Bonsoir,
Nous plongeons ce soir dans le monde de la littérature puisque je vous parle
De Lamartine, au travers du livre «
Au moins le souvenir » de
Sylvie Yvert aux éditions Héloise d'Ormesson que je remercie. Nous découvrons la vie
De Lamartine aux travers des yeux et de la voix de sa femme Marianne. Une femme remarquable, pleine de talent et d'amour pour son époux qu'elle a suivi dans ses multiples périples. On découvre un Lamartine particulier, dans toutes les fonctions qu'il a exercé, dans une ambassade, en tant que député, écrivain…. Passionnant et enrichissant à ce point de vue mais que pour ma part j'ai trouvé un peu lent. Mais si vous voulez en savoir plus sur l'histoire de cet homme, n'hésitez pas.
Quatrième de couv. Qui se souvient
De Lamartine ? Qu'il a été candidat à la première élection présidentielle française ? Qu'on lui doit le suffrage universel, l'abolition de la peine de mort en politique, la seconde abolition de l'esclavage, la conservation du drapeau tricolore et tant d'autres choses encore ? À la parution des Misérables, en 1862, Marianne de Lamartine, la discrète épouse du poète, qui a parfois tenu la plume pour lui, décide de prendre la parole pour défendre l'action de son mari résolu à se taire à tout jamais. Car, pour avoir récusé les Rouges comme les Royalistes, le candidat malheureux a pu mesurer combien nul n'est prophète en son pays.
À la manière d'une feuilletoniste, Marianne de Lamartine nous raconte la vie du plus méconnu de nos hommes illustres, poète éclatant des Méditations de 1820 mais aussi historien et homme d'État. On croise les écrivains engagés de l'époque, au premier rang desquels
Victor Hugo. Tous ou presque vont d'abord s'enthousiasmer pour cette révolution pacifique où semble enfin poindre la lumière, lumière qui dura ce que dure le printemps des peuples...
Après son best-seller
Mousseline la Sérieuse (prix littéraire des Princes et prix du Cercle de l'Union) et du très remarqué
Une année folle (prix
Napoléon Ier),
Sylvie Yvert poursuit le roman vrai de notre histoire en retraçant la destinée d'une figure politique et littéraire qui se confond avec le génie français.