Vanyda

L

Des histoires d'amour, de jeunes adultes, des codes couleurs associées

Un livre comme un bonbon acidulé

Des personnages qui sont comme des types, entre la nana lourde qui n'arrête pas de coller un mec à l'appeler plusieurs fois sur son tél,

Une nana en passe de devenir maman, une autre qui retrouve un amour de jeunesse, une rencontre en visu qui se fait après un long échange de mails.

Toutes ces histoires intimistes dessinées sont charmantes à lire ❤

Attention! Énorme coup de cœur pour cette BD que j’ai découvert par hasard mais dont la couverture m’a tout de suite attirée.



Cette BD raconte l’histoire de différents personnages, des sortes de petites nouvelles mais avec des personnages en liens les uns avec les autres. Roman illustré pour adulte, j’ai accroché dès les premières pages.



J’ai aimé tous les personnages, toutes les petites aventures, tous les aléas de la vie.



Loin d’être moralisateur, ce livre est le récit de situation qui peut arriver à n’importe qui: couple, célibataire et même enfant pour l’une des histoires.



J’ai adoré les couleurs et les dessins, les palettes selon les personnages. C’est une très belle découverte pour moi qui me donne envie de lire la suite car je ne sais pas à quoi m’attendre: le tome 2 raconte-il la suite des aventures des personnages ou allons nous en rencontrer d’autres?



Bref, j’ai hâte car si le deuxième livre est sur le même fil que celui ci, je suis déjà conquise.

Le dessin est toujours aussi léger, simple, agréable, à la fois lisible d'emblée et plaisant dans les détails. Par contre, un long délai s'étant écoulé entre ma lecture des deux premiers tomes et celui-ci j'ai parfois eu du mal à faire le lien avec les histoires précédentes. Je crois que j'aurais préféré que chaque tome contiennent des histoires qui trouvent leur conclusion à la fin du volume, et peut-être plus de liens entre chacun des personnages, au lieu que la plupart se limitent à leur histoire et leur petit îlot.

Des petites scénettes d'histoire d'amour.

Des couples qui se séduisent, qui se mettent ensemble, qui se séparent...

Des personnages que l'on retrouvent d'une histoire à l'autre au fil du temps.

Une ambiance colorée différente à chaque fois qui nous plonge dans l'univers du personnage.

Un petit goût de noisette, tome 3, et de fruits rouges et de chocolats amer ; un moment agréable, poétique, doux qui fait du bien, pour le plaisir des yeux.



Différentes histoires qui se suivent, s’entremêlent, se poursuivent ou s’arrêtent. Différents parcours de vie touchante, jolie, romantique, enfantine avec ou sans textes.



Différentes planches de dessins colorés, vives douces, moins douces ou tout simplement noires et blanches.



J’ai passé un très bon moment avec ces trois bandes dessinées que j’ai enchaîné les unes après les autres.

Un petit goût de noisette , tome 2 et de fruit rouge ; un moment agréable, poétique, doux qui fait du bien, pour le plaisir des yeux.



Différentes histoires qui se suivent, s’entremêlent, se poursuivent ou s’arrêtent. Différents parcours de vie touchante, jolie, romantique, enfantine avec ou sans textes.



Différentes planches de dessins colorés, vives douces, moins douces ou tout simplement noires et blanches.



J’ai passé un très bon moment avec ces trois bandes dessinées que j’ai enchaîné les unes après les autres.

Un petit goût de noisette , tome 1; un moment agréable, poétique, doux qui fait du bien, pour le plaisir des yeux.



Différentes histoires qui se suivent, s’entremêlent, se poursuivent ou s’arrêtent. Différents parcours de vie touchante, jolie, romantique, enfantine avec ou sans textes.



Différentes planches de dessins colorés, vives douces, moins douces ou tout simplement noires et blanches.



J’ai passé un très bon moment avec ces trois bandes dessinées que j’ai enchaîné les unes après les autres.

