Janry

C'est très agréable de découvrir les bêtises de Spirou étant petit. Étonnamment, je n'aime pas spécialement la bande dessinée de Spirou - je ne suis même pas capable de dire si j'en ai lu un où non - mais j'apprécie beaucoup les aventures du petit Spirou.

C'est drôle et frais, sans prise de tête. Loin d'être toujours crédible, mais très plaisant !







Le petit Spirou est vraiment un personnage très attachant, on s'imagine très bien gambader, au même âge, joyeusement avec lui et ses amis tout aussi plaisants. Il ne manque pas d'imagination et c'est un régal de découvrir les nouvelles bêtises qu'il va encore inventer !







J'aime beaucoup les dessins qui nous rappellent directement les aventures de Spirou par ses couleurs et son design. Je trouve que c'est totalement un point positif. C'est soigné, clair et laisse peu de place à l'imagination : bref, c'est une BD qui a l'air d'une BD !

Tout comme les dialogues qui en disent ni trop, ni pas assez. Le dosage est juste parfait !







Je vous conseille réellement la découverte de la saga Le petit Spirou et de ce cinquième tome très sympathique !
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Ce deuxième volume des aventures du petit Spirou qui, un jour, deviendra grand, est un album qui s’inscrit avec panache dans sa série d’appartenance.



Dès le démarrage, avec une histoire un peu plus longue que d’ordinaire, le lecteur verra de quoi il en retourne. Petit Spirou va être confronté à sa première expérience amoureuse, de manière aussi imprévue que tendre et drôle.



Tout le reste sera à l’avenant. Certes les histoires seront plus courtes, mais elles vont flirter sur différentes thématiques qui vont ravir les ados (et ceux qui désirent se replonger dans cette période avec une certaine nostalgie).



Les filles et les relations avec l’autre sexe tiendront une place importante.

Certains des meilleurs gags y puiseront d’ailleurs un terrain fertile pour des chutes particulièrement inspirées ! Mais ce ne sera pas le seul sujet traité. Il va être question de discipline (ah le pauvre préfet et le curé…) et de rapport avec les enseignants (un en particulier).



Les dessins nous embarqueront également vers d’autres horizons, vers l’école d’une autre époque. Difficile à date précisément mais fort probablement avant les années 1960.



Tu veux mon doigt ? est un bon cru, un classique, qui place certains des gags les plus connus (le coup de la machine qui rend invisible, de la potion…).

Le petit Spirou est amoureux ! Amoureux de Suzette ? Ben non ! Elle est amoureuse d’un vieux ! Un cosmonaute ! Elle l’épousera quand elle sera grande.



De qui, alors ? Ben de Mademoiselle Chiffre, tiens ! Sa prof de calcul et de plein d’autres choses. Pour la séduire, Spirou (le petit) va devenir un as en calcul. Les autres garçons jaloux de son succès ne vont pas tarder à copier son attitude ! Bande de tricheurs !



Malheureusement, Mademoiselle Chiffre est amoureuse de Melchiorichou, celui qui est musclé comme une lasagne ! Et dire qu’il préfère les crèmes glacées et le scrabble aux poutous de Mademoiselle Chiffre ! Le monde est injuste !



Critique :



Faut-il encore présenter le petit Spirou, cet être gentil mais facétieux qui rêve du grand amour, de l’impossible amour avec sa prof ?



Cette BD est parfaite pour qui a envie de rire de bon cœur et qui a gardé un cœur d’enfant. Je suis toujours surpris de constater que je me marre bien plus que mes élèves à la lecture de cette BD, mais c’est peut-être parce que mes pioupious de dix, onze ans, ne comprennent pas forcément toutes les allusions. Néanmoins, ils lisent les histoires du petit Spirou avec plaisir et s’amusent beaucoup, notamment à cause des dessins. Les couleurs sont belles et pleines de vie.

Franchement pas emballé par ce tome du Petit Spirou. J'avais un plutôt bon souvenir de ce petit garnement et de sa bande de copains, ainsi que des adultes qui faisaient, à eux tous, l'originalité et le charme de la série. Mais là, un focus lourd sur M. Mégot fait un bide, de même que l'introduction ciblant sur le prêtre (j'ai même oublié son nom tellement il m'a marqué...), et des planches à gags d'un humour assez bas de gamme m'ont laissé de marbre. Juste ai-je souri de la scène où le grand-père et la mère du petit Spirou le confondent avec un bonhomme de neige...



