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Dernières critiques
Artemis Fowl, tome 8 : Le dernier gardien

Me voilà arrivée au bout de cette saga absolument phénoménale ! Avec les mêmes ingrédients, toujours plus aboutis, plus drôles, plus matures, Eoin Colfer délivre un conte de fées, un roman d'aventures, une histoire digne d'un James Bond avec deux mots d'ordre : faisons équipe et écoutons la Nature ! Ce huitième tome est une magnifique clôture, la boucle est bouclée, retour aux origines au Manoir mais aussi véritable renaissance jusqu'aux dernières lignes. L'équipe est toujours la même, au grand complet, chacun son rôle, chacun ses répliques cultes, chacun son chapitre de gloire. La grande méchante est toujours la même avec son caractère désopilant et mégalo. J'ai adoré, je relirai avec un immense plaisir enfantin et je tâcherai de garder sur le monde un regard féerique.
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Artemis Fowl, tome 2 : Mission polaire

Artemis Fowl part en Mission polaire dans ce deuxième tome de la saga éponyme. Quand un email lui apprend que son père est toujours vivant, aux mains de la mafiya russe, il met aussitôt sur pied une opération de sauvetage. Son projet est cependant contrarié par une intervention des FAR, convaincus qu’il est à l’origine d’un nouveau complot contre le Peuple.



Je ne sais pas si j’ai plus ou moins apprécié ce roman que le précédent. Je dirais qu’il m’a davantage plu à certains égards, et déçue à d’autres. Notamment en ce qui concerne Artemis. J’aimais son caractère implacable, pragmatique et surtout froid. Très froid. Or, dans ce tome, il évolue et exprime beaucoup de sentiments en peu de temps. Trop à mon goût.



Ses regrets pour ses actions passées, sa manière grandissante de se soucier d’autrui… Autant de facettes qui le rendent plus humain, mais qui estompent ce qui le distinguait tant des autres héros de littérature jeunesse. Oui, héros, car en l’espace d’un livre, il perd quasiment le préfixe d’anti.



Paradoxalement, j’ai trouvé l’équipe qu’il est amené à former avec Butler, Holly et Julius assez sympathique. Leur quatuor possède une bonne dynamique, grâce à laquelle les deux FAR m’ont laissée moins indifférente que dans le premier volume.



Je ne peux hélas pas en dire autant du Peuple. En plus d’être hermétique à ses représentants, je n’arrive pas du tout à me projeter dans leur univers souterrain. Tout ce que je retiens d’eux, c’est qu’ils ont une technologie très avancée, probablement parce que rien d’autre ou presque n’est développé.



La population civile, les us et coutumes, la ville au-delà des laboratoires Koboï ou du centre de police… On en ignore tout. Ils ne sont jamais mis en scène, l’auteur se contente de nous brinquebaler (littéralement) via des cheminées magmatiques du centre à la surface de la Terre, ou de l’Irlande au fin fond de la Russie.



Difficile, par conséquent, de s’attacher à ces créatures féériques, ainsi qu’aux malheurs et aux ennuis qui les touchent. Ennuis qui seront résolus à la va-vite dans les dernières pages, avant qu’on reparte dans le grand nord expédier de la même manière la quête d’Artemis.



Je n’accroche tout simplement pas à cette saga. Elle contient quelques éléments intéressants, et même des passages assez sombres, mais ce n’est pas suffisant pour me plaire. Il me reste encore un tome dans ma PAL, après quoi je laisserai sans regret Artemis Fowl et le Peuple derrière moi.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Artemis Fowl, tome 1

Prenez les plus grands mathématiciens, les plus grands ingénieurs, cela ne suffira pas à détrôner Arthémis Fowl. Un garçon tout à fait normal de 12 ans ? Non pas du tout car, pour arriver à découvrir que les fées existent, il faut du savoir et du courage, mais il en en faudrait encore plus pour oser demander leur bien le plus précieux : leur or !!! Embarquez dans le monde des FAR, explorez la vie cachée de la terre, mais attention à ne pas trop vous approcher de la demeure des Fowl… Vous risquerez d'être piégé avant même d'avoir franchi le seuil de la porte.

