Il ne renonce pas. Que les dieux l'emportent, pourquoi ne renonce-t-il pas ? N'ai-je pas été assez claire ? Que faut-il pour qu'il comprenne qu'il est mieux sans moi ? C'est un prince, je suis une Sang-coeur ! Le monde entier lui tend les bras ; moi, il ne me reste que des regrets.
– Je suis toi, dit-il. Nous chantons ensemble et nos larmes sont les mêmes. Mon sang est le tien. C'est un jamais-adieu.
Pour toujours comme dans la terre-foyer ? Pour toujours comme les lunes dans nos rêves ?
Pour une fois, Madame, je vous le demande : soyez aussi généreuse envers vous que vous l'êtes envers tout le monde.
Les branches appellent dans la nuit ceux qui écoutent dans leur sommeil.