Amu

Ce tome s'ouvre sur une scène entre Isaki et Tetsuki : Isaki propose à ce dernier de l'emmener avec elle à la compétition de Chika en voiture. Je crois bien que c'est la première scène où l'on perçoit bien ce "duo", qui se ressemble dans le fait de prendre soin de Chika. Ils me font bien rire tous les deux, parfois on se demande même qui est l'adulte :D



On continue sur la compétition et la rencontre de nouveaux personnages. On a aussi droit à une scène un peu cliché (la fameuse blessure ahlala j'ai l'impression que c'est un passage obligatoire quand il y a des compétitions dans les mangas... Comme dans Chihayafuru, quand Chihaya se blesse au doigt).

J'ai aussi beaucoup aimé en apprendre plus sur Takinami, on en sait enfin plus sur son rapport à la musique. Et on comprend mieux son personnage suite à certaines de ses paroles ou de ses expressions. On voit qu'il est impressionné par son club, que ceux-ci ont dépassé ses maigres attentes.



Il y a une scène que j'aime beaucoup dans ce tome : celle ou Chika définit le son de Satowa comme plus doux, et que celle-ci en est touchée. Nous sommes tout autant touché par cette scène, et on fini même par sourire quand Satowa part en offrant plein de sucreries à la fraise à Chika. J'aime tellement ce genre de petites scènes mignonnes ^^ Alors oui, c'est un manga qui met en avant l'amitié, la jeunesse, la compétition... Mais qui n'oublie pas de mettre en avant la romance et ça, ça me plait beaucoup ^^ On en a à petites doses, mais c'est toujours plaisant.



(Une vidéo de la performance jouée lors de la compétition, Ku-on, a d'ailleurs été tournée, morceau créé et interprété par la soeur de la mangaka - aidée par sa mère - : https://www.youtube.com/watch?v=yegQRUhJkuM )

Dans ce tome, on revient sur les sentiments qui ont habités Satowa lorsqu'elle a créé sa propre version de "Yaegomo" (qui lui a coûté sa place d'héritière de l'école Hôzuki). Elle n'a pas un bon souvenir de ce morceau, alors quand Suzuka propose de le jouer aux éliminatoires, elle n'est pas très enchantée... Elle va se retrouver confrontée à son passé, et d'autres personnages vont faire leur apparition. Notamment celui d'Akira, qui est en bonne voie pour la remplacer à la succession de l'école Hôzuki. Cette dernière va proposer d'enseigner gracieusement le koto au club. Ne croyant pas un instant en ce dernier, on se demande bien quels sont ses objectifs...

On a aussi droit à quelques scènes mignonnes entre Hiro et Takezô, que l'on voit plus rarement comparé à Chika et Satowa. Le changement de place ahlala ce qu'il peut être aveugle ce Takezô ^^

J'ai bien aimé le bonus sur la rencontre Tetsuki - Isaki, c'était vraiment drôle et tout à fait à leur image ! Ils forment un bon duo ces deux là, toujours à prendre soin de Chika.

J'ai eu un petit peu de mal à rentrer dans l'histoire mais j'ai ensuite apprécié l'histoire pleine de surprises, les thèmes profonds et les personnages atypiques. On y découvre un instrument traditionnel japonais, le koto, que je ne connaissais pas.

Le stage d’été continu, mais Kota disparaît en plein nuit, ce qui inquiète, ces amies, il pense être un poids pour la progression des autres, mais Kudo lui fait comprendre qu’il veut avancer avec lui et s’améliorer tout ensemble, pour lui tout ce qui compte, c'est que le club de koto reste ensemble, c’est vraiment très touchant de voir à quel point ils sont proches. Le stage d’été est sur le point de prendre fin et surtout le début du festival de musique qui s’annonce très intense avec la première interprétation du collège Meiryô qui est juste fantastique Ôsuke Kiryû est juste incroyable avec un passé très touchant et on comprend pourquoi il est comme ça le manga est extrêmement touchant et surtout avec beaucoup de suspense, j'espère que Kudo et Hozuki vont finir ensemble je vous recommande réellement cette licence. Les dessins sont magnifiques et la jaquette du tome 6 est juste sublime en plus de ça j’ai eu la chance d’avoir un marque page magnétique qui est de très bonne qualité 

