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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est le deuxième album de l'après Goscinny. Lucky Luke doit escorter deux bricoleurs de génie pour promouvoir leur nouvelle invention dans les villes du Far West, il s'agit de la première machine à sous. On va passer de ville en ville, avec de nombreuses péripéties. L'histoire est très classique, respectueuse du style de René Goscinny, mais sans grande originalité. Bob de Groot est au scénario (Robin Desbois, Léonard). Il y a quelques bonnes idées, comme l'usage de la caricature de Louis de Funès, mais cela manque de rythme et l'humour n'atteint pas des sommets. Sans atteindre la chute vertigineuse de la série Astérix avec le passage entre Astérix chez les Belge et le grand fossé, le bandit manchot reste un album assez moyen, pas déplaisant mais loin des meilleurs Lucky Luke.
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Morris ne voulait pas que Goscinny, son scénariste, fasse dans le même registre qu'Astérix au niveau des calembours, mais il a permis à de Groot de faire dans le même registre de gags que ceux de la série « Léonard » !!

Parce que du début à la fin, j'ai eu l'impression d'être avec l'inventeur Léonard qui en fait voir de toutes les couleurs à son pauvre disciple, vu les gags proposés.

Soit c'était des inventions loufoques et burlesques, dignes de Léonard, soit c'était Jolly Jumper qui chevauchait Lucky Luke, soit Louis de Funès (le Boss) qui chevauchait son imbécile de bras gauche, Double Six.

Cet album que je n'ai pas apprécié plus que ça, s'inspire de deux personnages bien réels que furent Adolphe et Arthur Caille, ces deux frères bricoleurs de génie avaient 26 et 21 ans quand ils montèrent leur première société, en 1888. Ils inventèrent, entre autre, de superbes machines à sous dont la « black cat ».

La première partie de l'album possède quelques gags drôles avec la mère des deux inventeurs qui ne supporte pas d'entendre un juron et que la présentation du bandit manchot (la machine à sous) dans les saloons des différentes villes traversées, dont la mention spéciale revient à la ville de Poker Gulch.

MAIS, une fois l'arrivée des deux méchants dont le Boss est la caricature de du Funès, on sombre lamentablement dans le n'importe quoi, ça devient ennuyeux, l'humour vire à l'absurde non drôle et on à l'horrible impression que le scénariste est parti en vacances ou qu'il laisse l'album se terminer tout seul.

Un album en demi-teinte, qui commençait pas trop mal, même avec cette impression d'être dans un album de Léonard, mais à la moitié, par en eau de boudin, se récupérant juste sur les dernières cases.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Je suis toujours autant surpris à la lecture d'un Lucky Luke comment les auteurs arrivent à se renouveler sans cesse malgré le nombre impressionnant d'albums de la série. Dans le bandit manchot, le scénariste est Bob de Groot remplace Goscinny, décédé quelques années plus tôt.

En plus de regorgés de gags toujours aussi hilarants, il faut noter le premier vrai dialogue entre Lucky Luke et Jolly Jumper. le cheval, après avoir triché au dés, se retrouve sur le dos du cow-boy solitaire suite à un pari stupide. Et d'ailleurs, dans cet album, tout est sujet à un pari. Les frères Caille, passionnés de mécanique, invente une machine à sous et vont sur les routes, escortés de Lucky Luke, pour promouvoir leur invention.

Toujours aussi bon tireur, le cow-boy est susceptible et s'emporte pour un rien. A noter, tout de même, la présence de la caricature de Louis de Funès dans la deuxième moitié de l'album.

Le bandit manchot, qui désigne justement les machines à sous, est le quarante neuvième album de la série, avec un scénariste différent de Goscinny, mais qui malgré tout, ne décevra pas les amoureux du maigre héros qui tire plus vite que son ombre.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
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Bob de Groot signe, en collaboration avec Morris , son premier album de Lucky Luke. le moins que l'on puisse dire, c'est que malheureusement le scénariste de Léonard n'a pas pris la mesure du personnage éponyme de la série.
A la lecture de cette aventure, j'ai eu l'impression de lire un album hybride, mélange halluciné de deux univers très différents. Les gags font penser à des situations Léonard/disciple ( lorsque la caricature de de Funès saute sur son acolyte), l'humour absurde est utilisé à foison, et nous assistons à l'apparition dans l'univers du cowboy de machines incroyables...
Heureusement, Morris nous offre un dessin toujours soigné, clair et aux cadrages toujours agréables. Hormis ce problème de nez, qui visiblement à perturbé le dessinateur.
Bref, une déception qui nous amène à espérer que cet album ne signera pas la perte d'identité du légendaire cowboy.
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Malgré des efforts pour "coller" à l'histoire, on ne peut pas dire que l'on soit en présence d'un grand Lucky Luke. D'ailleurs le personnage de Lucky Luke dans cet album est particulièrement prétentieux. Pourquoi en faire des tonnes ? L'histoire est poussive, on sent le manque d'inspiration, c'est peut-être la raison. Quand elle semble enfin décoller, oups !, on arrive aux dernières pages. Pourtant cela avait bien commencé avec la description du fonctionnement du , soit-disant, premier exemplaire et le gag de l'attrait addictif exercé par cette machine.
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