Marvin





Ce livre est incroyable ! Artémis fowl, un jeune garçon de 12 ans, et Butler son garde du corps découvrent que les fées existe. Artémis passe des mois a déchiffre leur texte ,quand il arrive enfin a le déchiffrer et il décide de capture un fées pour son or .la chance ne souris pas a Holly qui après une mission qui a failli mal tourner doit faire le plein de magie mais Butler et Artémis l'attendaient, et ils demandent une rançon en échange de sa libération. Ce livre est un peu dur à comprendre mais vraiment exceptionnel car Artémis est très intelligent, ce livre n'est jamais ennuyeux.

Timeo





C’est l’histoire d’Artémis Fowl, un jeune garçon âgé de douze ans accompagné de son fidèle serviteur Butler. Il était à la recherche de fées car elles possédaient beaucoup d’or et Artémis en avait besoin pour restaurait la fortune des Fowl. Ce jour arriva enfin. Après de nombreuses recherches, il tomba nez à nez avec une fée alcoolique. A force de boire de l’alcool, ses pouvoir s’étaient affaiblies. Désormais elle ne pouvait soigner que les petites blessures. Artémis était venu chercher le livre de fée pour en savoir le contenu. La langue n’était pas la même que nous. C’était un alphabet différent car il fallait les lire en diagonale. Elle était dérivée de la langue égyptienne mais n’était pas exactement ça. Il finit par le déchiffrer. Dedans, contenait toutes les informations sur les fées, en plus de l’explication de leur pouvoir.

Passons maintenant à Holly (c’est une elfe).

Holly Short est le premier membre des FARfadet en tant que fille. Root le commandant lui crié tout le temps dessus car il avait sous prétexte que Holly était une fille. Depuis la mission à Hambourg, le commandant voulu mettre Holly à la circulation mais un imprévu apparu : un appel du conseil avertit qu’un troll avait réussi à aller à la surface en direction des êtres de la boue (les humains). Root accorda une dernière chance à Holly de se rattraper. Elle avait pour ordre de ne pas intervenir mais le troll avait déjà atteint les êtres de la boue donc et allait s’en prendre à eux mais Holly intervint à temps et réussi à le stopper. Mais, elle n’avait pas fait le plein de pouvoir donc elle devait se recharger. Il fallait prendre une graine d’un arbre et la planter mais quand elle y alla, elle se fit kidnapper.

C’était un livre plein d’actions et très intéressant car on ne s’est jamais ce qui va se passer et il y a plein de rebondissements.

Pauline



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Artemis Fowl, tome 1

Artemis Fowl est un jeune génie de douze ans, dont le père a disparu des années plus tôt, et dont la fortune familiale est sur le point de faire de même. Afin de renflouer ses caisses, le petit prodige a décidé de marcher dans les pas de ses aïeux en optant pour l’illégalité… à un tout autre niveau. En effet, c’est au Peuple, celui des êtres féériques, qu’Artemis a bien l’intention d’extorquer une tonne d’or, au sens propre.



J’avais beaucoup entendu parler de cette saga, et la perspective, ô combien originale en littérature jeunesse, de découvrir un anti-héros m’a convaincue de sauter le pas. Je dois dire que ça partait plutôt bien, à condition d’accepter le postulat de base un peu capillotracté (un garçonnet doté d’une intelligence et de moyens techniques plus ou moins illimités, ainsi que d’un redoutable serviteur dévoué corps et âme).



Je l’ai accepté, et j’ai donc fait connaissance avec ce Moriarty junior moderne (comme la comparaison ne manquera pas d’être établie dans le livre), qui ne m’a pas déçue. Il n’a ni scrupules ni honneur, et n’hésite pas à mettre des vies en péril, y compris celles de son entourage immédiat, pour parvenir à ses fins.



