Vanyda

j'ai aimé cette visite en trois tomes dans l'immeuble d'en face... Une façon de faire la commères ;o))
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Dans ce troisième et dernier volume, on retrouve tous les personnages des volumes précédents, là où on les avait laissé. La vie continue, avec des hauts et des bas, des liens se tissent... Un vrai plaisir de retrouver les membres de cette petite tribu. Un beau dessin en noir et blanc, des dialogues plein de réalisme. (décembre 2011)

Génial! Une ultime BD sympathique à l'ambiance toute feutrée où le personnage principal arrive enfin quelque part... À lire avec son ado.

Je ne lis que très peu de BD, c’est dommage je sais. Celle-ci m’avait tapé dans l’œil lors de mon dernier passage à la biblio. Rapidement pris, rapidement lu, résultat : c’était sympathique de replonger dans l’adolescence (je ne lis que sur ce sujet en ce moment o.O).



Dans le tome 1, Valentine est discrète, amoureuse en secret d’un camarade, différence par rapport à ce genre de livres : elle ne sortira pas avec. Valentine a une bande d’ami assez chouette : Julie, la benjamine du groupe ; Émilie, la redoublante qui a de l’expérience, assez agaçante, moqueuse ; Yamina, la femme de manga. J’ai apprécié Yamina, elle est belle et se fiche pas mal des garçons des fêtes. Je trouve que Valentine est a l’écart par rapport aux autres, pas dans sa bande mais avec les autres. Mathys, un ami d’enfance de Valentine m’a beaucoup plu, toujours souriant, je voulais le mettre avec Valentine.



L’histoire se déroule à Lille, on le remarque à certains bâtiments typiques du Nord. Dans ce tome, c’est la vie au collège, encore enfantine.



Dans le tome 2, les personnages évoluent dû au passage du collège au lycée. Julie qui a redoublé se retrouve seule au collège de l’autre côté de la grille, les autres filles ne sont pas dans la même classe : Yamina crée un groupe de manga, Valentine fréquente les “délaissés” de sa classe.



Valentine devient plus féminine, affirme plus son caractère (elle assume ses fréquentations). J’ai beaucoup apprécié la scène où Mathys la ramène jusqu’au métro en la portant sur son dos, il est chou cet homme ; Valentine rapproche cette scène avec un moment où son père quand elle était petite l’avait récupéré sur la plage. Elle part d’ailleurs un peu en vrille : les fêtes, l’alcool ; et le sexe avec la scène finale.



J’aime beaucoup le coup de crayon de Vanyda, à découvrir plus.



Ces tomes sont sympathiques, bon pour moi c’est parfois niais mais c’est l’adolescence donc dédié surtout à ce public.
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Chapeau bas à l’auteure qui a su donner des personnalités fortes et attachantes à ses personnages, et qui nous donne tout plein d’émotions quelques soit notre âge. Les plus jeunes se reconnaitront, les adultes auront l’impression de revivre leur adolescence.
Lien : http://www.bdencre.com/2011/..

Cette trilogie est un bonheur absolu ! Des personnages bien campés, des voisins qu'on pourrait tous avoir... La vie, quoi. À lire et à relire.

C'est une jeune fille qui et très souple et de plus elle se retrouve dans la même classe que c'est meilleure amie

Dernier tome d'une super trilogie sur l'adolescence. Je trouve le ton très juste, j'avais l'impression de voir mes ados. Véritable coup de coeur pour cette série qui a mûri en même temps que son personnage.

Une replongée dans l'adolescence. Bien entendu, le langage, les codes ne sont plus les mêmes; téléphones portables, hip-hop nous étaient inconnus. Mais, pourtant, c'est bien l'adolescence de chacun d'entre nous qui nous est contée.

De plus, l'auteur ne nous présente pas l'adolescence comme elle nous est traditionnellement montrée : généralement, l'opposition parents-enfants est mise en avant. Ici, les parents sont pratiquement inexistants, ils n'appartiennent pas au monde des ados, ils sont d'une autre planète. Je trouve cette bd très juste.

Vanyda raconte les coulisses d'un immeuble comme on en connaît tant d'autres dans une langue plutôt simple et un dessin juste et frais. Les relations inter-générationnels, l'attachement inévitable, les aventures et méandres d'une époque côtoient au quotidien l'inquiétude, l'émotion, la mélancolie et l'intimité. Cet album, évocation de la fragilité humaine, se dévoile habilement, déclenche illico une sorte de complicité. Nous voilà devant un condensé brut d'humanité stimulante comprenant parfois des vertiges, des imprévus. le dessin est extrêmement accessible, subtil et agréable.

Vanyda raconte les coulisses d'un immeuble comme on en connaît tant d'autres dans une langue plutôt simple et un dessin juste et frais. Les relations inter-générationnels, l'attachement inévitable, les aventures et méandres d'une époque côtoient au quotidien l'inquiétude, l'émotion, la mélancolie et l'intimité. Cet album, évocation de la fragilité humaine, se dévoile habilement, déclenche illico une sorte de complicité. Nous voilà devant un condensé brut d'humanité stimulante comprenant parfois des vertiges, des imprévus. le dessin est extrêmement accessible, subtil et agréable.