C’est pleine de joie et d’impatience que j’ai entamé la lecture du dixième tome de Sounds of Life, une merveilleuse série qui s’est hissée parmi mes favorites ! Au départ, on peut être sceptique à l’idée de lire un tome centré sur le personnage de la nouvelle professeure du club de Koto, Akira, mais on se laisse prendre au jeu avec une facilité déconcertante. Tous les ingrédients sont réunis : de magnifiques dessins signés Amu qui nous emportent dans une histoire passionnante, peuplée de personnages toujours aussi attachants, drôles et adorables, unis par une même passion et une détermination hors du commun, de l’émotion… Au détour des pages, on apprend à connaître plus en détail le personnage d’Akira et celle-ci finit par nous émouvoir, voire, à devenir attachante. Son histoire et sa relation avec son frère sont très touchantes à découvrir. Nos chers lycéens nous éblouissent toujours autant par leur ambition, leur amitié, leur volonté qui les pousse à se dépasser toujours plus, sans oublier les autres qui n’avancent pas au même rythme. Chacun d’entre eux est plaisant à suivre, on s’y intéresse forcément tant cette joyeuse bande est devenue familière, au point qu’ils pourraient être nos propres ami.e.s. Le club de Koto poursuit sa lancée vers le concours national en redoublant d’efforts, et on suit leur parcours avec grand plaisir… Il nous tarde de découvrir la suite de l’histoire et de continuer de suivre l’évolution des différents protagonistes ! Sounds of Life se révèle être une merveille à tous les niveaux, que ce soit l’histoire, les personnages, les dessins… Un des meilleurs mangas publiés à ce jour, d’après moi !

On découvre dans ce tome le passé de Kurusu, ce qui a motivé son envie de semer la zizanie dans le club. Mais surtout, son envie de le rejoindre, et ça c'est Satowa qui nous l'explique : tout comme elle, Kurusu était envieuse de l'ambiance et de la bonne humeur qui se dégageait du club du lycée Tokise.

Satowa révèle par ailleurs aux autres membres du club qu'elle a été exclue de chez elle et de l'école de Koto Hozûki, dont elle était l'héritière. Ce secret pesait lourd sur sa conscience, mais il a été bien accueilli par les autres membres du club malgré ses craintes. Le club peut donc repartir sur de bonnes bases, avec une Kurusu beaucoup plus honnête et naturelle. Au début, je trouvais ça un peu gros, qu'elle se ravise d'un coup, mais finalement, j'en suis venue à beaucoup apprécié son personnages (et j'aime beaucoup sa relation avec Takezô, qui est amenée à évoluer. Celui-ci nous montre d'ailleurs d'autres côtés de lui depuis quelques temps, il dégage une certaine maturité).



On retrouve aussi le personnage de Tetsuki le temps d'un chapitre, l'ami de Chika qui a toujours été là pour lui. J'aime beaucoup Tetsuki, j'étais heureuse d'en apprendre plus sur lui. En vraie mère poule pour Chika, il prend toujours le canapé pour lui laisser son lit, même s'il râle quand Chika squatte chez lui. C'est vraiment une belle amitié.



On découvre également Isaki, la tante de Chika chez qui il vit. C'est chouette de voir qu'il peut compter sur une adulte, aussi insouciante soit-elle.



On va aussi introduire d'autres personnages comme Kazusa, du club de koto lycée Himesaka, qui va inviter le lycée Tokise à venir voir leur performance au lycée Meiryo. Kazusa admire énormément Satowa et aimerait qu'elle les rejoigne à Himesaka... Personnage un peu cliché, je ne sais dire si je l'apprécie ou pas, elle me laisse plutôt indifférente pour le moment.

Le club de koto est maintenant officiel avec ses 6 membres, mais le vice-principal ne l'entend pas de cette oreille : il a lancé un défi au club afin de le reconnaitre. Ces derniers doivent effectuer une performance devant tout le lycée dans un mois. Ces derniers relèvent le défi, et Satowa va prendre en charge leur apprentissage, même si elle a quelques difficultés à enseigner (sans être trop spartiate du moins). Elle aussi a quelques préjugés sur ses camarades, surtout Chika...



