Citations de Frank (27)
- Je suis en élan, mon nom est Robert ! Voilà ce titre mon convient mieux !
- C'est vrai ça ! On m'appelle Spirou depuis 45 ans alors que mon vrai nom c'est...
Ah ! Mon mari ! Aussi un phénomène, celui-là ! Un jour, il est monté ici au grenier…et je ne l’ai plus jamais revu !
Bien entendu, l’effort devra être consenti par tous, et c’est pour cela que le gouvernement a songé à la formule qui permettrait enfin aux oiseaux de voyager en paix en dehors des couloirs aériens…
Chiens de garde, vaches à lait, hommes "modernes", tous ont perdu leur liberté. Tous asservis au confort et à la sécurité. J'en ai couru des kilomètres pour me libérer. Tellement de distance qu'ils ne comprendraient même pas ce que je dis ! Ils sont morts debout sur leur pattes, morts devant leur écuelle, morts devant leurs télés.
Me suis dit que c'est très bien qu'il y ait le mot "libre" dans "équilibre".
- Ha ha ha ! C'est si rare les blancs qui rient ! En général, ils sont aussi raides que des poissons fumés. Ce sera demi-prix pour toi, mon loulou ! Cadeau d'Afrique !
- On a un petit génie à table ! Garçon ! La même chose ! Vous acceptez les paiements en matière grise ? Non ? Bon !
Regarde-moi, chat tout puissant.
Fais-moi plonger dans l'au-delà.
Mène-moi par tes sentiers jusqu'à l'aube des temps.
Page 34, Édition Delcourt
Comme je voudrais avoir ta superbe, ton indolence magnifique, ta désinvolture. On dirait que tu as tout compris depuis longtemps et que tu regardes les hommes s'agiter avec la plus grande condescendance. Je me trompe ?
Page 28, Édition Delcourt
Qui es-tu le chat? Il y a des moments où tu me fais peur. Je te vois là si digne, si élégant, et parfois si distant. Ah ! Si je pouvais ne fût-ce qu'un moment voir le monde à travers tes yeux! Que penses-tu des hommes ? Dis-moi, le chat, ne les trouves-tu pas un peu ridicules ?
Page 27, Édition Delcourt
Tous vous avez pour vocation de chercher l'inconnu car lui seul, encore et toujours peut tenir ses promesses d'infini.
L'après-midi se terminait avec une rare pureté. Ce moment suspendu entre le jour et la nuit... Et ce silence !...
J'avais la gorge nouée... Comme lorsqu'une chose que vous attendiez depuis des années se produit enfin... Peut-être quelque chose qui ressemble à une naissance...
Ne croyez rien de tout cela ! Je suis encore mieux à l'intérieur !
Le Prince charmant doit se frayer un chemin dans les broussailles pour parvenir au château de la Belle au bois dormant. Il l'embrasse. Elle se réveille enfin. Le conte est fini et nous avons appris que le bonheur est d'être enfermée avec l'aimé.
Tu as besoin de protection contre le changement climatique. Voici le secret, fils ! Tu dois penser très fort à un iceberg géant.
L'anagramme du puits!
"considère l'enfant"!
[L'épicier] : Et à part ça, ça va comme vous voulez, madame Leblanc ?
[Madame Leblanc] : Houlà, non... j'ai que des insomnies... plus dormi depuis trois jours !
[L'épicier] : Ah vous aussi ? C'est étrange, tout le monde a des insomnies, ces derniers temps...
Qui eût cru qu'au vingt et unième siècle il y eût encore tant de gens pour prendre le temps de regarder silencieusement des peintures et laisser vibrer leur âme ?
Le beau ne résout rien, il est inutile.
Comme un coucher de soleil.
Comme le rire d'un enfant.
Mais c'est ce qui justifie tout le reste non ?
- Spirou, vous avez devant vous l'incarnation du gars qui n'arrive jamais à assumer ses responsabilités.
Un Noé incapable de manœuvrer son arche, quoi!
- Vous savez, on a inventé un excellent GPS depuis l'époque diluvienne de votre glorieux homonyme : L'AMITIÉ!
- L'AMITIÉ!... L'AMOUR!... Peuh! Ne me dites pas qu'à votre âge... vous croyez encore à ces foutaises ?
La vie, ce n'est pas le cirque, jeune homme!
À la fin, il n'y a pas une grande parade joyeuse sous les applaudissements du public!
À la fin, vous êtes SEUL au milieu de la piste, avec vos regrets comme unique spectateur!
Foutaises!