Les chemins de la liberté

Je veux pas entendre la suite. Je veux pas savoir. Mais peu importe où ces filles vont, si les cherchent des nouvelles d'OldMister, je dois aller là bas, moi aussi.La question, c'est comment.

Les livres m’ont montré que tous les pères ne comprenaient pas leurs filles ou qu’ils n’essayaient même pas, mais qu’on peut s’en sortir malgré ça. Les livres m’ont fait me sentir belle quand je ne l’étais pas. Capable lorsque je ne pouvais pas l’être.
Les livres ont forgé mon identité. 

« Eh bien, d'abord, parce que j'aimerais savoir ce que vous vous pensez. Ce qu'il y a de formidable, avec la littérature, c'est que c'est subjectif. Aucun lecteur ne lit exactement le même livre qu'un autre car chacun voit le monde à travers ses yeux et filtre l'histoire à travers différentes expériences personnelles.»

Un engoulevent crie dans la nuit. C'est de mauvais augure. Trois cris signifient que la mort va croiser votre chemin.

Je me demande comment nous pouvons envoyer un homme sur la Lune, faire voler des navettes dans l’espace, expédier des sondes sur Mars, et pourtant être incapables de comprendre le coeur humain, de réparer ce qui ne va pas. Comment les choses peuvent encore être ainsi ?

C'est triste quand les histoires meurent parce qu'il y a personne pour les écouter. p.89

Je me demande comment nous pouvons envoyer un homme sur la Lune, faire voler des navettes dans l'espace, expédier des sondes sur Mars, et pourtant être incapables de comprendre le coeur humain, de réparer ce qui ne va pas.

Ce qu'il y a de formidable, avec la littérature, c'est que c'est subjectif. Aucun lecteur ne lit exactement le même livre qu'un autre car chacun voit le monde à travers ses yeux et filtre l'histoire à travers differentes expériences personnelles.

p. 41

C’est triste quand les histoires meurent parce qu’il n’y a personne pour les écouter.

Les livres ont forgé mon identité. C'est ce que je veux pour mes élèves. Pour ces visages solitaires et vides, ces bouches sans sourire, ses yeux maussades et découragés qui me regardent depuis leurs bureaux, jour après jour.