Citations sur Les Rougon-Macquart, tome 1 : La fortune des Rougon (460)
(...); il devinait l'impuissance des légitimistes et des orléanistes, sans distinguer avec netteté quel serait le troisième larron qui viendrait voler la République. A tout hasard, il s'était mis du côté des vainqueurs.
A cette époque, il s'occupait beaucoup d'histoire naturelle comparée, ramenant à la race humaine les observations qu'il lui était permis de faire sur la façon dont l'hérédité se comporte chez les animaux.
Ce fut un naïf, un naïf sublime, resté sur le seuil du temple, à genoux devant des cierges qu'il prenait de loin pour des étoiles.
Touchante agonie de ce cœur qui avait vécu dans les désirs les plus âpres et qui se mourait dans l'affection d'un enfant.
Demeurer chez les autres, en province, est un aveu de pauvreté.
"Ah! Les chers réactionnaires! reprit à voix basse M. D
de Carnavant. Vois-tu, petite, le grand art en politique consiste à avoir deux bons yeux, quand les autres sont aveugles. Tu as toutes les belles cartes dans ton jeu.