Bref, c'est dommage.

Il est toujours difficile de faire un commentaire sur une bande-dessinée, même si l’on adore cela. On peut parler du thème, du dessin et du traitement des idées par le texte.

Ici le dessin de Janry est simple et clair , simple et cependant travaillé ; il arrive à traduire certaines émotions (d’un poussin !) qui rendent cette B.D. agréable à lire.

Les textes sont également clairs, mettant en valeur notre ami Poussin 1er qui se prend pour le centre du monde et découvre petit à petit qu’il existe des choses « autour du centre ».

Le côté philosophie de l’histoire est relativement présent mais ne pollue pas la B.D. c’est le moins que l’on puisse dire.

On est, c’est normal, dans le questionnement plutôt que dans les réponses.

Il faudra faire un gros effort si l’on veut aborder la philo de façon agréable. Il vaudra alors mieux lire « Candide » ou « Le petit prince », voire l'incontournable Snoopy.



C’est un album sympathique mais qui semble avoir un objectif un peu prétentieux par rapport à ce qu’il offre.

Une BD philosophique et pédagogique écrite par Éric Emmanuel Schmitt qui sous couvert de nous raconter une petite histoire met en avant des questionnements sur l'existence, le développement physique et psychique d'un tout petit sans jamais se prendre au sérieux mais en pointant les phases essentielles de son épanouissement.

Je ne suis pas fan de la période Tome et Janry de la série Spirou, et cette aventure est assez caractéristique de ce que je leur reproche : je trouve le graphisme trop bordélique, les hachures en haut de vignettes brouillent le regard, la gamme colorée, faite de roses et de mauves n’est pas très heureuse et embrouille le dessin déjà très fouillis, et la mise en page est assez chaotique. Le scénario part aussi dans tous les sens, voyage dans le temps, rebondissements trop brusques, gadgets en tous genres... la main géante qui sort de la boîte de soda, c’est presque gênant. Zorglub est un personnage intéressant de la série, mais dans cet aventure, il n’est pas très bien exploité. Heureusement les réparties drôles, et tout ce jeu de références évitent le naufrage. Il y a tout de même de très bons épisode de la période Tome et Janry, mais celui-ci est assez décevant.

Un tome drôle et efficace, où nous rencontrons le fameux Vito Cortizone à ses tout débuts. Spirou et Fantasio se retrouvent malencontreusement dans une guerre opposant la mafia chinoise et italienne à New York. Un peu violente à certains moments, la bande dessinée reste tout de très drôle et enchaîne les actions sans trop de répits. De nombreuses scènes cocasses viennent allégés l’ambiance de guérilla urbaine où les « méchants » ne sont pas du tout terrifiants. Tous les clichés sont utilisés à notre grand plaisir et nos deux héros sauvent bien évidemment la situation avec brio. Un très bon moment.

A peine né, Poussin voudrait savoir qui il est. Un canard ? un phoque ? un poussin ? une brute ? un renard ? Il voudrait aussi savoir d'où il vient, ne concevant pas qu'il puisse être sorti d'un œuf lui-même sorti du cul de la poule. Et puis il se demande pourquoi il est là ? Sa seule certitude : il existe. Pour le reste...





Beaucoup de questions donc chez ce brave Poussin. Beaucoup de réponses aussi. Mais si les questions sont légitimes et pertinentes, toutes les réponses sont fausses. Et puis le pauvre gallinacé n'est pas aidé par les autres animaux de la basse-cour, c'est le moins qu'on puisse dire.





Il est sympa ce poussin. Pas d'humour franc du collier, pas de rigolade assurée à chaque page mais une certaine finesse, des réflexions l'air de rien très philosophiques et plusieurs niveaux de lecture qui rendent l'album vraiment tout public. Il y a aussi un sens des dialogues consommé, sans compter qu'avec Janry aux pinceaux, on a droit à du franco-belge classique et de qualité. Le papa du petit Spirou ce n'est pas n'importe qui !





