AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,71

sur 46 notes
5
3 avis
4
17 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
4 avis
Certes, comme le titre de ce roman allemand le présuppose, elle est sombre cette vallée, au coeur des montagnes bavaroises dans laquelle un étranger arrive un jour, soulevant la méfiance de l'ensemble des villageois. On sent très vite à quel point l'atmosphère est lourde, menaçante.

Qui est cet homme, peintre de son état, qui finit peu à peu par se fondre dans le paysage ? Que vient-il faire dans cet endroit où un père et ses fils règnent en maitre ? La vérité affleure au fil des pages de cette intrigue où l'on va apprendre qu'un assassinat a été commis il y a quelques années et comment les habitants doivent se plier à une coutume barbare mis en place par ce clan effrayant. Justice sera telle faite ? Ses habitants seront-ils délivrés de cette emprise maléfique ?

Avec ce thriller sous fond de vendetta qui emprunte aux codes du western, Thomas Willmann répond à ces inquiétantes questions dans un suspens bien dosé. Un roman qui a bien fonctionné outre Rhin (Plus de 100.000 exemplaires vendus !) Pour un récit captivant et oppressant à souhait.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          390
Sombre vallée est un roman qui m'a fait sortir de ma zone de confort. Mi thriller, mi western et une fois n'est pas coutume, nous ne sommes pas aux Etats-Unis mais dans les Alpes Bavaroises. Un changement de décor intéressant mais au final, on en apprend très peu sur la région, dommage ! « du pied de la montagne d'où l'étranger était parti aux premières lueurs de l'aube, rien n'indiquait, même à un regard averti, la présence de cette haute vallée vers laquelle il se dirigeait maintenant avec son animal de bat. La faille qui y conduisait, prise entre d'abruptes parois rocheuses, était trop haute, trop étroite et trop encaissée. Quant au chemin, ce n'était guère plus qu'un sentier à moitié dévasté par les intempéries – il n'y avait en effet pas beaucoup d'échanges, il n'y en avait d'ailleurs jamais eu beaucoup, entre les gens de la plaine et les habitants de l'immense cirque montagneux. Pour ceux d'en bas, que l'on puisse vivre si près du ciel relevait d'une légende presque oubliée. Et pour ceux d'en haut, c'était très bien ainsi. »

On y fait la rencontre de Greider, un peintre qui arrive juste avant l'hiver dans cette vallée montagneuse On en sait très peu sur lui et on va apprendre à le connaitre au fil des pages. Est-il celui qu'il prétend être ? C'est quelques flashbacks qui ponctuent le roman qui vont nous l'apprendre. En même temps, on découvre les habitants de la vallée, leur quotidien. le roman se veut très noir, comme cette vallée prisonnière du froid, de la neige, des traditions et des sermons durs de son prêtre.

C'est une lecture que j'ai beaucoup apprécié. Quelques descriptions sont crues, sanguinolentes et il faut avoir le coeur bien accroché mais pour le reste, je suis conquise. J'ai aimé le mystère sur Greider, le fait de ne rien savoir sur lui, qu'il soit très effacé dans les premières pages. le suspense monte progressivement et l'on comprend très vite qu'il se terminera forcement dans un bain de sang. « Des hommes comme il y en avait beaucoup dans le pays, formés par la guerre et abandonnés ensuite à leur sort, à qui on avait fait appris à tuer, à qui on avait fait croire que la cruauté est une forme d'héroïsme et la barbarie un devoir. Des hommes qui n'avaient pas su retrouver le droit chemin – ou qui tout simplement n'en avaient aucune envie. »

Les personnages secondaires sont attachants, je pense notamment à la veuve et sa fille qui accueille Greider. Ils apportent un peu d'humanité dans ce monde de brutes.
Je suis maintenant curieuse de découvrir l'adaptation cinématographique qui j'espère sera à la hauteur du roman.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
Commenter  J’apprécie          230
Merci à Babelio et à la maison d'éditions Belfond pour ce très beau livre qu'est « Sombre Vallée ». J'en profite aussi pour saluer cette lettre, ce petit mot gentil, – bien que conventionnel – qui m'a fait plaisir. La couverture est réussi avec cette belle illustration signée Atelier Dominique Toutin.

