu'à l'accuser d'avoir volontairement fait du mal à ce dernier. Leur deuxième enfant, assiste impuissant à la disparition de son frère et à la séparation de ses parents.

Lorsqu'un an plus tard, un adulte ressemblant à Conan le barbare fait son apparition, la famille Rhodes est appelé, car cet étrange individu clame être Mickey. Je ne vais pas vous en dire plus, mais à la fin de ce premier chapitre j'étais totalement conquis.

L'ambiance et les personnages sont vraiment très développés, à tel point que l'on rentre dans le récit immédiatement. de plus, le rythme est super bien géré car l'on passe toutes les deux ou trois pages d'un monde à l'autre. On découvre ainsi l'évolution de Mickey dans le monde de Terrenos en même temps qu'on suit ce qui se passe dans notre monde.

Les dessins sont vraiment sublimes, les planches sont claires, les couleurs utilisées sont magnifiques. Je sais que cela fait un peu cliché, mais ce comics est pour moi une excellente surprise dont il va me falloir rapidement me procurer le tome suivant ! Encore une fois, cela prouve qu'il n'y a pas que des supers héros dans les comics, et que les indépendants ont de beaux jours devant eux 😉

Lien : https://chezxander.wordpress..
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Comme pour tous les livres, je ne lis pas les résumés ou les quatrième de couverture des BD que je ne connais pas avant de les commencer. J'aime que l'immersion dans l'oeuvre de l'auteur se fasse comme lui l'a décidé, et pas comme son éditeur ou des critiques l'ont envisagé. Pour les BD, je ne peux quand même pas m'empêcher de feuilleter au hasard des pages pour découvrir le graphisme et me faire une idée. Et dans le cas de Birthright, ce qui est sûr c'est que je n'ai rien compris à ce qui se passait en regardant comme ça au hasard... et du coup ça m'a donné très envie de le lire !

Birthright est en effet un drôle d'hybride. Un mélange de Terminator et le Monde de Narnia pour le scénario, du seigneur des Anneaux et d'un roman de Stephen King pour l'univers décrit. Je mets plutôt des références "glorieuses" car le livre m'a vraiment plu. On navigue entre deux mondes parrallèles avec des temporalités différentes, on fait certains allers retours entre le passé et le présent de la famille sur qui se centre le récit... Bref, un joyeux bordel, mais vraiment jouissif où on ne souffle pas un seul instant. le découpage US en chapitres permet presque déjà d'imaginer une possible adaptation en série... avec un vrai budget effets spéciaux en revanche.

Parlons aussi du graphisme, tout simplement époustouflant. Andrei Bressan en est à sa première série mais sa maîtrise est impressionnante. Ses grandes cases de paysage du monde parallèle ou ses pages complètes sont à la fois détaillées, compréhensibles du premier regard... et tout simplement magnifiques. Je rage souvent sur les scènes d'action en BD car on a parfois du mal à comprendre réellement ce qui se passe (comme dans pas mal de film d'action également, mais là on a l'excuse de ne pas gérer le rythme). Ici tout est très fluide et rien n'est caché sous des pages trop sombres. C'est lumineux et adorablement coloré (bravo du coup à Adriano Lucas), une réussite totale également donc dans le dessin.

Je ne savais pas à quoi m'attendre en ouvrant ce livre (bon j'avais pris une petite claque graphique en feuilletant) mais j'en ressort ravi, une nouvelle série à suivre, déjà 8 tomes sortis en français, de belles aventures en perspective.
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Birthright est une très belle réussite niveau Comic.
Une famille se retrouve brisée après la disparition de Mickey, leur plus jeune enfant. le père se retrouve injustement accusé d'avoir tué ce fils et le couple se sépare. Un an plus tard, un homme réapparaît. Il prétend être Mickey et explique avoir passé des années dans un univers parallèle.
Le père reconnaît son fils tandis que la mère refuse d'y croire.

Ce premier tome offre des illustrations soignées et mises en couleur avec soin, un découpage en chapitre et un scénario mêlant réalité et territoires peuplés d'êtres surnaturels. le récit est très rapide et on se s'ennuie pas.