Entendons nous, je ne crie pas au génie. Mais j'ai trouvé l'ensemble réussi. Disons que si la série se poursuit, on risque de tourner assez vite en rond vu la thématique abordée. Mais quoi qu'il en soit, j'ai passé un très agréable moment avec ce premier tome. Et puis Eric-Emmanuel Schmitt me prouve qu'il a plus d'une corde à son arc et j'aime beaucoup les auteurs n'hésitant pas à changer de registre au gré de leurs envies.


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Le petit Spirou est un enfant facétieux plein de vie qui n'a de cesse de s'amuser avec ses acolytes. La curiosité de l'autre sexe les entraînent dans diverses situations cocasses et les gags s'enchaînent.

Bon divertissement qui se lit avec l'envie de redevenir un petit garçon qui ne se souciait de rien.

Poussin 1er et dernier a pris conscience de qui il est, enfin le croit-il car le chemin sera encore long avant qu'il se rende compte du monde et des personnages qui l'entourent. ; en cela il sera aidé par une souris philosophe et quelques autres animaux de la basse-cour.

Histoire moins originale et prenante que le premier tome

Il y a bien longtemps que je n’avais pas lu d’album du petit Spirou et j’avoue que je me suis replongée avec énormément de plaisir dans cet univers plein d’espièglerie. J’ai retrouvé avec une touche de nostalgie cette bande d’enfants qui ne ratent pas une occasion de faire des bêtises, mais aussi des adultes qui les entourent, certes caricaturaux, mais tellement attachants. On s’amuse énormément des gags sur une page et l’on approfondit l’histoire des personnages avec les petites histoires qui courent sur plusieurs pages.

Si la recette est toujours la même, et que les gags peuvent sembler répétitifs, je reste toujours très attachée à ce petit personnage et sa bande de copains.

Un petit poussin vient de naitre quand on lui pose la question Qui es-tu ?? Il ne sait que répondre. Suis -je un renard ou une vache ou……….. Jolie bande dessinée.

J’ai toujours eu un gros faible pour le Spirou et Fantasio de l’ère Franquin et je n’aimais pas trop ceux de Fournier qui ont suivi et je n’avais jamais prêté attention à la nouvelle génération, celle de Tome & Janry, préférant de ce duo les albums du Petit Spirou…



Ce ne fut qu’il y a peu, dans un numéro de Lanfeust Mag, que je découvris cet album dans un article consacré aux livres pouvant figurer dans la Bibliothèque Ultime.



Puisqu’ils le disaient dans le Lanfeust Mag, je me suis dit que c’était sans doute l’occasion de me pencher sur les auteurs qui avaient succédé à Franquin et j’ai eu quelques belles surprises avec les albums de Fournier, mais la meilleure fut avec celui qui était consacré dans l’article de la Biblio Ultime : Spirou à New-York !



Imaginez des héros qui sont sans le sous, un frigo désespérément vide, pas de boulot, plus de sous, et en mangeant une pizza, vous voilà le gagnant d’une loterie qui vous promet 1.000.000$ !



Oui mais, nous, lecteurs, nous savons qui a manigancé cela… C’est le tout puissant Don Vito Cortizone, el padrino de la mafia new-yorkaise ! Mais pourquoi, nous ne le savons pas encore…



Mêlant astucieusement l’humour, les situations cocasses et les gros clichés sur la mafia italienne et son parrain, Don Vito Cortizone, cet album est un concentré d’action, de suspense, de mystères et de bons éclats de rire bien gras, sans jamais sombrer dans le redondant ou le lourdingue.



Se trouvant malgré eux mêlés à la guerre entre les mafias Chinoises et Italiennes, nos deux amis (Spirou, Fantasio) vont devoir se décarcasser pour récupérer leur écureuil Spip avant qu’il ne serve de hors-d’œuvre au chinois !



Sans compter que la chance qui leur sourit non stop a tout intérêt à ne pas les laisser tomber et vu que les mafiosis italiens sont touchés pas la poisse à tel point qu’il ne pleut que sur leur tête… Manquerait plus que la poisse leur tombe dessus à bras raccourci !