Dans les chemins escarpés d'une montagne, un étranger se balade avec une mule. Sa destination est ce village où il souhaite passer l'hiver afin de peindre ces paysages magnifiques. Sa présence n'est que tolérée.

Le récit démarre sur un prologue fort et violent. de la violence gratuite qui n'a pas vraiment de lien avec le reste de l'histoire. Après ce choc du prélude, l'auteur nous narre l'arrivée de cet étranger.
Le style d'écriture est particulier. D'un ton monocorde, il est fluide et plutôt facile à lire.L'auteur se complaît à narrer des descriptions ce qui facilite l'imprégnation de l'environnement. On notera que Thomas Willmann se concentre uniquement sur sa narration et les dialogues sont très rares. Sur ce point je trouve ça dommage qu'il n'y ait pas plus d'échanges entre les protagonistes pour vivifier l'histoire. C'est peut-être dû au style de l'auteur, mais j'ai eu l'impression de ne pas me familiariser avec ces personnages.

L'histoire se suit aisément et on découvre le véritable visage de cette sombre vallée ou plus exactement ce petit village maudit. Je n'ai pas vraiment retrouvé l'ambiance western voulu par l'auteur. Ceci étant peut-être dû à la situation géographique. À aucun moment Thomas Willmann ne mentionne l'endroit où nous nous trouvons. de plus l'action se déroule durant l'hiver où la montagne est recouverte d'une pellicule blanche, autrement dit de la neige. On y trouve bien des mâles rustres chargés de testostérones. Sans dévoiler l'intrigue on y découvrira de façon abrupte, peut-être un peu trop soudainement, que l'étranger (alias Greider) n'est pas là par hasard.

La force de l'auteur sont ces scènes puissantes qui arrivent à nous prendre par moments aux tripes. Tel un soudain violent orage, on assiste à un événement assez fort émotionnellement. J'ai en mémoire le passage de l'étable lors du nouvel an.

Au final il s'agit d'un roman sombre empli de noirceur. Ce fut un très bon moment de lecture, c'est ce que je demandais. le style particulier de l'auteur m'a laissé un peu perplexe. N'étant pas habitué à cette litanie, non pas plate mais sur cette note régulière, je pense que le récit aurait pu prendre plus d'impacts. Je déplore que dans les très rares dialogues, on trouve au milieu du livre, quelques phrases non traduites ni même annotées. J'ai de très faibles notions en anglais et je ne connais pas du tout l'allemand. Je rajoute à cela : le résumé en quatrième de couverture – que j'ai lu après le livre – va beaucoup trop vite. Il vaut mieux en faire abstraction si on veut profiter au maximum du récit.
Commenter  J’apprécie          222
Excellent "Eastern" au coeur des montagnes bavaroises.
Sombre Vallée, sombre histoire, sombres personnages ...

Tout au long du récit, on va cheminer aux côtés de " l'étranger " ,le héros mystérieux, preux chevalier sans peur dans une atmosphère de plus en plus oppressante, souvent glauque, alourdie par le poids d'un secret ou le spectre d'un drame passé , le tout dans un décor hivernal, métallique...

Un suspense éprouvant entretenu tantôt par la puissance de la narration tantôt allégé par des touches poétiques de "nature writing" , un suspense qui s'égraine avec lenteur au fil du roman lui conférant ainsi toute la gravité due à l'intrigue.
Un roman captivant : on flotte hors du temps, on est comme happé par le lieu, comme prisonnier de ce maudit village...
Après cette lecture, un seul souhait : retrouver cet auteur . Mais, si ma recherche est bonne ,Thomas Willmann n'aurait que ce titre à nous offrir en français !
Commenter  J’apprécie          180
"La montagne, ça vous gagne", qu'ils disaient. Tu parles ! Vu d'ici, on a envie de fuir à toutes berzingue de leur foutue montagne et surtout de leur trou du cul de village perdu dans une vallée des Alpes Bavaroises.