On va, dans ce tome 2, en apprendre plus sur les personnages, et eux-même vont apprendre à se connaître. J'ai adoré découvrir une Satowa qui se remet en question et qui n'hésite pas à demander pardon lorsqu'elle est en tort. J'ai adoré voir sa relation avec Chika prendre un autre tournant. J'ai aimé en apprendre plus sur Takezô, un peu effacé pour le moment mais qui se révèlera lui aussi être un super personnage, une fois qu'il prendra de l'assurance. J'ai aimé découvrir le "son" de Chika...

Et c'est ce que j'aime le plus dans ce manga ! La découverte des personnages, les liens qui se tissent, que ce soit les liens actuels ou ceux du passé...



On en apprend également plus sur le koto, sur l'instrument, et j'ai trouvé ça très enrichissant ! C'est un milieu que l'on côtoie peu, et c'est toujours intéressant d'en apprendre plus.

On découvre plus en profondeur le personnage d'Akira dans ce tome. Ce que j'aime avec ce manga, c'est que tant que tu ne connais pas le passé du personnage, tu ne peux t'en faire une opinion définitive. Je me doutais bien qu'Akira se révèlerait être un personnage intéressant, alors qu'au premier abord elle peut sembler antipathique. Que ce soit son ressenti par rapport au concours qu'elle a gagné "grâce à la disqualification de Satowa", son rapport au koto, son histoire familiale... J'ai adoré la découvrir dans ce tome 10 !

Décidément la série a vraiment pris son envol et nous gratifie désormais de tomes avec des séquences magiques autour de cette alliance musique-amitié que j'aime tant !



J'ai longtemps été sceptique, je pensais même ne pas continuer la série un temps, car je me voyais mal continuer sur plus de 20 tomes pour une histoire que je trouvais moyenne. J'ai totalement changé d'avis. Avec la réunion réussi des membres de notre club de Koto tout a changé et c'est désormais une belle réussite qui parvient à m'émouvoir à chaque tome avec les nouveaux obstacles qu'ils parviennent à surmonter.



Cette fois, place à la compétition et alors, classiquement, alors qu'ils vont monter sur scène, un incident se produit qui va venir compliquer les choses. Amu a vraiment réussi à trouver comment twister et pulser son histoire. Ce ne sont jamais de grands drames mais juste de petits anicroches qui viennent challenger nos musiciens et les pousser à se dépasser et se révéler à eux-mêmes. C'est splendide ! Cette fois, on a vraiment peur pour eux sur scène, mais l'osmose qu'ils ont si durement travailler va leur permettre de surmonter cet obstacle et de se transcender en direct, ce qui est incroyable à voir !



J'ai longtemps, aussi, été sceptique quant aux dessins de la mangaka, trouvant qu'ils manquaient d'impact. Je reviens sur ce que j'ai dit avec ce tome, car quand leurs sentiments et leur musique se rejoignent, il se passe vraiment quelque chose. Les dessins dépassent le cadre des pages et les notes qu'ils portent viennent jusqu'à nous pour nous percuter en plein coeur. C'est une très belle réussite ! Je suis sous le charme.



A côté, en plus, l'autrice apporte plein de petites touches savoureuses, de leurs rivaux qui ont tous un je ne sais quoi d'attachant comme dans les équipes adverses des mangas sportifs, en passant par leurs encadrants. C'est en effet, cette fois, au tour de leur prof responsable M Takinami de voir son passé se révéler et quel passé ! Il a un potentiel de dingue comme personnage pour le futur du club et je croise vraiment les doigts pour que ce qu'on apprend sur lui ait un impact sur le futur. Et que dire de ces petites touches de romances entre Chika et Hozuki ! C'est tellement mimi. Je fonds.



Après un début un peu fébrile, la série n'en finit plus de se perfectionner pour mêler avec brio sentiments adolescents et musique transcendée par ceux-ci. L'autrice nous offre de superbes moments lors des compétitions de nos héros mais également en coulisses, lieux de toutes les avancées. Je suis sous le charme.
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Dans ce premier volume de Sounds of Life, nous comprenons qu’il ne faut pas toujours se fier à notre première impression d’une personne. Ce n’est pas parce que les gens disent que cette personne est ainsi qu’elle l’est forcément. Nous découvrons qu’il faut parfois savoir creuser afin de découvrir la véritablement personnalité d’un individu. Bref, qu’est-ce que nous offre le premier tome de Sounds of Life ? On y découvre des dessins très doux ainsi que de l’émotion et de la profondeur. Mais aussi, des personnages dont le développement est déjà bien entamé, de l’humour ainsi que les thématiques des premières impressions et de la réputation.



