Codex 632 : Le secret de Christophe Colomb

Après avoir lu les autres volumes de Rodrigues dos Santos, je ne peux qu'être déçu de ce volume.

L'auteur se lance à l'assaut du mythe Christophe Colomb. Mythe car comme souvent pour ce genre de personnage, les données historiques manquent quant à l'avant évènement. Qui est Christophe Colomb ? D'où vient-il ? Est-il génois comme il l'affirme ou vient-il d'une autre province voire d'un autre pays ? Comment a-t-il pu obtenir l'oreille attentive de la reine d'Espagne ? Bref, beaucoup de questions et peu de réponses.
Rodrigues dos Santos lance donc son héros récurrent - sorte de détective littéraire- à la poursuite du mythe. Tomas Noronha s'attachera à éclairer les différents aspects de la personnalité du navigateur : religieux, politique, culturel... le roman est intéressant, mais.
Il s'agit des premières aventures du héros et cela se sent. le style est brouillon et par moments on se perd dans l'intrigue. A trop vouloir bien faire, l'auteur en fait des tonnes et ça coince. Complot templier, Kabbale, mafia, trop d'ingrédients pour tenter de faire monter une sauce qui ne prend pas et nous laisse un goût amer dans la bouche.
La relation de Tomas avec sa femme et sa fille n'apporte rien au livre, quid de l'intérêt du personnage de Lena ? C'est un peu stéréotypé.

Pour ceux qui n'ont lu que ce tome, je vous conseille de lire les suivants qui sont beaucoup mieux. Quant aux autres lecteurs et fans de Dos Santos, lisez ce volume d'un oeil détaché en gardant à l'esprit que c'est une oeuvre de jeunesse.

Lectrices, lecteurs, bonjour !
📗📘📙

#lectureterminée : "Codex 632 : le secret de Christophe Colomb", de l'auteur portugais 🇵🇹 JR Dos Santos.

Un vieil historien meurt mystérieusement dans sa chambre d'hôtel à Rio, tout juste après avoir découvert un fabuleux secret qui changera à tout jamais L Histoire telle que nous la connaissons… Mais, pas de bol, il avait tout caché et tout crypté ! La Fondation qui l'employait recrute donc Tomas Noronha, un historien-cryptanalyste portugais, pour tenter de faire la lumière sur cette affaire.

Et c'est ainsi que naît ce personnage, héros d'une suite de romans d'aventures cryptiques, sorte de Robert Langdon portugais. Parce qu'il nous faut préciser ici une chose importante : ce 4ème tome, qui passerait pour un prequel chez nous, est en réalité le premier dans sa parution originale.

Ce qui explique peut-être cette impression de non-abouti, comme une nouvelle que l'on aurait étirée pour en faire un roman, dans lequel le héros brasse de l'air à tout-va, allant jusqu'à Jérusalem rencontrer un rabbin israélien qui informera notre professeur-historien portugais de l'existence d'un fait historique du Portugal… connu de tous les Portugais, ou à Rio, où il pourra récupérer… une pile de photocopies. le reste du temps, nous le passons avec lui sur un banc à discuter de l'Histoire des Grandes Découvertes et des principes de bases de la cryptanalyse, et à louvoyer dans sa vie privée, entre sa fille malade et sa maîtresse stéréotypée.

Il reste tout de même, et heureusement, l'exposition d'une hypothèse controversée sur les origines de Christophe Colomb, assez bien amenée pour la faire paraître plus crédible que la thèse officielle.

Bref, après la déception de "La Clé de Salomon", je préfère rester sur le souvenir de "La Formule de Dieu" et de "L'Ultime Secret du Christ", pour moi les deux réussites de l'auteur, ainsi que de la saga.

-Edouard Jhil-
"Lisez ce que vous voulez, mais lisez !"

Bon, il faut regarder la réalité en face : j'ai abandonné ce roman.
Je n'aime pas cela, je suis pugnace, et je donne toujours beaucoup de chances aux livres, mais là...

Comme j'avais adoré La formule de Dieu du même auteur, j'ai eu envie de lire tout le cycle, en commençant par le premier tome évidemment.

En réalité, c'est la deuxième fois que je tente de lire Codex 632 le secret de Christophe Colomb… et le pire, c'est que ce roman souffre tellement de son principal défaut, (que je qualifierais de lourdeur encyclopédique), que je ne me souvenais même plus que j'avais déjà essayé de le lire auparavant…
Je n'avais pas vraiment de souvenir de la première fois, mais au fur et à mesure que l'histoire se déroulait devant moi cette seconde fois, cela me confirmait que, oui, je l'avais déjà lue… tout du moins jusqu'à un certain point où j'avais déjà abandonné.
Il faut dire que cette histoire, bien qu'elle paraisse érudite, est tout de même beaucoup plus lourde et beaucoup moins intéressante que La formule de Dieu.

Elle est essentiellement basée sur l'étude UNIVERSITAIRE de la falsification de documents historiques et biographiques… pas quelque chose qui me passionne particulièrement, bien que j'aie adoré Les falsificateurs d'Antoine BELLO, qui est plutôt une aventure, presque celle d'escroqueries politiques.
En plus dans Codex 632, tout cela est exposé de manière assez lourde, qui plus est on a souvent l'impression d'être un simple spectateur d'un cours magistral, d'un monologue… ça fait vraiment étalage de connaissances…

Le jeu de piste littéraire est parfois tout de même agréable, mais les monologues académiques qui en plus sont souvent des digressions, rendent le roman absolument indigeste… c'est dommage.
Le passage kabbalistique à Jérusalem est tout de même un peu plus intéressant.