Ce roman porte bien son nom en français, la vallée est sombre et pas uniquement parce que nous sommes en hiver et que le soleil se couche avec les poules.

Non, ici, la sombritude (néologisme gratuit) elle est dans le coeur des gens, dans leurs âmes, dans l'acceptation de la domination d'une famille, le clan Brenner, comme si nous étions encore au Moyen-Âge ou dans en Sicile, sous la coupe de la Mafia.

Pourtant, que la montagne pourrait être belle dans cette vallée à la terre fertile s'il n'y avait pas ces foutus fils Brenner qui y font la loi. Ils sont six et bientôt, il ne seront plus que quatre, puis cinq… Une sorte de "Dix Petits Nègres" d'Agatha Christie rebaptisé "Six Fils Brenner".

Le récit est oppressant car même si nous sommes dans une vallée, avec l'hiver qui arrive, ça devient un huis clos. L'auteur nous fait bien sentir qu'il y a un truc louche dans la venue dans ce village paumé du peintre Greider, mais au départ, on ne voit pas le lien.

C'est petit à petit aussi que l'on découvre que tout le village est sous tutelle de la famille Brenner et à un moment donné, en analysant les angoisses d'un personnage, j'ai compris jusqu'où cette main mise pouvait aller et là, ce fut l'horreur absolue lorsque l'auteur a confirmé mes pires craintes.

Les personnages sont taillés à la serpe, on n'en saura pas beaucoup sur eux, mais ce sera suffisant pour qu'on s'attache à certains, dont Greider, la veuve Gader, Luzi et Lukas tandis que les autres nous feront trembler de par leur morgue, leur froideur, leur façon d'être.

Le style d'écriture n'est pas trépidant, mais les pages se tournent toutes seules, car on veut savoir ce que Greider fout dans ce trou du cul paumé des alpes bavaroises, hormis dessiner les paysages et les maisons au fusain. Il n'y a pas que ça…

On voudrait aussi en savoir plus sur le clan qui règne telle la famille Ewing dans cet univers impitoyable et qui font montre de toute leur puissance, leur hégémonie ou de leur testostérone lorsqu'ils déambulent dans le village pour accompagner Greider chez la veuve Gader.

Comme dans le roman "Sécessions", les dialogues sont assez rares, mais ici, grâce à la plume de l'auteur, ça passe comme une lettre à la poste car certaines scènes sont puissantes, violentes, mais on en veut toujours plus car on veut savoir.

Vers la page 190, deux récits vont d'entremêler, deux récits du passé, mais qui auraient pu concerner aussi le présent (je l'ai pensé à un moment donné), deux récits violents, âpres, prenant, deux histoires tragiques qui, dans le roman, sont séparées par un espace mais sont soeurs de par la violence sans borne qui les caractérisent.

Je quittais un récit la mort dans l'âme pour me replonger dans l'autre que j'étais contente de retrouver car je voulais connaître le fin mot et au moment où… boum, on revenait au premier, et l'auteur a ainsi joué avec le suspense et l'envie de tout savoir durant de nombreuses pages, faisant monter mon rythme cardiaque.

Niveau ambiance western, elle s'y trouve bel et bien dans ce côté d'un Clint Eastwood qui jouerait le rôle de Preacher (Pale Rider) ou à la manière d'un Henry Fonda (Mon nom est Personne) et bien entendu, dans le final, mais sans les mouches, vu la climat.

Le seul bémol sera pour quelques phrases en allemand non traduites en annexe ou en bas de page.

