Barakamon, tome 8

On dit que la vie d'un mort influe sur la météo du jour de son enterrement...
alors il y aura forcément du soleil !

- Pourquoi ont peut pas sécher les cours quand il y a un décès ?!
- Je sais pas ! Parce qu'une fois que quelqu'un est mort, on peut plus rien y faire ?!
- Ce que tu peux être insensible !
- Qu'est-ce que tu veux que je te dise ?!

- Bien que je n'aie fait que vous croiser... Je pense qu'à travers les autres habitants du village, je vais continuer à apprendre à mieux vous connaître... Je vous dis donc, à très bientôt...

- Un étranger est parfois plus proche de quelqu'un que sa propre famille... Il arrive que les liens du cœur surpassent ceux du sang !
Demain, pensez à Mamie Kyo comme à un membre de votre famille... Comme ça, vous deviendrez un habitant du village à part entière.
Il faut travailler dur... pour renforcer les liens...

- Votre pied va mieux ?
- Oui, sauf qu'il est plus grand qu'avant !
- C'est impossible, voyons...

- Je suis en train de réfléchir à un moyen d'emporter plus de fric que le maximum autorisé !
- Arrête, on dirait une contrebandière !

*Les trois débilos font de la pâtisserie* !

Seishû: Et ça ne te rend pas triste de te dire que tu ne vas plus voir Mamie Kiyo?
Naru: Si, mais... elle préférait voir les gens sourire!

La femme du chef: T'entres pas?
Iku: Non, non! ça me fait trop rire quand j'entends un moine réciter des sutras!
Seishû: Bonjour l'âge mental!

Seishû: Tu veux que je te cure les oreilles? Espèce d'enfant gâtée! Je n'ai jamais curé les oreilles de qui que ce soit... tu mets ton ouïe en jeu! Je te trouve bien téméraire!
Naru: Aah!! Qu'est-ce que tu fais?!