Coralie décide de se ressaisir et cela passe en partie par le sport, en l’occurrence, la Capoeira. Elle se fait de nouvelles relations et explore d'autres facettes de sa personnalité et de ses origines. Au fil des rencontres, elle s'enrichit, découvre d'autres cultures et renoue avec la sienne.



Les dessins sont agréables, de style contemporain assez simples, en nuances de noir/gris/blanc. J'ai trouvé que la première moitié de l'histoire un peu légère et sans grand intérêt. Les vignettes se suivent et se ressemblent, la narration est lente et s'arrête sur des détails qui ne nous font pas vraiment avancer. En revanche, l'histoire reprend du sens à mi-parcours, autour des questions sur les origines, les doutes, les traditions et les métissages. Les notions de racisme (ordinaire ou pas...) sont abordées de façon originale grâce au point de vue métissé. Paradoxalement, la fin est très rapide, au point de manquer un peu de réalisme...

Les dessins sont très beaux 🤩

Cette façon de colorer juste une partie des images et très très sympa 😃 je suis fan



Cette BD nous montre des petits passages de vie dans la vie de personnes qui peuvent nous ressembler ☺

Les rencontres, les manquements et les retrouvailles



C’est très bien pensé et joliment dessiné 😊



Je vais voir pour lire la suite 😀

Comme pour le tome précédent, avec la multitude d'histoires qui se croisent, une relecture des tomes précédents à été nécessaire pour me rappeler qui est qui dans ce chassé-croisé de vies et d'histoires.

Certaines histoires se finissent, d'autres disparaissent purement et simplement, d'autres se poursuivent et d'autres s'initient.

J'aime toujours autant la façon dont Vanyda nous donne une lecture désinhibée des relations entre les êtres d'aujourd'hui. Ils sont tous très humains, avec leurs forces et leurs faiblesses, avec leurs petites victoires et leurs grandes défaites. Toutes ces petites tranches de vies nous projettent dans la vie sentimentale du XXIe siècle avec beaucoup de tendresse et de profondeur.

Côté dessin ,même si ça reste très représentatif du style de l'auteur, je suis un peu déçue par se tome. J'y ai trouvé moins de finesse que dans ses autres oeuvres. Comme si elle avait changé de logiciel de dessin (je ne me fais quand même pas d'illusion) et qu'elle testait e nouveaux procédés de traits et de mise en couleur. Ce qui était marquant, dans ses ouvrages précédents, c'était le trait. Maintenant, celui-ci semble s'effacer au profit des couleurs et des textures pour disparaitre même par moments.

A ce propos, Je suis aussi un peu déçue de la multiplication des couleurs. J'aimais bien le fait qu'une seule teinte soit attribuée à chaque intervenant. Ici, pas dans chaque histoire mais dans quelques unes, les couleurs se font plus nombreuses. Ce n'est pas laid, pas du tout, c'est même très joli car elles sont très bien choisies. Mais j'ai trouvé que ça ne transposait plus la même logique picturale.

C'est exactement sur la même veine que les précédents tomes. Les histoires d'amour s'enchaînent avec des personnages différents qu'on avait déjà rencontrés quand. Elles se suivent mais ne se ressemblent pas. Elles se croisent et s'entremêlent de passion et de délicatesse. J'ai apprécié retrouver les dessins et la colorisation speciale de Vanyda mais le contenu m'a moins plu. Je m'attendais à ce que les chapitres soient aux noms des personnages principaux, ça m'a perdue.

Avec ce troisième et dernier tome de cette série (qui peut être lu indépendamment des autres), Vanyda reprend le principe de recueil d'histoires / nouvelles autour de l'amour. Ses aquarelles et le choix des couleurs en fonction de la thématique abordée tombent toujours justes et sont le gros point fort de cette bande dessinée. Ces histoires se savourent par petites touches avec des rencontres de personnages si différents auxquels nous nous attachons ou non. Ces tranches de vie de personnages qui se croisent et s'entrecroisent font du bien et apaisent... A découvrir. #Unpetitgoûtdenoisette #NetGalleyFrance

Celle que je ne suis pas de Vanyda





Vanyda née en 1979 est auteure de BD notamment apparentée à la nouvelle Manga (instituée par Frédéric Boilet et qui se veut passerelle transculturelle entre Europe et Asie).



