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Mafia Story, tome 8 : Don Vito 2/2

Dix-huitième et dernier (?) tome de l'histoire de la criminalité new-yorkaise vue par le duo Chauvel-Le Saëc, ce "Don Vito 2/2" est, à mon avis, raté. Et toujours pour la même raison avec cette série : les graphismes. Les personnages principaux (Vito Genovese, Frank Costello...) sont tout simplement difficiles à reconnaître d'une case à l'autre, d'une planche à l'autre. Heureusement qu'un cahier de notes en fin de volume permet de décrypter l'album planche par planche.... Le plus incroyable est que la note de la page 8 commence par "Les habitués de la série [...] reconnaîtront quelques visages familiers parmi les hommes présents à cette réunion" !! Ben non, j'ai lu les dix-huit albums et je n'ai reconnu personne parce qu'il aurait peut-être fallu les dessiner correctement.



Sinon, ce volume biographique retrace les raisons de la chute de Vito Genovese alors qu'un boulevard s'ouvrait devant ses pas avec l'exil de Lucky Luciano. Il était à deux doigts d'obtenir le titre de capo de tutti capi quand tout a déraillé...
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Mafia Story, Tome 7 : Don Vito 1/2

Les auteurs continuent leur histoire de la mafia new-yorkaise, et s'attellent maintenant à la biographie de Vito Genovese. Si les autres mafieux ne sont pas des enfants de choeur, lui est celui qui a fait son beurre avec le narcotrafic et cela depuis tout jeune. En plus, alors que tous les autres sont des Siciliens, lui est un Napolitain.

On suit également le devenir de Lucky Luciano. A la fin de l'album précédent, il avait écopé d'une peine de prison tellement longue que cela en faisait une peine de prison à perpétuité. Mais les événements vont lui être tellement favorables qu'il va très vite se retrouver libre.

Va alors s'engager une lutte à mort entre lui et Vito Genovese pour obtenir le titre de capo di tutti capi....



C'est, pour moi, peut-être l'album le plus intéressant et le plus dynamique scénaristiquement de toute la série (j'englobe également les dix tomes de "Ce qui est à nous"), malgré l'éternel problème des visages changeants des personnages principaux. Par exemple, je ne sais pas avec certitude qui sont les deux hommes représentés sur la couverture ; je pense que l'un est Genovese et l'autre Luciano, d'après le contenu de l'album, mais comme aucun des deux ne ressemble ni aux personnages dessinés ni aux aux photos des vrais mafieux...
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Mafia Story, Tome 6 : La chute de Lucky Luc..

Ce sixième album est celui du procès de Lucky Luciano, le grand chef de la mafia new-yorkaise de l'entre-deux-guerres, et dont les dix tomes de la série "Ce qui est à nous" décrivent l'ascension.

Et c'est bien là le problème : c'est une BD sur un procès, donc ce n'est pas follement passionnant ni ébouriffant niveau scénario. Alors que j'avais encensé le travail du nouveau coloriste, Lou, sur le précédent tome, on ne peut pas dire que pour ce sixième album cela soit une franche réussite, les personnages principaux (Luciano, ses avocats, le procureur Dewey...) ayant des visages à géométrie variable !
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Mafia Story, Tome 5 : Lepke

Plusieurs nouveautés sont au menu de cet album. D'abord, la coloriste Scarlett Smulkowski est remplacée par Simon Canthelou, alias Lou, et c'est tout l'album qui en est transformé. Pendant quatorze tomes (dix de "Ce qui est à nous" et quatre de "Mafia story"), j'ai pesté contre le dessinateur Erwan Le Saëc dont je n'arrivais pas à reconnaître les visages de ses personnages, alors qu'il suffisait seulement d'un coloriste qui s'y connaisse.... Peut-être que David Chauvel et Erwan Le Saëc pourraient reprendre les dix tomes de la série "Ce qui est à nous" mais avec Lou comme coloriste ?

Ensuite, ce "Lepke" affiche soixante-quatre pages au compteur !! Il faut se souvenir que c'est exactement le double des premiers albums de "Ce qui était à nous".

Chauvel a ainsi plus de place pour développer son histoire.



Bon, "Mafia Story" étant une série documentaire sur la mafia new-yorkaise, l'histoire ici est la biographie de Louis "Lepke" Buchalter, un mafieux juif new-yorkais des années 20 à 40, de son ascension à sa déchéance. S'étant fait un nom grâce au racket ultra-violent des syndicats de l'industrie de la confection qu'il étendit à différents secteurs (boulangerie, transport routier...), il fut admis au sein du Syndicat du crime de Lucky Luciano dont il prit la tête de la branche Murder Inc. présentée dans les deux tomes précédents.



