La 5e vague, tome 3 : La dernière étoile

– Ce n'est pas le temps qui compte, Evan, je lui rappelle, mais ce que nous en faisons.

-Sans confiance, il n'y a pas de fraternité. Et sans fraternité, pas de progrès. L'histoire s'arrête. (...) La réponse au problème humain est ce qui nous rend humains.

Elle était l’Ephémère, ici aujourd’hui, disparue demain. Elle était la dernière étoile, brillant avec passion dans un mer d’un noir infini.

La vie est un cercle lié par la peur. La peur du prédateur. La peur de la proie. Sans peur, la vie elle-même n’existerait pas.

Bordel. Ma vie après la mort est aussi déprimante que celle d'avant.

-Sans confiance, il n'y a pas de fraternité. Et sans fraternité, pas de progrès. L'histoire s'arrête.

Nous sommes l'humanité. Notre nom est Cassiopée.
En nous, la rage, le chagrin, la peur.
En nous, la foi, l'espoir, l'amour.

"_Elle a peut-être raison : il se peut que l'amour soit une singularité, le mystère inexplicable, ingouvernable, ineffable, impossible à prédire ou à contrôler, le virus qui a planté un programme élaboré par des êtres à côté desquels nous ne sommes pas plus évolués que des cafards."

Ma vie n'est qu'un catalogue de choses non faites et qui ne le seront jamais.

Mon visage entre ses mains, les miennes sur ses hanches. Son front contre le mien, les étoiles au-dessus de nous, la Terre en dessous, et le temps qui s'écoule, qui s'écoule