Un roman sombre, un nature writing mâtiné de roman noir, une histoire d'hégémonie suprême d'un homme et de ses fils sur un village, leurs pleins pouvoirs, et devant eux, un troupeau de dominés courbant l'échine et un peintre inconnu armé de ses fusains.

C'est lent, poétique, avec de la psychologie dans les personnages et dans l'analyse de ala position de Greider, à la fin, sans oublier de la rédemption. Et lorsque l'on tourne les pages, on frémit de ce qui pourrait nous attendre au détour de l'une comme au détour des forêts sombres et couvertes de neige de ce coin perdu où il ne fait pas bon y échouer.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          180
Je lis très rarement de la littérature allemande mais je pouvais pas passer à côté de ce roman noir comparé aux romans américains du genre ou même au style western : quel roman !

Ici tous les ingrédients sont réunis pour nous conter une histoire sombre dans une vallée ténébreuse : un récit emprunt de vengeance, de sang et de la rancoeur passée. le décor est parfait pour mettre en place une atmosphère digne d'un Winter's Bone : coin paumé, pauvre, désert, froid... Bienvenue dans les montagnes bavaroises où plusieurs drames ont eu et vont avoir lieu ! Je me suis plongée dans cette lecture comme on plonge dans un lac sans en voir le fond, c'est profond, terrifiant et captivant...

Le style de l'auteur est à mes yeux assez différent des américains dans le domaine : c'est moins rythmé et plus poétique, lent, c'est une ambiance qui s'installe de façon sinueuse et énigmatique; le lecteur est aux aguets à la moindre page tournée comme si on était dans une forêt et que le plus mince craquement nous fasse sursauter. La nature est un personnage omniprésent et c'est ainsi que Thomas Willmann mélange le nature writing au roman noir pour nous délivrer un texte magnifique. La traduction nous permet d'autant plus d'apprécier les mots et les tournures de phrases.

Face à l'hégémonie tyrannique d'un père et de ses fils sur le village, un homme revient sur ces terres afin de mener sa vendetta et peut-être réussir à libérer les habitants du joug cruel de la famille alpha. Au fur et à mesure on comprend ce qui a pu se jouer il y a quelques années amenant Greider, l'étranger à venir accomplir une forme de destinée. Ce roman mixe les genres et nous avale dans des brumes littéraires fascinantes.

En définitive, j'ai adoré ce livre qui a été une très belle surprise !

Lien : http://leatouchbook.blogspot..
Commenter  J’apprécie          180
Inquiétude des habitants d'un village qui voient arriver un étranger sur sa mule qui se dit peintre. Tout comme eux, le lecteur se pose la question du pourquoi dans ce village-ci ? Que vient-il y faire ? Surtout que l'accueil du clan Brenner, composé de six frères et du père, est plutôt glacial, mais ce sont eux qui dictent les lois dans cette vallée. La montée en pression y est lente et assurée. Pas toujours facile de s'y retrouver dans les entrecroisements de scènes. Une belle découverte que ce règlement de compte, façon western bavarois.


Commenter  J’apprécie          170
Un vrai western.Tout y est. l'‘homme solitaire et mystérieux qui arrive dans une vallée où il n'est pas le bienvenu. Un vrai décor de village replié sur lui même comme dans les films de Sergio Leone. Bizarrement, cet homme arrive au début de l'hiver et ne sort pas son fusil mais son matériel de peinture. C'est un artiste qui veut rester tout un hiver uniquement pour peindre.Enfin, c'est ce qu'il dit .Vous vous doutez bien que ce n'est pas aussi simple.J'oublais' nous ne sommes pas dans l'Ouest américain mais dans les Alpes Bavaroises
Le récit commence lentement,trop lentement à mon goût et j'ai failli arrêter à la page 100
Un conseil:accrochez vous car tout va aller crescendo jusqu'à la dernière scène sur un rythme soutenu et passionnant .Quel scénario
On pense forcément aux scènes finales des grands films dont je parlais plus haut
Quel dommage que la mise en place de l'intrigue soit trop longue
Nous tenons là un très bon écrivain à suivre de près.
Commenter  J’apprécie          130
Dans les Alpes, au XIXeme siècle. Une haute vallée reculée, à l'ecart du monde, tenue par la famille Brenner, qui y fait régner sa loi. Arrive un étranger, qui, sous prétexte de peindre, et moyennant une belle somme d'argent, obtient l'autorisation de rester quelques mois...

