Denji fait ce qu'il peut pour rembourser les dettes de son père. Y compris ventre un oeil, ou un autre organe. Cependant, ce qui rapporte le plus, c'est de chasser les démons. Malgré ses activités, il élève un petit démon scie qui l'assiste dans ces chasses.

Cependant un jour, le Yakuza à qui il doit de l'argent le donne en pature à un démon-zombie qui le met en pièce. Il est ramené à la vie, ayant le coeur d'un démon et la capacité de se transformer.



Un 1er volume dont la lecture a été concluante pour moi. J'ai aimé le personnage et l'humour et le graphisme. Je ne m'attendais pas à ce genre profils pour les personnages mais c'était intéressant.

Graphiquement c'était plutôt lisible et ça s'enchaine bien.



J'attends de voir la suite, si ça se renouvelle un peu.

Mais un bon ressenti !

Je suis encore toute chamboulée de ma lecture de ce tome 9. Que dire ? J’ai ris, beaucoup, mais les larmes n’étaient pas loin non plus. Tout ce que je peux dire c’est que j’ai largement préféré ce tome au précédent. J’aime beaucoup l’évolution de la relation entre denji et power, je les trouve vraiment attachants. A voir la suite, mais la fin est très prometteuse.

Fin du premier arc.



est-ce que j’ai été pris d’un enthousiasme débordant à chaque tome ? non pas du tout. Est-ce que j’ai trouvé l’histoire cool ? oui, assez. Est-ce que ça me poussera à lire des fanfics dessus ? Heh. En réalité, c’est à la fois le gros plus et le meh de cette série ; tout va très vite, autant au niveau des personnages que des intrigues que des évolutions. Là où habituellement on passe des tomes entiers sur un seul combat, à suivre les états d’âmes et pensées de chaque personnage un tant soi peu principal, dans Chainsaw Man on roule sur absolument tout ; l’espérance de vie des protagonistes, leur développement, les combats, l’intrigue, les dénouements, les grands méchants qui ont des combats de 4 pages avant de disparaître dans l’indifférence générale.



j’aime beaucoup la mangaka, ou plutôt je trouve qu’elle a une façon de raconter les histoires qui va à contrecourant du modèle shonen habituel ; c’est violent, rapide, sans concession et ce même dans ses OS et c’est ce qui me fait poursuivre, parce que le reste est… eh bien justement trop rapide, ça rend l’univers un peu brouillon et fait qu’on est assez peu concerné par ce qui s’y passe et les enjeux.

Je reprends cette série wtf en main et c'est toujours aussi barjo malgré les éléments des shonen bien classiques. Ça n'est pas addictif mais la série sort tellement du lot que pour le moment, je lui laisse sa chance et je veux voir comment Denji va évoluer au sein de "son équipe" de devil hunter avec son rêve de pelotage de nibards... Cette fois-ci, l'auteur décide de donner un axe à suivre avec une quête bien particulière (qui sent à plein nez le super-combat badass): combattre le démon-flingue. Comment va travailler Denji avec Power et le reste de la bande ?

Ce que j’ai aimé :



La dureté de l’histoire



La représentation des rapports de forces sociaux



L’habileté avec laquelle les mondes intérieurs sont représentés à travers le prisme des aspirations. Des mondes intérieurs façonnés ici pour le personnage principal à base de trauma, de sévices et de manque.



Le concept que ce qui donne du pouvoir aux choses c’est le sens que t’y mets derrière, exemple : une tronçonneuse ça fait flipper donc le monstre sera forcément plus impressionnant que si t’avais choisis une clé de 12.



Les monstres chelous mi-ridicule, mi-bizarre, mi-horrible (je suis une littéraire moi ^^, les fractions hein).



Et les trouvailles wtf du dessin du type le lanceur de tronçonneuse à la place du coeur.



Dans le dessin encore, les proportions wtf où clairement les monstres en sont aussi parce qu’ils ne collent pas avec les dimensions humaines.



Les sorties de cadre du dessin ! Pas très étonnant vu la vibe du manga !



Et enfin l’énergie du dessin qui s’exprime le mieux à travers les scènes d’actions.

Chainsaw man 14 de Tatsuki Fujimoto. 192 pages. Kazé-Crunchyroll (11/10/2023).