Assurément, une belle mise en bouche et un bon rythme qui donne envie de lire la suite.
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La Chronique Fourre-Tout D'YRADON #N11 sur "BirthRight T.1 à 3" de @Williamson_Josh et @AndreiBressan chez @DelcourtBD

Synopsis :

"Cette nouvelle série va vous prendre à la gorge, jouant sur la pire peur que peuvent ressentir tous les parents : perdre un enfant ! Pourtant, au bout de quelques années, il réapparaît... Et semble sorti d'un univers d'Héroïc Fantasy. Lorsqu'Aaron emmène Mikey jouer dans le parc en rentrant de l'école, il ne se doute pas un seul instant qu'en le perdant de vue quelques secondes, sa vie va être bouleversée. Mikey disparu, Aaron, rongé par le remords, sombre dans l'alcool et la famille entière se désintègre. Mais un an plus tard, une sorte de Conan fait irruption dans leur vie et pourrait bien être leur fils perdu, Mikey..."

Scénario : Joshua Williamson ;
Dessins : Andreï Bressan ;
Éditeur : Delcourt ;
Prix : 1.99 € / tome en numérique (durant le Black Friday).

Ayant été attiré par le visuel de la couverture et par l'histoire en elle-même, je me suis jeté sur l'offre que nous a proposé Iznéo, durant le Black Friday, pour acquérir les trois premiers tomes de cette série : BirthRight. Je peux donc vous dire, que je ne suis pas déçu du voyage. En effet, étant un grand fan de Fantasy et de quête impossible, j'ai tout de suite été séduit par l'ambiance et le scénario de cet opus. de plus, j'en ai tellement entendu parler, par la communauté, que je ne pouvais donc pas passer à côté.

Vous y retrouverez donc les aventures de Mikey, qui par un malheureux concours de circonstance, va disparaître au vu et à la barbe de son père Aaron, lors d'une banale sortie au parc. A partir de ce moment-là, l'enfer va se déchaîner sur cette pauvre famille, jusqu'à la faire péricliter. Eh, oui, le pauvre père est accusé d'avoir tué son fils et sa femme se laisse corrompre par les persiflages. Cette situation merdique prend un tournant inhabituel, lorsqu'une année plus tard, resurgit un homme, ressemblant à un mixe entre Conan le barbare et Brad Pitt (mais en brun), qui pourrait être l'enfant tant recherché. Vous pensiez que cela serait une bonne nouvelle ? C'est juste les ennuis qui commencent ou plutôt qui continuent et ça, notre chère famille, va l'apprendre à la dure.

Cet opus est donc une sacrée bonne surprise pour votre serviteur. L'histoire est bien montée (on se calme les pervers) et développe tout son potentiel à chaque tome de la meilleure des façons. C'est angoissant, sanglant, terrifiant et bourré d'action. le lecteur n'a pas le temps de se reposer sur ses lauriers, qu'il est tout de suite happé par autre chose. C'est bien écrit et l'utilisation des composants de la Fantasy est intelligemment faite. Les personnages sont également sympas à découvrir et apportent chacun leur pierre à l'édifice créé par Joshua et Andreï. le tout est magnifiquement mis en lumière par un graphisme caractéristique de l'univers chez Delcourt et c'est de toute beauté. On a l'impression de grandir avec le pauvre Mickey à chaque tome lu, ce qui renforce les liens qui se créés avec le lecteur.

C'est donc une vraie réussite et j'ai hâte de lire la suite. Je vous la conseille donc également comme idée pour Noël.

Note T.1 à 3 : 5/5.
Lien : https://wordpress.com/post/y..
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Le début est vraiment top. J'aime bien cette idée d'enfant qui disparaît dans la forêt et qui revient un an après sous une autre apparence. La famille très heureuse ne résistera pas au choc de la disparition et encore moins de la réapparition. Par la suite, il faudra véritablement s'accrocher à ce récit de médiévale fantasy.

J'ai bien aimé lorsque le récit est ancré dans la réalité mais beaucoup moins dans celui du monde magique. Or, c'est cette dualité qui doit en faire le charme. Pour autant, c'est assez prenant pour demander la suite.
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Je ne suis franchement pas convaincu par ce très léger démarrage.
C'est fort probablement à cause du genre (heroic fantasy) qui a du mal à passer. Ici on a affaire à un enfant qui traverse un passage vers un autre monde (comme dans Narnia) où règne la guerre (à la Warhammer / Warcraft / Seigneur des Anneaux) puis revient au monde réel en tant que combattant aguerri (comme Connor dans Angel). Les copiés-collés vont encore plus loin avec un méchant Roi Lore qui rappelle le méchant Roi Liche de Warcraft et un héros-barbare qui prend des pauses à la Vallejo tout en étant possédé par une force obscure (rappelant notamment l'inégalable Elric).
Même le thème de la famille, qui semble apporter un peu d'originalité, se voit vite lié au cliché des lignée de héros "élus" au sang noble des grands guerriers.
Ça a beau être superbement illustré, c'est un peu trop stéréotypé pour moi. D'autant plus que l'auteur a prouvé, avec Ghosted, sa capacité à sortir mille idées pétillantes, neuves et dynamiques.
Apporter du neuf et briser les vieux clichés aurait pu sauver ce comics, qui sans cela ressemble à une parodie sans humour ou à un hommage sans créativité.
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J'ai beaucoup aimé cette BD, qui m'a été offerte par son éditeur via §Babelio et son opération Masse Critique BD : merci !

