Correspondance générale, tome 2

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Ici, les habitations sont très écartées, entre des chênes d’une couleur bronze superbe. Dans la mousse, des tons d’or vert ; sur le sol, des gris rougeâtres, bleuâtres, des gris lilas foncé, jaunâtres, des tons d’une pureté indicible parmi le vert des champs de blé : noirs sur les troncs mouillés qui se détachaient sur la pluie d’or des feuilles d’automne, tournoyantes, fourmillantes, pareilles à des perruques détachées, emportées par le vent, à travers lesquelles on voit le ciel, ou encore attachées à des peupliers, à des bouleaux, à des tilleuls, à des pommiers.

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