Véritable éloge de la simplicité, précieux dans son art de jouer du naturel avec maestria, maîtrisé de bout en bout dans la conception de son exposé, le trio Celle que je ne suis pas – Celle que je voudrais être – Celle que je suis fait figure de livre-référence. Pas nécessairement au sens d’une étude sociologique que son auteure ne revendique probablement pas, mais parce qu’en trois volets Vanyda aura montré que l’intime peut être restitué avec délicatesse sans se voir estampillé « fleur bleue ».
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..

Vanyda raconte les coulisses d'un immeuble comme on en connaît tant d'autres dans une langue plutôt simple et un dessin juste et frais. Les relations inter-générationnels, l'attachement inévitable, les aventures et méandres d'une époque côtoient au quotidien l'inquiétude, l'émotion, la mélancolie et l'intimité. Cet album, évocation de la fragilité humaine, se dévoile habilement, déclenche illico une sorte de complicité. Nous voilà devant un condensé brut d'humanité stimulante comprenant parfois des vertiges, des imprévus. Le dessin est extrêmement accessible, subtil et agréable.

Avec la justesse du regard de celle qui sait se rappeler sans trahir, avec la délicatesse ou la violence requises selon les situations, avec humour, aussi, quand il le faut, Vanyda mène sa chronique lycéenne jusqu’au bout avec ce talent qu’on lui connaît et qui séduit toujours autant.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Un univers différent pour une BD: une école secondaire où évolue une bande qu'on apprend à aimer à travers les yeux de cette fille sombre, mal dans sa peau, réservée quelquefois, d'autres, pas assez. Mais avant tout, c'est l'histoire de la bande qui m'a plu. C'est le monde de l'adolescent torturé mais pas trop.

Dans cet immeuble vit un jeune couple d’étudiants, un couple plus âgé et une jeune mère et son petit garçon ! Chronique d’un quotidien ou chacun se croise, ou les vies de chacun se démêlent et s’emmêlent !

A découvrir !!!!

L’immeuble d’en face comporte trois étages : au premier, mère célibataire et enceinte élève son fils Rémy. Au second, un couple entre deux âges réuni autour de leur amoureux pour leur chien et au troisième, un jeune couple d’amoureux Claire et Louis.

Ces voisins vont petit à petit, au fil des trois tomes que comporte cette série, devenir proches allant jusqu’à traverser des moments difficiles.



Tout en noir et blanc, cette série touche avant tout par sa justesse et sa finesse. C’est bien plus que la vie quotidienne d’un immeuble que nous donne à voir Vanyda ici. Elle explore les relations humaines sous leurs différentes formes mais sans jamais tendre vers le pathos.



Les dessins sont une véritable petite merveille et le découpage des cases joue un rôle essentiel dans le déroulement de l’histoire. Pendant la lecture de ces trois tomes, j’ai vraiment eu l’impression de vivre en immersion totale avec les personnages.



J’avais découvert Vanyda avec Celle que je ne suis pas qui m’avait déjà laissé une très bonne impression. Mais je trouve cette série beaucoup plus forte, peut être aussi parce que je me sens plus proche des personnages.

"L'immeuble d'en face" raconte avec beaucoup de simplicité et de réalisme le quotidien de gens qui pourraient être vos voisins, ou peut-être vous, qui sait? Il décrit avec justesse des histoires d'amour en devenir, d'autres vieillissantes, en passant par l'amour impossible et stérile. Bref, des histoires que tout le monde a pu connaître un jour et auxquelles on s'identifie tout naturellement.

A lire également du même auteur: "Celle que je voudrais être"

c'est assez agréable à lire, mais sans plus. On s'attache à certains personnages, mais les dessins ne sont pas extraordinaires et je trouve que ça leur enlève du charme de ne pas être en couleur (et pourtant je suis une adepte des mangas).

certaines planches sont insignifiantes et font à peine sourire. d'autres sont assez rigolotes.

le mieux est de lire le tome 2 pour se faire un avis définitif, car cette BD a du potentiel et parfois je me retrouve dans le couple de l'immeuble (le jeune).

Dans l'immeuble d'en face, au premier, il y a Rémi, 4 ans, et sa maman Béatrice, enceinte jusqu'aux yeux. Au deuxième, il y a Fabienne, désabusée, et Jacky avec son gros chien, qui joue les méchants mais qui est un sentimental, au fond. Au troisième, il y a Claire et Louis, qui partagent leur temps entre leurs cours et la console de jeu. Tout ce petit monde se croise dans l'escalier et s'entraide de temps en temps. De saynètes cocasses en drames du quotidien, leur vie s'écoule tout doucement.

C'est la couverture de cette BD qui m'a attirée. Je n'ai pas regretté de l'avoir ouverte. De pages en pages, on rit, on pleure, on s'émeut, on s'indigne devant des histoires pourtant si communes. J'ai adoré les scènes du jeune couple, dans lesquelles je me suis reconnue (oui, moi aussi je me suis déjà coincé les cheveux dans l'épilateur et je serai bien capable de claquer la porte avec les clés à l'intérieur...). Le coup de crayon est précis tout en restant allusif, et rappelle volontiers le style manga sans pourtant renoncer au format européen. Mais surtout, la mise en scène des cases m'a bien plu: tout est fait pour reproduire le fait que les histoires qui arrivent à ces personnages se déroulent en même temps, au même instant, et le livre devient un objet, dans lequel on revient en arrière pour reprendre un fil laissé de côté. Je suis réellement conquise. De plus, c'est une série en trois tomes, donc facile à lire en entier. Dès le deuxième tome, on a l'impression de connaître les personnages comme nos propres voisins. Une petite pépite!