Sounds of Life est assurément un excellent manga. On sent que la mangaka connaît son sujet. Ne soyez pas effrayé. Si vous ne connaissez rien de l’instrument de musique qu’est le koto, vous le découvrirez bien assez vite durant votre lecture. Je ne pourrais que vous conseiller d’aller voir des vidéos de personnes qui en jouent afin d’en découvrir la complexité. N’oubliez pas que le manga possède une version animée qui pourrait être intéressante pour vous de découvrir afin d’entendre l’instrument.
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"Sounds of Life" a l'originalité de mettre en avant le koto, un instrument japonais traditionnel, dans une série prometteuse, énergique, surprenante, nous faisant passer par une valse émotionnelle. Avec de beaux moments et d'autres sacrément énervants.

Vu que pour ma part je connais l'anime qui m'avait déjà conquise, j'avais très envie de découvrir la série en manga, de me replonger dedans, effectivement c'est comme si je retrouvais de vieux amis, je suis en terrain connu, et petit à petit des éléments me reviennent. Je ne peux d'ailleurs que chaudement vous le recommander si vous en regardez. L'anime est connu sous son nom japonais : "Kono Oto Tomare".

Les éditions Akata frappe fort en proposant ce manga, mais également sortent les deux premiers tomes ensemble pour que les gens puissent se faire une réelle idée. Après, il faut savoir qu'on en est à 27 tomes sortis au Japon, et qu'elle est toujours en cours. La mangaka est AMU, elle a un trait doux, agréable, on se laisse facilement entraîner. Evidemment, elle ne peut pas faire sortir du son du koto de ses pages, mais elle retranscrit bien leurs émotions, et un moment particulièrement magique du tome, où on sent l'effet de l'entendre.

La série se place au lycée, et elle a un sacré jeu sur les apparences, réunissant une sacrée bande qui n'aurait rien à faire ensemble en temps normal, tout le monde n'ayant pas le même niveau de connaissance sur cet instrument spécifique, et encore mois le même caractère, niveau social .... Nous avons entre autre 3 personnages marquants : un jeune homme qui tient à faire vivre le club de koto mais se retrouve aujourd'hui seul, charrié, et harcelé, ça va même assez loin, c'est atroce. Un autre dont la réputation le précède mais qui sous ses airs froid, de bagarreur, cache autre chose, il est souvent avec un très bon ami à lui. Et enfin, une reine du koto, solitaire, qui sait bien se faire voir devant les autres, mais son vrai visage ce n'est pas la même chose.

Le premier tome commence par nous entraîner dans une valse assez folle, à placer les personnage, et ce club particulier. Amu nous le fait plaisir de quelques pages couleurs au début.
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C'est déjà le tome 10, quelle puissance, et quel son (même si on ne l'entend pas). La série ne s'essouffle pas et nous emporte toujours. Ces jeunes gens volontaires d'un simple club de koto dans un lycée

ont de la volonté, travaillent dur, font de leur mieux. Ils ne sont pas, pour la plupart, de ce monde à l'origine mais aujourd'hui ce sont de véritables passionnés.

C'est Akira Dôjima qui fait la couverture du tome, une couverture superbe au passage, c'est bien vu car nous sommes grandement centrés sur elle. Une sublime double page couleur commence le tome.

Si le scénario s'enrichit, est intense par moment. Une grande force de ce manga, qui comble ainsi le son qu'on ne peut entendre, sont ces dessins qui retracent à merveille tout.

Akira Dôjima est ambiguë, c'est difficile de réellement lui faire confiance, en même temps nous ne pouvons pas dire qu'elle est indifférente aux élèves de ce club, à leurs efforts, à leur amour du koto.

Elle est blessée, en souffrance, malgré sa façon de se tenir toujours droite et debout. Elle leur enseigne alors qu'elle reste hantée par le passé.

La première claque qu'on se prend, c'est quand on voit son grand frère, Keichi, qui est plein de vie. Elle a l'air différente avec lui, et lui à l'opposé d'elle. C'est en découvrant Keichi, sa famille, son passé, son histoire, que nous cernons mieux Akira et qu'elle nous touche.