Si l’histoire s’était concentrée sur Artemis, j’aurais pu l’apprécier, je pense. Le problème, c’est qu’assez rapidement, on change de narrateur pour passer à Holly. Holly, une elfe issue du Peuple, qui fait partie des FARfadets. Et c’est là que mon enthousiasme a commencé à décliner.



Parce que je n’ai éprouvé aucune sympathie pour ces êtres fantastiques. Je dirais même que je les ai trouvés encore plus antipathiques qu’Artemis, qui est pourtant présenté d’entrée comme le méchant du récit.



Holly n’est pas vraiment détestable, mais je n’ai pas ressenti une once d’empathie pour elle, à aucun moment que ce soit ; l’attitude de son supérieur m’a plus d’une fois paru incohérente ; Foaly… apporte une touche d’humour appréciable, mais parfois trop lourde au regard de la pseudo-gravité de la situation ; et tous les autres m’ont donné envie de voir Artemis les plumer.



Que dire de ce Peuple, exactement ? Ce sont tous les êtres issus (ou en l’occurrence, qui ont donné naissance) à nos divers folklores, et qui passent leur temps à critiquer les humains, alias les Êtres de la Boue. Ce qui manque de crédibilité à la vue de leur mode de vie étonnamment semblable au nôtre.



Car oui, si ce n’est qu’ils résident sous terre, ils ont des centres villes encombrés, des administrations, des forces de l’ordre, de la criminalité, de la discrimination (j’ai passé l’intégralité du livre à imaginer Holly en lapin, tant son personnage ressemble à tous les égards à celui de Judy Hopps dans Zootopie), font des références à Sherlock Holmes… En somme, rien de neuf sous le soleil (ou plutôt sous la surface).



Pire, ce qu’ils reprochent à l’humanité, c’est son comportement vis-à-vis la nature, la pollution et les désastres environnementaux qu’elle provoque, sauf que leurs propres méthodes ne valent guère mieux. Ils sont eux-mêmes à la pointe de la technologie, utilisent (entre autres) de l’essence, et pour neutraliser un seul adversaire, ils n’ont aucune réticence à balancer une biobombe qui tuera des milliers, voire des millions, d’insectes et rongeurs. Ah, il est beau, leur sens de l’écologie !



Celui d’Artemis est non seulement plus marqué, mais aussi plus subtil. Dommage que le garçon n’apparaisse presque, au final, que comme un personnage secondaire de sa propre histoire. Voilà pourquoi je ne sais pas vraiment quoi penser de cette lecture. J’ai aimé Artemis, je n’ai pas du tout apprécié le Peuple.



J’ai encore deux tomes dans ma PAL. Je verrai ce qu’ils me réservent, et de quel côté ils font pencher la balance en ce qui concerne mon avis. Pour l’heure, je donne tout de même une note acceptable à ce roman, car au-delà de ma propre opinion, je n’oublie pas qu’il s’agit d’une œuvre jeunesse, et je pense qu’elle a tout ou presque pour satisfaire davantage le public qu’elle cible.
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Artemis Fowl, tome 7 : Le complexe d'Atlantis

Quelle imagination débordante, merci Eoin Colfer pour toute la joie que vous me procurez ! Je me suis embarquée avec enthousiasme pour cette nouvelle aventure d'Artemis Fowl, accompagné de toute sa clique d'habitués : Butler, Juliet, Mulch, Foaly, Number One et bien sûr ma préférée, la merveilleuse Holly. Cette septième aventure est aussi bien ficelée que les six précédentes. C'est un quasi huis clos qui se déroule sur deux jours max avec une intrigue unique et claire. Une vraie oeuvre sur le modèle théâtrale d'Aristote, unité de lieu, de temps, d'intrigue. C'est donc forcément très dense, chargé en rebondissements, l'action est haletante avec une belle infusion d'humour potache et pétillant. Et avec une incursion très intéressante dans le monde de la psychologie. Les regrets et la culpabilité auront-ils raison du grand Artemis Fowl ? C'est sans compter sur ses amis et sa famille. Ensemble ils tenteront de déjouer le fameux Atlantis Complex. Bref, encore une fois j'ai adoré, je signe pour le tome 8 !
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