Ce roman reprend de nombreux codes du western : une petite communauté terrorisée par une famille, l'arrivée d'un étranger, le déchaînement de violence au final. Il n'y a que le contexte qui change, car l'histoire ne se déroule pas dans l'Ouest américain. Quoique...

J'ai aimé ce roman, en dépit de quelques longueurs, et d'une fin digne de "Die hard" (cela ne faire guère western, je vous l'accorde...). Mais ce roman, cette histoire d'une vengeance implacable, se distingue par son atmosphère sombre, lourde. Cette menace qui plane, ce drame que l'on sent poindre... et qui arrivera, inévitablement.
Commenter  J’apprécie          120
Je tiens avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour l'envoi de ce roman qui m'a fortement plu !

Je vais commencer par un point purement superficiel mais qui, pour une fois, a eu son importance pour le choix de ce roman. En ce moment, j'ai beaucoup de mal à lire et me plonger dans un roman est un peu compliqué, mais quand j'ai vu cette magnifique couverture, j'ai tout de suite voulu en savoir plus sur cette histoire. Grand bien m'en a fait car j'ai finalement dévoré ce roman en seulement deux soirées, ce qui représente un exploit pour moi actuellement.

Outre sa couverture somptueuse qui reflète bien l'ambiance de l'histoire, le résumé était des plus alléchant. Nous suivons Greider, un artiste qui souhaite s'installer dans un village de la vallée, coupé de tout durant l'hiver. Bien évidemment, les étrangers sont plutôt mal accueillis dans ce petit village sectaire mais il arrive à trouver l'hospitalité chez une veuve et sa fille. Une sorte d'amitié se met en place, les jours passent tranquillement mais bien vite, on comprend que le but premier de Greider n'est pas de peindre. S'ensuit alors une série d'accident, visant la plus importante famille du village...

Tout dans ce roman m'a plu ! le style est d'une telle fluidité que même si l'histoire ne m'avait pas emportée, j'aurais quand même continué à lire. L'histoire est intéressante, on comprend rapidement la volonté de Greider et l'auteur n'attend pas forcement la toute fin pour nous en apprendre plus sur le personnage. Malgré cela, le mystère reste entier car même si on sait que c'est une vengeance personnelle, on ne saisit les ficelles du "complot" que lorsqu'un évènement sensé être joyeux est perçu comme une épreuve horrible...Les personnages ne sont pas forcement très travaillés, à part Greider mais on s'attache tout de même à eux, et on éprouve d'emblée une vive répulsion envers les fils Brenner. Mais ce qui m'a le plus plus dans ce roman, c'est l'ambiance qui s'en dégage. On pourrait presque le comparer à un huit-clos car même si cela se déroule dans un village en extérieur, cet endroit est coupé de tout. de plus, les accidents semblent vraiment des accidents, difficile de savoir ce qu'il se passe réellement et difficile pour les protagonistes, qui se connaissent tous, de comprendre ce qui est en train de se passer...
L'ambiance est douce mais oppressante, une montagne, un hiver, de la neige, un complot, une vengeance, un style agréable, il ne m'en fallait pas plus pour passer un excellent moment de lecture !
Commenter  J’apprécie          90



Lecteurs (87) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz: l'Allemagne et la Littérature

Les deux frères Jacob et Whilhelm sont les auteurs de contes célèbres, quel est leur nom ?

Hoffmann
Gordon
Grimm
Marx

10 questions
416 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature allemande , guerre mondiale , allemagneCréer un quiz sur ce livre

{* *}