Akira lance pas mal de piques notamment à Satowa, assez hargneuses même, tout en se reprenant. Elles auront l'occasion d'avoir une discussion franche. C'est fou d'où peuvent provenir les répercussions.

Il est impossible de réellement tout prévoir, et ces deux jeunes femmes ont en commun l'amour du koto, d'avoir appartenu à ce monde très tôt mais également la pression.

Les souffrances d'Akira, sa part ténébreuse, sont retracées à merveille par le graphisme, des jeux d'ombre et tout ce qui va autour.

Un très beau tome, extrêmement fort en émotions.

C’est déjà le tome 10 ! J’ai l’impression d’avoir commencé la saga hier… Je l’aime tellement, c’est d’une douceur et d’une poésie qui me laisse émerveillée à chaque fois !

Dans ce tome 10, on se concentre sur le personnage de Akira Dôjima. Très talentueuse, elle donne des cours dans le club de Koto que l’on commence à bien connaître maintenant. On en apprend plus sur sa vie, sa relation avec sa famille et son lien avec Satowa. Encore une fois, je vous recommande cette saga, je ressens que l’auteure est quelqu’un d’adorable dans les bonus et dans les petites remarques qu’elle nous offre…

Vraiment, il faut la découvrir car elle est de mieux en mieux !

Le club de koto se rend au lycée Meiryo pour une démonstration de koto du lycée Himesaka. C'était surtout le prétexte pour que Takezô soit confronté à son passé, lui qui a été refusé aux examens d'entrée de ce lycée et a perdu toute confiance en lui depuis. Dans ce tome, dont la moitié lui est consacré, il est un peu bousculé par Chika avec qui il se fâche. On va en apprendre plus sur lui mais on va aussi le voir grandir dans ce tome. J'ai adoré la scène où Kurusu vient le secouer jusqu'à chez lui (j'ai aimé sa détermination).

Takezô va aussi tenir tête à Takinami. Il le faisait déjà, mais là il est déterminé et n'hésite pas à le menacer. Taknami va alors trouver un regain d'intérêt pour le club (à mon avis, il n'attendait que ça, que Takezô prenne les choses en main) et être plus présent en tant que référent du club. Et c'est tant mieux, car ça commençait à devenir frustrant de le voir sans cesse les dévaloriser.



On aura droit au traditionnel camp d'entraînement dans ce tome, un passage que l'on retrouve souvent dans les tranches de vie lycéenne.

On entame ce tome 3 directement avec la performance du club de koto devant le lycée. le temps d'une chanson, ils vont pouvoir montrer à tous les efforts qu'ils ont fournis et l'unité qu'il y a au sein du club. Même si on n'entend pas les "sons", les performances sont très bien dessinées et on ressent bien les émotions (ohlala le solo de Chika, agrémenté du flash back avec son grand-père, c'était les larmes assuré).



Suite à cette performance, deux nouveaux personnages vont faire leur apparition. On va enfin découvrir qui est le référent du club de koto (justement, je me demandais pourquoi on n'en voyait pas, connaissant un peu le fonctionnement des clubs...) et celui-ci apparait comme très antipathique. Takinami Suzuka, prof de maths et donc référent du club, aimerait que le club se fasse discret pour qu'il soit plus tranquille, et il n'hésite pas à rabaisser Takezô. J'avoue que je ne le comprends pas vraiment, surtout qu'en fait, c'est vraiment un chic type quand on lit les autres tomes... (c'est en tout cas devenu un personnage que j'adore). J'imagine qu'il les titille pour tester leur sérieux, puisque jusque là, le koto ne l'a pas convaincu mais... Il y a des manières de faire ^^'

Et ce n'est pas le seul personnage antipathique qui va apparaître : après avoir vu la performance du club de koto au lycée, Hiro Kurusu décide de s'y inscrire. On va vite se rendre compte qu'elle n'est pas très sérieuse et ne souhaite que semer la zizanie au sein du groupe... Mais, ce qu'il y a de chouette avec "Sounds of life", c'est qu'on ne peut pas s'arrêter à notre première impression. Les personnages ne sont pas manichéens, tous ont leurs défauts et leurs qualités. Et c'est pareil pour Kurusu, on sent qu'elle cache quelque chose de bien plus profond.