Si, en plus de tous les détours et tous les non-dits, on ajoute à cela une histoire à l'eau de rose complètement dissociée, on sature.

En forçant au maximum, et en m'y prenant en plusieurs fois, j'ai tout de même réussi à en lire les 2/3, espérant toujours que cela s'améliorerait au fil des pages, et qu'on allait rentrer dans le vif du sujet, mais c'est vraiment imbuvable, désolé. Et pourtant, j'avais l'impression que l'intrigue devenait enfin intéressante, mais quel enlisement !

Bon, on va dire qu'en fait c'est le premier de la série, et que cela va s'améliorer au fil des tomes.
On verra peut-être cela plus tard, en attendant j'ai commencé des vraies pépites de ma PAL et je n'en apprécie que plus le plaisir qu'elles me procurent !

Bof. Son chapitre XVII à Jérusalem…pénible, on s'écarte un peu trop.

Pourtant, le mystère des origines de Christophe Colomb est une énigme, un départ des plus intrigants.

Vous voyagerez du Brésil, par le Portugal (nationalité de l'auteur), New York (É-U), Espagne, Gênes et Londres.

Enfin terminé! Un titre et une quatrième de couverture qui annoncent un bon moment pour quiconque aime ce genre d'histoire et c'est mon cas. Mais certains passages sont confus et m'ont perdu, ce qui a rendu la lecture parfois compliquée.
L'intrigue avance lentement et a toujours le même schéma.
Je ne suis pas sûre de lire un autre livre de cet auteur.

Christophe Colomb, nous le connaissons à travers nos cours d'histoire comme étant la personne qui a découvert "officiellement" les Amériques. On se rappelle ce visage joufflu et plat présentés dans nos


livres, mais jamais nous n'avons abordé le sujet de ses origines.
Pour ceux qui ont bonne mémoire, vous vous rappellerez sûrement qu'il était Italien, a migré au Portugal pour finir en Espagne où il embarqua au bord de la Santa Maria escortée par la Pinta et la Miña. Et je trouve que c'est déjà pas mal.
Mais ce qu'oublient de nous raconter nos professeurs d'histoire, c'est qu'en réalité, Christophe Colomb fut un personnage mystérieux et qu'il a entretenu l'énigme de ses origines jusqu'à aujourd'hui.

J.R. Dos Santos présente une version contemporaine de qui a pu être ce personnage historique qui a révolutionné notre monde. Même si l'explication est totalement crédible, que l'auteur a du se documenter d'une façon que je n'arrive pas à imaginer, j'ai trouvé que la narration était d'une longueur pouvant rebuter ma lecture. Je me suis donc accrochée pour lire ces interminables tirades sur les indices découverts dans les textes originels. A défaut d'actions, vous trouverez ici des échanges, certes constructifs, mais souvent soporifiques pour le néophyte dans mon genre. J'en attendait un livre dans la lignée du Da Vinci Code, et je me suis retrouvée avec des personnes attablées dans une bibliothèque obscure et poussiéreuse pour parler avec enthousiasme d'un sujet qui me dépasse complétement.

de plus, j'assume le fait d'être chauvine et j'ai été scandalisée que l'auteur rapporte que la baie de Rio a été découverte par les portugais alors que chacun d'entre nous, savons que ce sont les français (merci Rouge Brésil), alors à partir de cet instant, j'y ai surement moins cru a son raisonnement...

Quand à Foucault, mais qu'elle évidence !!! L'auteur a au moins eu le mérite d'en plus me rappeler mes cours d'histoire, m'a rappeler mes cours de physique avec ce pendule et les forces exercées. Ah la la, la bonne époque ...

Donc, à défaut de plonger dans L Histoire, j'ai au moins replongé dans mon histoire.

Lien : https://exulire.blogspot.fr/..

Le seul JR Dos Santos qui m'ai déçu. Malheureusement, une grande partie du livre traite de la vrai nationalité de christophe Collomb, du coup cela devient vite ennuyeux.

Premier livre que je lis de cet auteur, don't on m'avait venté les mérites.
Les premières lignes du livre ont éveillée mon attention. Après cent pages mon attention c'est éteinte. Les recherches effectuées par l'auteur, les documents consultés et les conclusions qu'il en tire sont certes intéressantes d'un point de vue historique.
Mais d'un point de vue littéraire, c'est d'un ennui monster. Et de suspense, il n'y en a pas.

c'est le deuxième que j'ai lu de cet auteur..le premier c'était Furie divine que j'ai vraiment apprécié. cependant celui-là était trop baigné dans des détails historiques qui ennuient le lecteur surtout à propos des origines de Christophe Colomb et de son nom. Moi qui suis un passionné de l'époque des grandes découvertes j'ai failli à plusieurs reprises abandonné le livre. Bref, j'ai d'autres livres de José Rodrigue dos Santos, La clé Salomon, la Formule de dieu, ... J'espère qu'avec eux j'aurai pas la même déception

Autant j'ai ADORE la "formule de Dieu" autant j'ai trouvé ce livre profondément ennuyeux. L'auteur se perd dans une foule de détails pour une intrigue qui ne nous tient guère en haleine ( un euphémisme ). Que la nationalité de Colomb soit génoise ou portugaise... qui cela intéresse-t-il réellement...Dos Santos passe à côté de ce roman.