Ce choix été un pari un peu risqué de ma part : jusque là je n'avais pas encore réussi à accroché à un "comics", bien que j'en ai déjà essayer une bonne poignée (mais je ne suis pas sure d'avoir fini un seul tome). Ici, le résumé me plaisait beaucoup, tout comme l'illustration de couverture, alors j'ai tenté.

Et bien m'en a pris parce que j'ai franchement apprécié. Les dessins sont beaux, avec des couleurs vraiment chouette. Le scenario semble sur certains points assez classique mais est très bien racontée. J'ai appréciée de voir certains rôle un peu échanger par rapport à ce que l'on peut voir ailleurs.

L'histoire avance très vite, il se passe plein de choses dans ce tome et les scènes ou le contexte ne sont pas inutilement rallongé, ce qui est très bien pour une lecture détente. J'ai bien aimé l'alternance présent dans le monde réel/passé dans le monde fantasy. Chaque passage est assez court pour qu'on ne se perdre pas tout en ajoutant chaque fois des éléments qui se réponde bien. il y a du suspens mais pas d'abus sur les scènes en suspens au moment fatidique (mais où tout le monde sait que non le héros ne tombera pas de la falaise pour s'écraser au sol). C'est clairement ce rythme formidablement bien géré qui m'a permi d'accrocher autant.

Les illustrations sont toutes intéressantes, avec des fonds travailler mais sans lourdeur. Le décor pose une ambiance sans ralentir la lecture, tout comme les tenues ou les expressions des personnages. Ca permet de donner pas mal de substance au tout. Et, c'est beau. C'est très coloré sans être flashy (bon, ok, c'est un peu flashy par moment mais pas tout le temps).

Un truc très bête mais que j'apprécie: il n'y a pas de texte introductif en haut des bulles, dans un style qui différerait des dialogue. On reste fluide tout du long et l'image et l'action suffisent à bien comprendre sans se prendre la tête.

L'objet est beau et agréable à manipuler (et il sent bon). Le format comics est en fait assez chouette, avec de grandes illustration mais plus facile à tenir en main que les formats BD classique je trouve. La couverture est bien épaisse et d'une texture agréable. Les chapitres ont de belles pages de garde avec fonds noirs d'un côté et grande illustration sepia de l'autre (apparement divers couverture de sous-tome si j'ai bien compris). Ces même illustration nous sont présentés en couleur en fin d'ouvrage avec leur provenance. Je sais pas si c'est classique, mais c'est très chouette. Aussi, les équivalence entre différentes éditions sont indiquées clairement.

Bon, certains rebondissement reste un peu grandiloquents ou attendus, les personnages sont caricaturaux et le monde fantastique cherche à faire des créatures étranges mais sans se démarquer des autres mondes imaginaires (pour le moment en tout cas). Ca semble se diriger vers une histoire assez manichéenne. Le tome à lui seul ne constitue pas une histoire tout à fait satisfaisante et appelle une suite à grand cri.

En bref, j'ai aimé, même si la cinquième étoile que je lui met est peut-être un peu liée à ma première découverte d'une oeuvre à mon goût dans cette catégorie. Et maintenant, j'attends la suite.
Lien : http://lemoulinacritiques.bl..
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Un comics qui commence comme un drame familial archi classique : une sortie dans les bois entre un père et son fils, le fils disparaît, le père est soupçonné du meurtre même si on ne trouve aucune preuve contre lui, sa femme le quitte, il sombre dans l'alcool… cliché sur cliché.