On va aussi en apprendre plus sur Satowa dans ce tome, on va enfin savoir pourquoi elle s'isole des autres et pourquoi elle reste très secrète sur sa vie privée... J'ai adoré voir Chika prendre soin d'elle et découvrir le fameux "Yaegoromo", ce morceau qui a fait basculer la vie de Satowa.



Un très bon tome, frustrant par rapport aux nouveaux personnages qui apporte un côté négatif, mais il en faut bien, des tomes comme ça...



(Une vidéo de la performance jouée devant le lycée, Ryuuseigun, a d'ailleurs été tournée, morceau créé et interprété par la soeur de la mangaka - aidée par sa mère - : https://www.youtube.com/watch?v=C1T5uy42rwY)

(Tomes 1 & 2)



C'était une bonne idée de sortir simultanément les 2 premiers tomes, car le 2e apporte clairement un charme et un intérêt en plus. Pour ce début de série, il ne faut pas chercher des personnages très innovants ou une amorce d'histoire atypique. On est sûr un groupe aux rôles assez marqués (le délinquant, l'intello, la fille froide et douée, celle plus exubérante, le trio d'amis comique…) et un manga de sport qui s'annonce classique dans son scénario (entraînement, compétition et rebelote). Pour autant, le sujet du manga, le koto, instrument classique japonais, et la sincérité des personnages font que ça marche. Pour moi, en tout cas, j'ai été suffisamment intriguée (à la fois par l'idée de voir les personnages évoluer et se souder et par l'aspect apprentissage et compèt) pour continuer la série.

J'étais déjà conquise par l'anime, je prolonge donc le plaisir de cette série avec le manga. Les deux illustrations couleurs pour commencer font très plaisir et sont superbes. Nos jeunes adolescents et lycéens sont en plein concours, et que de rencontres ils font, autant des nouvelles que des gens déjà croisées. C'est très riche, tous sont unis par leur passion du koto, et chacun à son histoire. Je vous préviens tout de suite, la fin est cruelle, et vous laissera dans l'attente des résultats. Dans ce tome, ils vont bien livrer leur prestation, mais entre Hiro Kurusu dont c'est la première fois sur scène et un souci imprévu, ce ne sera pas simple. Quelle performance livreront-ils ? Mais peut être plus important encore,

quels cœurs toucheront-ils ? En tous les cas, leur soutien de groupe nous font plaisir et réchauffe nos cœurs, tout comme ces attentions croisées.

Comme toujours, certaines scènes au koto sont particulièrement magistrals, pulsent en nous, toutes personnes et groupes confondus.

Dans ce tome, Chika va s'énerver avec quelqu'un de petit pour son âge, qui part un peu au quart de tour. Il revient de loin quelque part lui, avec toutes les bagarres qu'il a livré, cette fois-ci c'est une autre forme de bataille.

Parfois, les jeunes entre école se cherchent, mais en meme temps ils se stimulent.

Ce tome nous permet également d'en apprendre plus sur le professeur référent de notre groupe : Suzuka Takinami, non pas seulement sa fiche à la fin avec d'autres, mais bien en revenant su certaines choses le concernant, en ayant des flashbacks, et c'est clairement un point très intéressant. Il a une façon de s'exprimer assez spécial, mais il cache aussi des choses.

Les bonus de vie de fin sur Chika sont adorables aussi, tout comme les siens qui viennent le voir.

Ils se confrontent, se testent, se dépassent, et nous emmènent dans le monde du koto. C'est une belle passion, mais il faut aussi pouvoir conserver le plaisir.

Vivement la suite.

C'est toujours compliqué de donner un avis sur le premier tome d'une série. Souvent, c'est une introduction. J'ai sélectionné ce manga pour deux raisons. J'adore la maison d'édition et ses valeurs mais surtout parce qu'il est question de musique traditionnelle. J'espérais apprendre des choses sur le koto, l'instrument dont il est question.



Les graphismes sont assez classiques. Les pages qui m'ont marqué concernent le moment ou un personnage joue du koto. On voit l'impact que la musique peut avoir sur les autres. Ce titre met en avant Takezô, président du club de koto et surtout unique membre. Il manque de confiance en lui et est victime de harcèlement jusqu'à l'arrivée de Chika, un élève à la mauvaise réputation.



