La Maladie de Sachs

Un médecin de province, dans un village. Les patients, les villageois, les choses de la vie quotidienne, ces petits riens qui font une personnalité, une ambiance...
Ce livre a eu énormément de succès à sa sortie, et je n'avais jamais eu l'occasion de le lire. Ben ça ne sera pas chose faite cette fois-ci ! Je me suis arrêtée à la page 124 (sur 476), atteinte laborieusement en plus de deux semaines... le principe de la narration à la deuxième personne par un narrateur différent à chaque chapitre (on sait qui narre par le titre du chapitre, et le "tu" est toujours Bruno Sachs, notre héros-médecin) m'a un peu déroutée au début, puis j'ai apprécié, même si j'ai trouvé ça assez vite lassant. Ca donne un côté vivant plutôt sympa. Mais je n'arrive pas à me défaire de l'impression que Martin Winckler est lui-même médecin, et du malaise qui en résulte pour moi à la lecture de ce récit. Je n'aurais pas aimé être un patient et me deviner dans ce livre dont la manifeste volonté de tendresse simili bourrue confine à la condescendance... J'espère me tromper.
A part ça, je m'arrête surtout parce que la manie moderne de tout psychologiser me porte sur les nerfs, et encore plus quand ça vient d'un médecin. D'ailleurs, il vaudrait probablement mieux que j'évite les médecins et autre psy tout court, globalement, vu notre expérience avec eux "en vrai", me suis bien assez colletée à leur prétentieuse incompétence sur l'autisme, j'ai pas envie d'aller voir si ailleurs aussi ils se trompent avec leurs lourds sabots à mille lieues du bon sens et de l'évidence médicale. Je préfère ne les fréquenter que pour ce qui relève réellement de la médecine... Pour la littérature, j'irai voir ailleurs =^.^=
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Un roman que j'ai tenté de lire à plusieurs reprises mais je n'accroche pas.

jamais rien compris à ce livre...A cause du style. Qui parle ? lui, sa secrétaire. Une érotomane ? Bref après quelques chapitre j'ai reposé le livre et je suis passée à un autre.

je n'ai pas réussi à le lire

impossible de finir ce livre.... déprimant....Comment peut-on faire ce métier ( qui me touche de très prés ) et écrire ça.... je ne sais pas , quelque chose m'a échappée sans doute.

Impossible d'aller au delà de la p 80 tant j'ai trouvé ce livre ennuyeux. Ce n'est pourtant pas dans mes habitudes.