Cet BD date de 2008. Elle est présentée dans une nouvelle édition en 2022. C'est le premier d'une Trilogie.





Nous suivons Valentine qui fait son entrée en 3e et ses copines Yamina, Julie, Émilie. Entre les cours, les récrés, la maison Valentine a une vie d'adolescente normale. Elle est dans son monde à la maison et plus délurée au collège. Bien qu'elle se fasse discrète quand Félix passe à côté d'elle. 





C'est le quotidien d'un groupe de filles pendant la dernière année de collège avec des expériences plus ou moins heureuses : cigarette, alcool, premiers amours et premières expériences. Les jeunes filles ne sont pas tendres entre elles et moqueuses parfois envers les autres.  J'ai trouvé l'histoire intéressante mais l'emploi des gros mots un peu trop fréquents même si c'est peut-être la réalité. Les rapports entre Valentine et sa mère sont vraiment bien décrits avec le côté mutique de l'adolescente face aux propositions, remarques ou remontrances. J'ai aimé aussi la présentation des cours et des profs.





S'il s'apparente dans le dessin au manga, il se lit dans le sens classique des BD. Le graphisme est agréable et bien défini. La BD est en noir et blanc.





Je le conseillerais bien sûr dès la 3e mais également aux parents qui découvriront le monde caché de leur ado !





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#bd #celleque #cellequejenesuispas #vanyda #editionsdargaud 



#livres #bookstagram #bookstagramfrance #booktok #book #cbpt #cbptmarne #litterature

N'ayant trouvé que le tome 2 en bibliothèque j'avais peur d'être perdue, mais non. À ce que je comprends le principe reste le même, juste j'ai rencontré les personnages de Vanyda à un certain moment de leur vie. Un peu comme des amis : il y a ceux d'enfance, ceux des études, ceux de l'âge mur. . J'ai beaucoup aimé la délicatesse du trait, cette façon de dresser un décor en quelques coups de crayon, et la douceur des couleurs. J'ai eu au début un peu plus de mal avec cette façon hachurée de croiser les histoires, les instants de vie. Entre l'intérêt portés à certains plus qu'à d'autres et la difficulté parfois à faire le lien avec un épisode du début, ou entre deux récits. Puis je m'y suis habituée et je n'ai plus qu'une hâte, trouver les deux autres tomes.

Dernier tome de cette trilogie signée Vanyda dans lequel je n'ai pas retrouvé ce qui m'avait séduite dans les précédents.

Peut-être est-ce du au temps passé entre mes lectures ? Mais je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et à leurs situations.

Par contre, j'apprécie toujours autant son trait et le travail autour des couleurs qui donnent une identité visuelle très forte à sa série.
Lien : http://boumabib.fr

Troisième et dernier tome de cette belle série d'histoires d'amour douces-amères. Toujours à l'aquarelle, Vanyda décline de nouvelles couleurs ou en reprend certaines des tomes précédents pour nous offrir des tranches de vie de ces personnages attachants qui se croisent et s'entrecroisent parfois.
Lien : https://cnlj.bnf.fr/fr/conte..

Le titre et la couverture m'avaient tapés dans l'œil mais la sucession des histoires sans liens directe entre elles ne m'a pas conquise. Trop de choses sont juste suggérées, j'aime les histoires plus concrètes et surtout avec un fils conducteur plus lisibles. Dommage...