On a les bases du shônen : un héros qui manque de confiance en lui, un garçon qui a mauvais caractère et un personnage féminin loin d'être mignon malgré les apparences. À cela ajoutez la musique et ça donne quelque chose loin de ce qu'on imaginerait. Et c'est peut-être là le hic. Je voulais lire un manga parlant musique traditionnel un minimum et pas du tout.



En effet, on ne trouve que deux informations vers la fin sur l'instrument et rien d'autre. Le reste est centré sur les personnages, leur passé pour certains et surtout le fait qu'ils passent leur temps à se disputer sans penser au conséquence. Le personnage principal me semble être Chika plutôt que Takezô. À voir si la suite sera comme ça. Ce n'est paut-être que le tome de présentation.



En bref, je suis partagée sur ce premier tome. J'attendais beaucoup plus sur la musique classique.
Lien : https://lessortilegesdesmots..

C’est grâce au conseil reçu à la librairie Ad hoc, à Namur, que je me suis lancée dans ce manga ! Je ne connaissais pas du tout. Un poil dubitative, je n’ai acheté que le tome un… Pour vite revenir chercher le tome 2 la semaine suivante !



Très touchante, cette histoire d’un club de Koto nous présente des personnages uniques auxquels on s’accroche rapidement. Entre Kurata, le président par défaut, Chika, le délinquant au cœur tendre, et Hôzuki, prétentieuse mais douée, l’alchimie a du mal à se créer.



Pourtant, il va bien falloir qu’ils parviennent à s’entendre ! En effet, le vice-directeur de l’école est déterminé à faire fermer le club…



Je suis toujours fascinée par la capacité des auteurs de manga musicaux à transmettre la musique en mot et en dessin. Le petit plus, c’est que comme nous découvrons le manga après l’adaptation anime, ceux qui le désirent peuvent écouter la bande-son en lisant !



Si le manga parle de musique (et plus spécifiquement du koto, un instrument traditionnel nippon), il met surtout en avant ses personnages. Ceux-ci s’ouvrent peu à peu face à nous, révélant leur passé et leurs failles.



En bref, un manga qui a su me charmer malgré ma réticence à débuter la série ! Encore merci pour le conseil, j’ai hâte de découvrir la suite.

Hiro qui fait maintenant réellement partie du club fait la couverture. Elle deviendra d'ailleurs de plus en plus participative et s'impliquera. Deux très belles illustrations en couleur commencent fort bien ce tome, où notre cher club de koto est plus que jamais face à la réalité, au niveau véritable de leur club par rapport aux autres, mais comment s'améliorer ? Pourront-ils être à la hauteur du concours national ? En tout cas, ils ne ménagent pas leurs efforts pour y arriver. Et nous offre quelques très belles scènes.

Nous allons également rencontré et commencé à connaître encore plus de personnages dans ce tome. Le début commence là où nous nous sommes arrêtés, dans cet autre lycée, qui est une pierre dans le cœur de notre cher président. Entre son caractère, sa fonction, son expérience passée, son âge, il est acculé sans arriver à parler de ses soucis, de ce qui le travaille, mais il va commencer à apprendre à se défendre, et se rendre compte de l'impact de son état.

Nous le verrons également dans sa famille, des moments touchants.

Cette expérience va marquer nos jeunes gens, ils ont encore tant à apprendre, et en plus ils n'ont pas pu voir tout le monde à l'œuvre. Les confrontations entre nos lycéens sont fortes. Leur référent n'y va pas de main morte non plus. Un jeune homme est assez spécial mais il a l'air tout content de voir d'autres hommes dans un club de koto vu que c'est plus rare.

De retour chez eux, ils vont mettre de l'ardeur dans les entraînements, mais tout le monde n'apprend pas au même rythme, de la même façon, c'est complexe.

Tout le monde fait de son mieux, s'adapte, met en place des idées. Leur unité malgré leurs différences est leur plus grande force et également ce qui touche le cœur du lecteur, car ça passe également un beau message.

L'un d'eux voit les autres évoluer, mais ses efforts à lui ne vont pas payer, et le vit mal.

Nous arrêtons en plein dans un évènement qui donne envie d'avoir la suite.