On se dit donc au départ que pour l'originalité, on repassera. Et puis au bout de dix pages, virage à 360 degrés. On se retrouve un an après la disparition. Une espèce de Conan le barbare, sorti dont ne sait où avec une tripotée d'armes dignes du Moyen-âge, est arrêté par la police. le gars a la trentaine, une armure, des tatouages, la barbe et les cheveux longs. Et il prétend être le gamin disparu à peine douze mois plus tôt ! Arrivé à ce stade, on se dit « mais qu'est-ce que c'est que ces conneries ???? » (enfin moi, c'est ce que je me suis dit). Sauf que. le voile se lève petit à petit, Conan et le gamin s'avèrent bien être la même personne et on finit par se convaincre que ce scénario pour le moins improbable est drôlement bien ficelé.

Je ne vous explique rien de plus car il serait sacrilège de révéler les nombreuses surprises réservées par cette histoire menée tambour battant et oscillant entre le présent et les péripéties arrivées à l'enfant depuis sa disparition. C'est dense, assez gore et surtout totalement addictif. C'est simple, je n'avais pas pris un pied pareil à la lecture d'un comics depuis Locke and Key. Il y a d'ailleurs pas mal de points communs entre les deux titres, notamment au niveau du dessin et de l'intrusion importante du fantastique dans un environnement on ne peut plus réaliste.

Une lecture dont je n'attendais rien de spécial et qui m'a tout simplement bluffé. le tome 2 est annoncé début 2016 par l'éditeur, j'espère que ce sera en janvier plutôt qu'en avril !

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Si j'aime beaucoup l'Heroic Fantasy en roman, en comics, je suis souvent déçu.

Birthright échappe à cette déception et me redonne espoir de trouver des bons récits du genre en comics.

Mais Birthright, Késseussé ?

Un père et un jeune garçon sont dans un parc et jouent à se lancer une balle de baseball. le père la lance un peu fort, l'enfant va l'a chercher dans la forêt mais ne revient pas.
Tout le monde pense à un enlèvement voir même que le père a tuer son fils.
Un an plus tard, alors que la famille tombe en ruine, un ersatz de Conan prétend être l'enfant disparu, d'avoir été enlevé dans un monde de fantasy où il était l'élu d'une prophétie et où le cours du temps n'est pas le même, et qu'il revient sur terre après avoir accompli sa destinée.
Dur à avaler, et pourtant... il se pourrait que ce soit vrai.

Le pitch de départ m'a emballé direct.
Pour la comparaison, si cela avait été un manga, ç'aurait été un Isekai (personnage transporté dans un autre monde), genre que j'affectionne également.

L'univers proposé est passionnant, l'histoire est bien ficelée, on alterne entre l'histoire sur Terre et les flashback dans le monde de Terrenos.
Le dessin est très sympa et les tomes enchaines les révélations.

Rien à dire, si vous chercher de l'Heroic Fantasy en comics, vous ne trouverez pas mieux.
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L'idée de base de l'histoire est sympathique et originale : un enfant disparaît dans un monde parallèle et réapparaît un an plus tard, à l'âge adulte, attifé d'accoutrements de guerrier de Fantasy. On va naviguer entre deux mondes, celui, magique, de Terranos et le nôtre où ce personnage continue à bénéficier de ses pouvoirs issus de l'autre monde, épée magique, force surhumaine...
Mais je n'ai pas été emballé plus que ça par cette histoire. Il y a un soin particulier apporté aux bagarres, aux combats, mais les personnages sont totalement stéréotypés, testostéronés, sans nuances et le graphisme est spectaculaire mais les effets spéciaux se contentent de flatter le regard. J'ai un peu l'impression, en ouvrant un comics, de lire toujours un peu la même histoire. Celle-ci est plutôt bien construite, et le graphisme nous réserve quelques belles planches, mais cela ne comble pas mes attentes en matière de bande dessinée.
À chaque fois que j'ouvre un comics américain, je ressens l'attirance des créateurs pour l'univers du cinéma, comme si la bande dessinée n'était qu'un ersatz de cet art, à chaque page j'ai l'impression d'entendre ses créateurs implorer “Adapte-moi !“. Et j'avoue que ce genre de cinéma ne m'attire plus trop non plus.
Il y a aussi quelques regards tournés vers l'univers du jeu vidéo, un domaine dans lequel je n'ai jamais réussi à entrer, question de génération sans doute, mais c'est encore une raison pour laquelle je ne me suis pas du tout senti en phase avec cette aventure.
Sans doute que les adeptes du genre y trouveront leur bonheur, mais assurément, ce n'était pas pour moi.
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