Emportée dans ces aventures aux côtés de personnages qui deviennent familiers.

Des aller-retours entre fiction et réalité qui donnent à cette enquête un intérêt supplémentaire. Un divertissement facile à lire qui vaut bien une bonne mini-série policière.

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Ce livre clos la trilogie Ari Mackenzie, après « Le rasoir d’Ockam » et « Les cathédrales du vide ». Nous retrouvons cet enquêteur atypique aux prises avec un nouveau mystère.

Des meurtres sont commis en liaison avec un mystérieux alchimiste, Fulcanelli.

Comme toujours avec Henri Loevenbruck, le livre est très documenté mais j’ai trouvé que ce coté « documentaire » nuisait à l’intrigue policière. J’ai même lu certaines pages en diagonale.

Donc un troisième tome en demi-teinte et moins passionnant que les 2 premiers.

Des mystères, un manuscrit caché depuis le XIVe siècle, un alchimiste, des meurtres inexplicables,... Ce livre avait tout pour me plaire.



Eh bien, je l'ai arrêté après 150 pages. Ce n'est pas que ce livre soit mal écrit ou qu'il ne m'intéresse pas ou que sais-je encore? C'est simplement qu'il est trop compliqué pour moi. J'ai fini par m'y perdre complètement et j'ai préféré abandonner ma lecture. D'autres m'attendent...



Découverte d'une mystérieuse cathédrale au milieu de la jungle équatoriale et du manuscrit d'un célèbre alchimiste du XIVe siècle : Nicolas Flamel.



Une série de disparitions étranges fait sortir l'agent Ari Mackenzie, membre des Renseignements généraux, de l'isolement dans lequel il se complait depuis sa séparation avec la femme qu'il aime toujours... Le voilà confronté à une affaire dangereuse, la dernière peut-être, mais ça, je ne le saurai pas !



Dans ce roman, l'auteur fait référence à un autre roman : "Le rasoir d'Ockham", livre qu'il vaut mieux avoir lu avant de commencer celui-ci...



Je les lirai peut-être, tous les deux, plus tard...
Lien : http://phildes.canalblog.com..

A la fin du premier tome, nous avions laissé Ari Makenzie secoué par une enquête laissée en suspens, classée secret défense. Alors qu’il se morfond dans un bar devant un single malt, les événements vont le rattraper : des scientifiques disparaissent ou meurent, un agent du Sitcen vient l’aborder, son appartement ainsi que celui d’Iris et de Kryzstov sont cambriolés au même moment, l’affaire des carnets de Villard de Honnecourt refait surface… Fidèle au principe que la solution la plus simple est souvent la meilleure, Ari sent bien que tous ces faits sont liés et qu’il va devoir reprendre l’enquête là où il l’a laissée…



J’ai éprouvé un vif plaisir à retrouver Ari, son caractère bourru, son intelligence acérée et sa ténacité peu conventionnelle. Il est réellement séduisant, à de nombreux égards, avec son côté fragile qu’il tente de cacher par tous les moyens et sa volonté de fer. Côté intrigue, le lecteur est servi ! Elle est dense à souhait, malgré un début qui peut sembler un peu lent au démarrage. Il restait de nombreuses questions à la fin du roman précédent, « Le rasoir d’Ockham » et elles trouvent ici leurs réponses après une enquête aux multiples implications et aux nombreux rebondissements. C’est prenant, réellement !



Mais, maintenant que l’enquête est bel et bien arrivée à son terme, je me demande ce que le troisième volet des enquêtes d’Ari Makenzie nous réserve. Et comme je suis curieuse et que c’est un réel plaisir de s’immerger dans un récit écrit par Henri Loevenbruck, je me suis déjà plongée dedans !

Ari McKenzie est un policier des renseignements généraux au sein d’une cellule, dont il est l’unique agent, dédiée aux sectes.

L’ami de son père, Paul Cazo, l’appelle et lui demande de venir le voir sans plus tarder. Inquiet par le ton et l’impérativité de sa demande Ari file au domicile de Paul. Mais il est trop tard. Paul a été assassiné, son cerveau vidé.



D’autres meurtres avec le même mode opératoire vont suivre. Ari, pourtant pas réquisitionné sur l’affaire et même écarté du fait de sa relation avec l’une des victimes veut trouver coûte que coûte qui est derrière le meurtre de son ami et des autres victimes.

Rapidement, et grâce à un indice laissé par Paul, une page d’un manuscrit ancien, les recherches d’Ari se porte sur un certain Villard de Honnecourt. Un personnage du XIIIe siècle, surtout connu pour un carnet composé de croquis architecturaux, de machines et autres, qui ont traversé les âges et permis de connaître certaines techniques utilisé d’antan.



Dans Le Rasoir d’Ockham, Henri Loevenbruck nous romance une chasse aux trésors en lien avec un vieux carnet du XIIIe siècle. J’ai eu un peu de mal à me laisser prendre dans cette histoire où un groupuscule d’extrême droite et complotiste se passionne pour ces vieux parchemins qui détiendraient un secret peu crédible, dont aurait également raffolé les nazis.



C’est finalement sur la fin que je me suis laissé prendre au jeu, pour finalement… avoir le droit de lire la suite de cette trilogie. Que je ferai, et dont je suis quasi certain, maintenant que tout est posé, que je me laisserai embarquer avec plus de facilités.

Je connaissais le travail de fantasy de l'auteur et je découvre ici ses récits policiers. J'ai aimé l'intrigue autour du personnage de Fulcanelli, les biographies historiques, les théories sur l'identité réelle de l'auteur. J'ai apprécié cette plongée dans le milieu alchimique passé et présent et les personnages plutôt sympathiques. Pour une fois dans un livre policier la recherche du trésor l'emporte sur la recherche du meurtrier.

Un thriller à la "Da Vinci Code" : une secte, des énigmes, un secret à cacher pour éviter la fin du monde, des meurtres...

Même s'il est vrai qu'il y a des invraisemblances, j'aime ce type de thriller qui nous propose des énigmes traitant des loges telles que les compagnons de l'histoire.



Ari Mackenzie reçoit un appel étrange du meilleur ami de son père, lui demandant de venir immédiatement à Reims. Lorsqu'il arrive, celui-ci est mort, il a été sauvagement assassiné ! Ari, qui est spécialiste des sectes chez les RG, se retrouve en possession d'une page d'un manuscrit et il comprend rapidement que quelques pages sont protégées par des responsables de loges pour garder un grand secret qui pourrait bouleverser le monde s'il était révélé...

Pas le choix, il va devoir se creuser les méninges et faire vite s'il veut attraper cet assassin et retrouver les pages du manuscrit avant lui!



Henri Loevenbruck propose un thriller intéressant : les compagnons de l'histoire, les énigmes, les meurtres, ... Tous les ingrédients d'un page turner sont réunis. Et même s'il est vrai qu'il y a des invraisemblances - certaines critiques les ont très bien explicitées, je me suis laissée porter par l'action et l'intrigue.

Je déplore cependant la fin qui dévoilera... RIEN ! On reste sur notre faim justement ...



J'espère que le tome 2 sera une véritable suite et répondra à toutes les questions en suspens....