Je connais très peu de choses sur le Laos, à vrai dire presque rien, et cette BD a le mérite de m'en avoir appris beaucoup en retraçant plus de 80 ans d'histoire. Changements de régime, guerres, répressions mais aussi culture, arts, tradition, c'est un panorama assez complet que nous brossent Cornette et Vanyda.

C'est intéressant mais malheureusement c'est très confus. Nous passons d'une ligne narrative à l'autre, d'une génération à la suivante en deux cases nous sautons 4 ans pour nous livrer un entrefilet d'information dont on peine parfois à faire le lien avec ce qui se passe avant ou après.

Le dessin de Vanyda est toujours sympathique mais son style particulier à du mal à mettre en valeur des personnages qui, au final, on tendance à fort se ressembler et j'avoue avoir eu souvent du mal à relier un personnage à son histoire.

La mise en couleur est plutôt bonne et m'a un peu surprise, plus habituée au travail en noir et blanc de cette artiste que j'aime beaucoup.

Un troisième tome autour de l'amour et de l'amitié, de la famille, de la joie ou de la tristesse. Des moments de vie, des nouveaux personnages mais aussi des personnages rencontrés dans les précédents tomes.

Nous découvrons les histoires de chacun, leurs sentiments, les émotions qui se dégagent de certaines situations et des destins qui se croisent sans cessent et qui finiront peut-être par se conjuguer. Dans cette série s'entremêlent des parcours de vie différents fait de hasard, de coup du sort ou de difficultés, et de sentiments amoureux ou amicaux avec des situations qui parfois n'aident pas. La vraie vie de personnage ordinaire en quelque sorte!



Sous un graphisme manga, les récits touchent car ce n'est pas pour rien que dans un titre sucré vient s'ajouter du chocolat amer, il y a souvent des ratés dans la vie, des chemins que l'on n'avait pas vus. Et voilà que l'on se questionne sur nos propres choix.

Une histoire humaine ...
Lien : https://stemilou.over-blog.c..

Je retardais la lecture de cette bande dessinée, influencée en partie par le peu et la faible cote des lecteurs. Je me surprend à trouver beaucoup de candeur et de belles surprises dans cet album disparate, inégal mais rempli d’amour et de surprises pour ce pays.

Un album publié en 2006 suite au

120e anniversaire des relations diplomatiques franco-coréenne. L’idée de départ étant de créer une rencontre d’exception entre six auteurs français de bd qui font une résidence à Séoul et six auteurs coréens qui représentent la création coréenne actuelle en bande dessinée.



Comme mentionné, c’est inégal conne produit mais il faut voir la particularité de chacune des douze histoires pour bien apprécier le résultat final. J’avoue un coup de cœur pour les auteurs coréens, qui assument l’onirisme de leur art et le côté rituel tellement dépaysant.

L’histoire du Pin de Lee Hee-Jae remplie tous les critères d’une historiette dessinée, éducative et représentative d’un pan de vie intéressant d’un village coréen, de ses habitants, de ses rites, de sa faune et flore. Le décès d’un grand-oncle qui a de nombreux enfants amène une réflexion profonde sur le changement, la modernité, l’amour familial.



« Quand c’est le père qui est décédé, on prend une canne en bambou; quand c’est la mère, une canne en bois de paulownia.

Le père a tout donné pour élever ses enfants, il s’est vidé comme le bambou. La mère s’est remplie de soucis pour eux; c’est pourquoi on prend une canne de paulownia en bois plein. »



Les dessins en noir et blanc correspondent aux traits habituels des auteurs(trices) Les français voient la Corée avec leurs yeux de visiteurs, sans grandes surprises. Les coréens avec des yeux de rescapés de guerre, de peuple qui a vécu une croissance phénoménale depuis les dernières années et qui a su s’adapter à son voisin du nord comme à sa croissance économique.

Donc, aucun regret pour la lecture de cet album collectif qui crée une palette incroyable de plaisirs et d’émotions. Cette société créative et en pleine ébullition n’a pas fini de nous surprendre et d’attirer les auteurs étrangers.