Le hic est que, comme beaucoup d'albums de la série, ce tome est constitué d'une succession d'anecdotes dont quelques-unes auraient pu être retirées sans peine. Et avec soixante-quatre pages, l'album donne le sentiment d'être sans fin. Alors, certes, c'est très beau maintenant mais qu'est-ce que c'est long...
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Mafia Story, Tome 4 : Murder Inc. 2/2

Suite et fin de la biographie d'Abraham Reles, le chef de la Murder Inc., la branche de la mafia new-yorkaise chargée des exécutions. Et c'est même une fin définitive car, je ne divulgâche pas puisque cela s'est déroulé il y a huit décennies, Reles a mystérieusement terminé sa vie après une chute de six étages de la chambre d'hôtel où il était protégé par la police.



Un album plus intéressant que le précédent du point de vue scénaristique puisqu'il retrace la manière dont la justice américaine a mis la main sur Reles, puis comment la Murder Inc. s'est écroulée comme un château de cartes.

C'est graphiquement, comme d'habitude dans la série, que le tome pêche avec des personnages dont les visages se modifient d'une case à l'autre.
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Mafia Story, Tome 3 : Murder Inc 1/2

Lors des deux précédents albums, les auteurs avaient redressé le niveau de leur série sur l'histoire de la criminalité new-yorkaise en la renommant "Mafia Story" et en la transformant en diptyques biographiques. Mais avec ce troisième tome, ils sont retombés dans leurs travers. Certes, on peut considérer que leur deuxième diptyque est la biographie d'Abraham Reles, mais, comme l'indique le titre, c'est surtout la Murder Inc. qui est la vedette.

Murder Inc. est le surnom donné par les journalistes américains à une branche de la Mafia chargée des meurtres. Donc, pendant une quarantaine de pages, nous assistons à une série d'anecdotes mettant en scène les psychopathes appartenant à cette Murder Inc. dans leurs œuvres. C'est-à-dire, les mille-et-une manières de tuer son prochain en le faisant souffrir si possible.



Si, lors des deux premiers albums, le scénario faisait que je pouvais m'intéresser aux péripéties de Dutch Schultz, là, la montée en puissance d'Abraham Reles et de sa bande de dégénérés m'a laissé froid. Et comme les dessins des personnages de Le Saëc sont, pour ne pas changer, toujours aussi imprécis et donc indiscernables les uns des autres, ce "Murder Inc. 1/2" ne m'a pas passionné du tout.
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Mafia Story, Tome 2 : La folie du Hollandai..

Suite et fin du diptyque que les auteurs ont consacré à Dutch Schultz, mafieux new-yorkais des années 30. Il n'arrivait pas à la cheville du capo de tutti capi Lucky Luciano mais c'est à partir de son cas que les autorités non corrompues de la ville ont réussi petit à petit à affaiblir la Cosa Nostra.

Comme les onze précédents albums des différentes séries des auteurs sur la mafia, ce tome n'est "qu"'une bande dessinée documentaire. Elle met en images et en (beaucoup de) texte les faits historiques, même si les auteurs ont dû choisir pour chaque scène parmi les nombreuses et souvent contradictoires versions parues dans différents ouvrages.

Peut-être que les auteurs se sont améliorés mais la lecture de cet album a été la plus aisée. Certes, il y a toujours l'irrésoluble problème des personnages qui se ressemblent tous, mais l'histoire en elle-même était plus captivante. Peut-être qu'avoir opté pour des diptyques biographiques était la bonne solution.
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Mafia Story, Tome 1 : La folie du Hollandai..

Après deux saisons de leur série "Ce qui est à nous" (traduction française de Cosa Nostra), le trio Chauvel-Le Saëc-Smulkowski continuent de raconter l'histoire du crime organisé à New York mais en changeant le titre de la série en "Mafia Story".

Le principe est le même : une quarantaine de pages de BD et un cahier de quatre pages de notes documentaires. La grande nouveauté est que cette série est désormais composée de diptyques biographiques de grands mafieux new yorkais, le premier étant consacré à Arthur Fleigenheimer plus connu sous le pseudonyme de Dutch Schultz. Les auteurs ont donc dû effectuer un petit retour en arrière dans leur chronologie puisque ce triste sire s'est fait un nom lors de la prohibition, période déjà relatée lors de la seconde saison de "Ce qui est à nous".



Graphiquement, pour la onzième fois en onze albums je vais émettre la même critique : tous les personnages ayant à peu près la même carrure, la même physionomie, la même coupe de cheveux, les mêmes vêtements, il m'est alors difficile de les différencier. Heureusement, cet album est plus facile à suivre que certains de ses prédécesseurs dont les scénarios étaient faibles.
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