Don Vito Cortizone compte sur eux pour mener à bien sa guerre contre les chinois qui, non content de tout leur prendre, arrivent aussi à décimer leurs rangs, comme si la Chance n’était que pour eux.



Le mandarin, à la tête de la mafia chinoise, n’est sans doute pas étranger à toute cette poisse qui colle aux basques de nos italiens et une enquête au siège de ce fameux mandarin s’impose.



Mais pour y arriver, que de péripéties et de fusillades !



Le genre de bédé à lire lorsque le temps dehors est morose, ou à savourer au soleil, avec un bon mojito à la main, sans oublier une part de pizza…



À savourer sans modération les dialogues et les dessins sont hilarants, servis tous deux par un scénario qui ne laisse pas la place aux temps morts ou aux situations cocasses et rocambolesques.



Des albums comme celui-ci, j’en redemande !


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Un petit spirou un peu moins intéressant que les autres, notamment car je pense que je n'aime pas trop les blagues avec le prof de sport...

Comment retrouver son âme d'enfant ?? une petite lecture du petit Spirou et le tour est joué. J'éprouve beaucoup de tendresse pour ce petit garçon et son regard caustique sur les adultes qui l'entourent !! hilarant...

Voici une Bd plutôt tourné vers le métaphysique : un poussin qui se pose des questions existentielles, conceptuelles voire de possiblités. Mais le dernier cas, c'est Eric Emmanuel Schmitt le scénariste qui se risque à la question.



C'est l'histoire d'un poussin, sans nom, qui lorsqu'on lui pose la question : Qui es tu ?? ; ne sait que répondre.



Au cours de ses rencontres avec ses compagnons de basse cour et autres animaux de la campagne, il répond : une crotte de lapin, un canard....

bref, il ne sait pas qui il est et ce qu'il est.



L'album se pose la question de "qui nous sommes", puis "d'où venons nous", pour avoir en fin d'album, "savoir ce qu'on est".... mais en mode Poussin. Dans certaines réflexions, les théories de Freud peuvent monter à la surface.



Ce livre est plus porté sur le côté philosophique de l'existence de tout être, il ne se veut pas donneur de leçon ou provocateur. C'est de l'humour premier degré.

S'associe à ce délire philosophique, Janry. Auteur/dessinateur de Bd qui est tout à fait dans son registre : gag de potache et existentiel (voir Passe moi l'ciel, P'tit Spirou).



Un ouvrage sans aucune prétention, qui se lit avec humour ou avec questionnement. Souhaitons que les deux autres tomes à venir soit du même acabit et que Poussin trouvera son identité propre.

Les histoires du petit Spirou sont pour moi excellentes et Les gags sont drôles. On y découvre Spirou avec ses copains toujours prêt à faire des bétises en tout genre et on ne s'en lasse pas. Une bd indémodable et qui peut être lu par toute la famille de 7 à 77 ans.

Spirou et Fantasio retrouvent un vieil ennemi, Don Cortizone, appelé désormais Vito “La déveine”, naufragé solitaire sur un atoll perdu du pacifique.

Cette aventure est plaisante, avec des dessins bien léchés, de belles scènes sous-marines. C'est un quasi huis-clos, bien mené, mais sans grosses surprises.

Jusqu'à ce week-end, je ne connaissais que le grand Spirou.

Profitant de la pluie, j'ai enfin pu jeter un œil dans un album du petit Spirou.

j'avoue que j'étais assez dubitative en prenant l'album en main, mais j'ai tres vite changé d'avis !!

Je reconnais que je me suis bien amusée à la lecture de ce premier tome d'une série que j'ai bien l'intention de continuer à découvrir...Les dialogues font mouche et il faut avouer que le petit Spirou est un garnement qui n'a pas la langue dans sa poche et qui a beaucoup d'imagination !! Il n'a d'ailleurs pas été sans me rappeler par moments un autre petit mec nommé Titeuf !

On découvre son environnement, ses copains ( et sa copine... ), et sa famille. Sa famille, dont tous les membres, détail amusant, sont habillés en grooms. Son grand-père semble être un sacré voyou lui aussi...

A suivre...