Asa Mikata tente de séduire Denji mais elle est super coincée. Elle veut le transformer en arme alors que le démon Famine l'avertie qu'elle commence à le vouloir pour de Vrai. D'ailleurs, peu de temps après, ils passent à leur première engueulade.

J'adore l'humour barjo et déjanté!

C'est absurde et Loufoque!! ;-) (Ça passe mieux avec les images).

L'auteur sait se réinventer comme dans les décors par exemple (Aquarium...). Ça nous change du Centre Ville!

C'est magique, c'est parlant, j'adore; c'est super drôle !!

Le Démon Domination il est à mourir de rire, aussi, avec tout ses chiens. (C'est redevenu une fillette). Elle s'appelle Nayuta et est la personne qui compte le plus pour Denji.

1992 power!! ;-)

(Car Fujimoto & moi sommes tout deux nés en 92!).

Phoenix

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Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg

Chainsaw man T.13 - Tatsuki Fujimoto - Cunchyroll - juillet 2023 - 177 pages...

Tatsuki Fujimoto déclare sa flamme pour la franchise "Evil dead" Vous connaissez? Je crois que c'est un jeu vidéo...

Je me rappelais plus trop du T.12 (amnésie, quoi ! lol!).

« Longtemps, j’ai pensée être prête à accueillir la mort… Mais aujourd’hui… Je suis heureuse de Lui avoir échappée… »

(page 3)

Denji est vraiment très "en chien" comme on dit... Mais genre, trop, quoi x-) ...

Yûko a passé un contrat Illégal avec le démon Justice, souhaitant marcher sur les traces de Chainsaw man (Denji).

Jolie double page.

Une approche tragi-comique du harcèlement scolaire.

"Uniforme lame" j'en peux plus :') ma dose de sexy!aha

(Autre double page magnifique voilà j'ai voulu la prendre en photo mais le rendu était bof! Avec la lumière et seulement deux mains!aha!)...

Au bon goût de bikini et sang de démon.

(Clique sur mon Lien ça me ferait plaisir!)

Phoenix

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Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg

Chainsaw Man c'est du vu et du revu.



On se retrouve avec Denji, endetté jusqu'au cou et très pauvre. C'est un gars qui rêve d'une vie "simple et honnête" : manger, travailler et vivre sa vie tranquillement sans soucis (bien sûr accompagné si possible d'une petite amie jolie).



Il lui arrive quelques problèmes et se retrouve à être au service des Devil Hunter de la sécurité publique. Et quelle chance pour lui d'être au service d'une jolie femme qui le traite comme un toutou ! Lui qui rêvait d'enlacer une femme et voilà que la dame de la sécurité l'enlace d'entrée de jeu et réalise son rêve.



Bref, il tombe amoureux d'elle mais se rend compte qu'elle n'est pas super super sympa. Pourtant cela ne l'arrête pas, Denji tente d'obtenir des infos sur elle auprès de ses "collègues".



Il en obtient peu de résultats mais ce pas grave puisqu'il a enfin la vie qu'il voulait : manger à sa faim, avoir un travail et côtoyer une jolie jeune femme. Puis on comprend que de toute façon il ne lâchera pas l'affaire.



Si ce T1 est sorti en 2019, on pourrait croire qu'il date de 2010-2015. Il est peu innovant, les personnages sont peu charismatiques, peu originales et peu attachants. C'est un shonen classique vu et revu avec un gros forcing sur les femmes et les seins. Car oui, après l'accolade, voilà qu'il rêve de toucher des seins, ce qui entraîne plusieurs pages de malaises : lui qui tombe sur des magazines pornos, lui qui mate les seins de ses collègues, lui qui accepte un défi qui lui permettra de toucher des seins, etc...

Avec ce dernier point on ressent clairement que ce manga vise un public masculin, je me suis même demandé si l'auteur n'avait pas lui même 15 piges tellement j'ai trouvé le tout grossier. Il banalise ce genre de pensées et c'est vraiment pas dingue. C'est OK d'avoir ce genre d'envies, mais de là à en faire un élément plutôt central du récit c'est BOF et ça réduit les 2 seules femmes à des pulsions personnelles.



Au final, bien que l'auteur tente quelques pages d'émotions, on se retrouve avec un personnage assez pitoyable dans un T1/shonen très très très moyen