Je la regardai forcer, m'engueuler, s'écorcher les genoux sur les cailloux de la cour. Si un chien ne possède rien, moi je l'avais elle. Et j'étais capable de mordre quiconque voudrait l'approcher. Je venais de le prouver.
Elle me manque. Tout me manque. Sa peau sous mes doigts, le contacts des siens sur moi, l’odeur de son corps, de sa bouche. J’entends toujours sa voix, jour et nuit.